⚜ Alyssia Terence ⚜

OC "Grey's Anatomy"

Note préalable

Alyssia était censée être un OC Shadowhunters en crush sur Lucian Graymark. J'avais toutes les idées nécessaires ou en tout cas la majeure partie pour sa fiche mais j'en suis restée pendant longtemps au stade d'une vague ébauche avec très peu de mots. Je me disais que je la terminerais un jour et la posterais pour le fun étant donné que je l'avais évoquée avec un ami mais qu'elle n'était pas vraiment attendue pour un RP. Jusqu'à il y a quelque jours, où dans un regain soudain et puissant de fangirl pour Addison Montgomery (oui, oui, à cause de l'apparition dans la saison 18 pour ceux qui savent 😆), j'ai soudain eu une idée. Cette fameuse idée, c'est la fiche que vous voyez ci-dessous, une Alyssia avec une histoire largement similaire mais qui se retrouve tout à coup dans l'univers de Grey's Anatomy, en crush sur Addison Montgomery. Alors que l'auteure de cette fiche a vu jusqu'à la fin de la saison 3, il y a facilement 5 ans de cela et n'a aucun RP sur ce thème prévu. On aime la logique, ici. Enjoy 😘 !

Nom :

Terence

Prénoms :

Alyssia

Greta

Hortense

Âge :

35 ans

Physique :

Rebecca Ferguson

Caractère :

Alyssia est une personnalité qu'il serait aisé et approprié de définir comme douce et maternelle. Profondément attachée à ses proches, elle croit en leur réussite dur comme fer et a coutume de dire que son bonheur, c'est avant tout le leur.

Toujours là pour les réconforter et leur donner conseil, la rousse présente de ce fait souvent un discours délicat et aimant. Il serait cependant erroné de considérer que ces traits de personnalité que nous évoquions sont constamment dominants ou des sortes de catégories fourre-tout pouvant contenir tout le reste des qualificatifs appropriés.

En effet, Alyssia c'est aussi quelqu'un de franc et de sincère. Elle ne triche ni sur ses émotions ni sur ses pensées et est loyale envers elle-même comme envers ceux pour qui elle estime ce sentiment valable. Parfois ironique voire narquoise ou sarcastique, elle a toutefois horreur des moqueries gratuites qui n'ont pour but que de blesser sans autre motivation et n'hésitera pas si elle le peut à se manifester pour remettre quelques idées en place.

La rousse dit parfois que son caractère est "une sorte d'éponge à karma" et que par conséquent, elle renvoie par sa gentillesse, considération et affection le bien à ceux qui l'ont attiré et donne en buffet à volonté sa colère, sa grossièreté et ses meilleurs répliques de clouage de bec à ceux qui l'ont cherché. 

En bref, ces explications ne sont dans le fond qu'un résumé dans les grandes lignes de quel type de personne est Alyssia. Après tout, les nuances à apporter pourraient effectivement être nombreuses et précises. En vérité, elle est un être qui se laisse porter par ses émotions dans assez bien d'occasions. Elle est humaine et puis voilà. Toute la complexité de son identité ne peut pas vraiment être révélée dans son entièreté et en une fois à une même personne.

Histoire :

Alyssia naquit un 3 janvier à Cadburry en Angleterre. Aînée d'une fratrie de 4 enfants, s'occuper de ses deux sœurs et de son frère s'imposa tout naturellement au fil du temps et ce phénomène ne fit que s'amplifier lorsqu'elle grandit. Élevée dans une profonde foi chrétienne, l'annonce de sa bisexualité peu avant ses 19 ans ne changea rien à ses propres croyances mais lui valut un rejet farouche de la part de ses parents. 

Attendez... ce terme pluriel est-il vraiment approprié à  cent pourcent, dans le fond ? En effet, deux mois plus tard, la révélation d'une vie tombait : celui qui avait élevé l'adolescente en tant que son père ne l'était pas biologiquement. La mère d'Alyssia, qui avait agi comme étant la plus outrée de l'annonce de sa fille et n'avait pas hésité à qualifier ses propos de "répréhensibles et blasphématoires", avait en réalité eu son premier enfant avec un amant qu'elle s'était choisi après seulement deux ans de mariage. Sur ces entrefaites, une nouvelle dispute éclata au sein de la famille et l'aînée de la fratrie se retint encore moins cette fois-ci de faire connaître son point de vue.  Bientôt et sans surprise, elle se vit totalement reniée par ses parents. Son frère et ses sœurs firent mine devant leurs parents qu'il en était de même de leur côté mais ce n'était en réalité qu'un mensonge et ils gardèrent le contact avec Alyssia. 

Pour poursuivre ses études de médecine, elle exerça des petits boulots et reçut une aide financière d'une de ses tantes en attendant qu'elle même puisse avoir des fonds suffisants pour aviser. Alors que cela ne faisait pas encore 6 mois qu'elle avait fêté ses 25 ans, elle annonça aux membres de sa famille qui ne lui avaient pas tourné le dos que Samuel Oswald, son petit ami depuis plusieurs années qu'elle avait rencontré à l'école de médecine et avec qui elle avait récemment emménagé, l'avait demandée en mariage.

La cérémonie fut très bientôt célébrée et, environ deux semaines après, la jeune rousse eut la désagréable surprise de recevoir une visite de ses parents. Ceux-ci, satisfaits de voir qu'elle avait fait le choix d'un homme et constatant qu'elle était vouée à une carrière semblant prometteuse, voulurent rétablir le lien, invoquant le pardon chrétien. Alyssia ne tarda pas à les mettre à la porte de l'appartement, leur adressant un "au-revoir" d'un doigt d'honneur magistral tout en criant, avec une moquerie ironique bien que dans le fond, elle était certainement capable de le faire :

- Vous en faites pas, j'irai me confesser !

Le drame de la vie d'Alyssia n'est toutefois pas sa déchirure relationnelle avec ses parents mais ce qui se passa un an après qu'elle eut épousé Samuel. Le couple avait récemment déménagé en Amérique car un poste intéressant avait été proposé au jeune marié. Ce 29 juin, jour anniversaire de la cérémonie qui les avait unis, Sam avait pris un jour de congé tout spécialement pour l'occasion sans rien dire à sa femme. En secret, il avait passé toute la journée à leur préparer une soirée mémorable. Quand Alyssia revint du travail, les bougies et les fleurs étaient là, son plat préféré était prêt à être sorti du four, un cadeau l'attendait sagement sur la table de la salle à manger... et celui qui avait tout préparé gisait par terre, abattu d'un coup de révolver.

Malgré ce qui parut être des recherches minutieuses, on ne trouva aucun coupable. Alyssia, qui n'avait jusque là eu que peu d'occasions de voir son beau-frère Matthew bien qu'il vivait aux États-Unis depuis déjà bon nombre d'années, trouva en lui ce qu'elle crut être un soutien indéfectible. Le temps passa et avant qu'elle n'ait réellement pu comprendre comment ni pourquoi tout s'était passé ainsi, elle était remariée et avait une petite fille. Elle dira par la suite que :

"Je n'aurais pas pu rêver d'une meilleure fille que Debbie. Son père, par contre... Je crois qu'on peut dire sans mal qu'il était là et que je me suis fait avoir comme une bleue."

Le tragique événement de la nuit du 29 juin finit en effet par se trouver élucidé un soir qui démarra par ce qui ressemblait à une dispute conjugale à une heure tardive entre Alyssia et Matthew au sujet d'Addison Montgomery, alors que "Madame Oswald" avait rejoint le Grey Sloan depuis quelques mois, dans le service de celle que nous citions plus tôt :

"- Alyssia, tu as le béguin pour cette femme, ou quoi ? Qu'est-ce qui se passe entre vous deux ?

- Mêles-toi de ce qui te regarde et fous-moi la paix ! lança l'intéressée sans se retourner, descendant les escaliers en direction du garage, pour une raison qui paraissait quelconque.

- Tu es ma femme ! répliqua-t-il du tac-au-tac. J'estime quand même que s'il y a quelque chose qui me regarde, c'est une situation comme celle-là.

Alyssia s'arrêta brusquement quelques mètres après la fin de la volée de marches et lui fit face en le toisant d'un regard noir avant de lâcher :

- Je t'en prie, sois plus explicite.

- Je... J'aimerais juste savoir ce que tu penses vraiment d'elle, dit son époux, la rejoignant dans la pièce alors vide de toute voiture.

- Tu me dis que tu veux que je te donne mon opinion honnête sur le docteur Montgomery, hein ? Eh bien je vais te dire : contrairement à toi, c'est quelqu'un de bien.

- Qu'est-ce que tu... commença son mari en face d'elle, fronçant les sourcils.

- Tu veux me faire plaisir ? Enlève cet air surpris de ta face d'enfoiré et avoue que tout ce que tu es, c'est un foutu menteur et un assassin.

Le teint de Matthew devint brutalement carmin en entendant ce dernier mot et il tressaillit. L'avocat ne mit cependant pas longtemps à se reprendre et affichant une assurance montée de toute pièces comme l'avait été beaucoup de son comportement de ces sept années de mariage avec Alyssia, prit à nouveau la parole d'une voix calme et demanda avec froideur, affectant d'avoir été blessé par une remarque horrible et sans fondement :

- Qu'est-ce que tu racontes comme inepties, Lyly ? Qui est-ce que j'aurais tué d'abord, hein ?

- Arrête de faire semblant. Tu les avais bien cachés, tellement que je me dis que tu dois avoir oublié de brûler ces saloperies après le passage des flics pendant l'enquête. Pas bête d'avoir planqué ça ici alors que tu habitais à l'autre bout de la ville à l'époque, pas bête.

- Est-ce que tu vas finir par me dire de quoi tu parles ?

- Tragédien professionnel, en plus ! moqua la rousse, la voix empreinte d'amertume et de dégoût.

- Enfin, je ne... voulut protester une nouvelle fois Matthew avant que son épouse ne l'interrompe avec d'autant plus de virulence.

- Tu te souviens, reprit-elle ensuite d'un ton faussement calme, de la semaine dernière et de ton fameux voyage d'affaires ? Callie est venue passer la soirée du samedi au lendemain de ton départ à la maison, je l'avais invitée à venir prendre un verre et c'est tellement joyeux entre toi et moi ces temps-ci que, le Seigneur me pardonne, j'ai fini assez bien éméchée.

Elle avait achevé sa déclaration avec une tangible ironie mais il ne sembla pas réellement y prendre garde.

- Avec Deborah à la maison ? Tu t'es saoulée avec elle à la maison ? Tu es censé veiller sur elle et toi tu-...

- Bordel, est-ce que tu vas finir par la fermer ?! Un, je n'étais pas alcoolisée au point où cela semble t'amuser de le décrire et deux, si tu étais un père digne de ce nom, tu saurais que Debbie n'étais pas à la maison ce jour-là puisqu'elle passait la journée avec la petite Eliza et ses parents. Il me la ramenaient dans la matinée du dimanche.

- Attends, qui ça ?

- Les Donovan. C'est quand même gonflé de ta part de nous faire tourner ce d'hors et déjà merdier en scène de ménage débile.

- Ce n'est pas de ma faute si je me préoccupe plus de la sureté de notre fille que de tes accusations délirantes ! Qui sont ces gens ? Des amis à toi ? Certainement des gens bizarres à qui je n'aurais jamais confié la garde de notre enfant.

Une fraction de seconde plus tard, Alyssia avait asséné à Matthew une gifle tonitruante et ce dernier se penchait en avant en se tenant la joue gauche, sonné aussi bien par l'étonnement que le coup, tandis que la rousse répondait d'une voix basse où grondait la colère :

- Thomas et Adelie Donovan, tes meilleurs amis que tu connais depuis le lycée. C'est toi qui avais arrangé cette sortie pour Deborah la dernière fois qu'ils sont venus dîner à la maison. Je savais que tu n'en avais rien à foutre de personne mais là, tu bats des records, mon vieux.

- Et si tu en venais plutôt aux faits ? éluda Matthew en se redressant. Si tu me disais enfin l'histoire abracadabrante dans laquelle tu me crois impliqué ? Pourquoi ne le ferais-tu pas, maintenant que tu t'es ménagé ton petit suspens, pour me montrer à quel point tu n'es qu'une tarée ?!

Il avait terminé sa phrase en criant et ce fut en hurlant à en réveiller les voisins que son interlocutrice lui répondit :

- Le flingue, salaud, le flingue ! Au cours d'une ballade pas très logique dans la maison en ayant bu quelques verres de trop, j'ai trouvé ce que tu avais si bien réussi à planquer : la facture et le permis du revolver dont tu t'es servi pour tuer Sam. Tout net et bien rangé, étrangement sans poussière. Tu les as gardés comme trophées, c'est ça ? Les inspecteurs étaient partis avec l'arme du crime pour l'analyser mais il te restait encore une preuve sur papier. Tu l'as pris comment, comme une diplôme du parfait petit meurtrier ? Hein ? Réponds-moi !

Face à son silence, elle n'avait fait que crier d'autant plus fort et, lui plantant deux doigts dans la poitrine, l'avait poussé sans ménagement.

- Cette arme m'avait été volée, répliqua-t-il d'une voix blanche, le regard dans le vide.

Son attitude venait de changer et Alyssia le voyait bien. Tant qu'elle n'avait pas été plus claire dans ses accusations, il avait fait mine de ne pas savoir de quoi il retournait, ne pas comprendre sa colère. Sauf que maintenant, il était au pied du mur, tout du moins du point de vue de la responsabilité morale.

- À d'autres. Tu ne m'en as jamais parlé et aux enquêteurs non plus. Je me souviens d'ailleurs distinctement que tu avais mis un terme aux rumeurs qui couraient en menaçant certaines personnes du voisinage de porter plainte pour diffamation, disant je cite : "Mon revolver est toujours rangé à sa place."

- Et si j'avais pris peur à la pensée d'être accusé à tort et que j'avais menti pour ce motif ? répliqua Matthew, les yeux toujours perdu dans un espace indéfini entre le vide et le sol du garage.

- Si je t'aimais toujours et que je n'avais rien trouvé d'autre, j'aurais presque pu te croire. Seulement voilà, la corruption en tous genres envers des agents de police et autres intervenants a montré ses limites. J'ai eu besoin d'un peu d'aide, c'est vrai, mais j'ai mené ma petite enquête et tout ce qu'on peut dire, c'est que j'ai trouvé beaucoup, beaucoup de linge sale à charge contre toi. Je sais que tu leur avais extorqué des promesses, malheureusement pour toi, les paroles s'envolent mais les faux-culs qui les prononcent restent. Ils ont vite été tout à fait prêts à avouer la vérité quand il se sont rendus compte que le vent s'était mis à tourner. Ils étaient faits comme des rats, tout comme toi.

Matthew releva la tête et ses yeux brillaient d'un éclat effrayant. Il donna sa réponse d'un voix narquoise, mauvaise :

- Okay, si tu y tiens, puisque tu estimes que je suis fichu... J'avoue, c'était moi. De toute façon qu'est-ce que ça peut faire, maintenant ? Tu sais bien que j'étais le meilleur choix, je devais juste te donner un petit coup de pouce pour t'aider à le voir.

- Je pense que tu prends tes rêves pour la réalité, mon grand. Stratège, manipulateur, ça je te l'accorde. Ton histoire de destinée amoureuse à la con et ton "j'étais le meilleur des deux", faudra demander un test toxicologique de toute urgence, parce que j'aimais tendrement et sincèrement ton frère et que si tu n'avais pas justement été cette personne affreuse, l'histoire ne se serait pas passée comme ça. Maintenant, tu vas aller moisir en prison, hors de ma vue et de celle de Debbie, là où est ta place depuis le départ.

Le mari d'Alyssia s'approcha d'elle avec lenteur, dans une attitude menaçante, et s'arrêta à quelques centimètres d'elle.

- Je ne pense pas non.

Levant le menton dans une attitude de défi, la jeune femme planta ses yeux droit dans les siens et demanda :

- Qu'est-ce que tu vas faire, hein ? Tu comptes me tuer comme tu as tué Sam ?

Matthew, hautain et sûr de lui, s'apprêtait à répondre lorsque la porte du garage dans son dos s'ouvrit. Avant qu'il n'ait eu le temps de se rendre compte de ce qui se passait, il venait de se faire plaquer au sol par deux officiers de police. En jetant tant bien que mal un regard en coin dans la direction d'Alyssia tandis qu'on lui passait les menottes et que d'autres membres de l'équipe entraient, il la vit tenir en main un micro, qu'elle avait porté depuis le début de tous les événements de la soirée et qu'elle venait de retirer. Elle s'adressa alors à lui d'un air moqueur :

- À meurtrier cliché, scénario du type grand classique. D'ailleurs, tu pues vraiment de la gueule. Je ne sais pas si c'est une gingivite mais en tous les cas, tu devrais faire soigner ça. Je suis sûr que tu trouveras un bon toubib en prison qui pourra s'occuper de ça à merveille pendant le reste de ta vie que tu passeras là-bas. Allez, bon séjour !

Sur cette réplique, malgré les vieux souvenirs et leur douleur qui se mettaient à tourbillonner dans son esprit elle se tint debout là, le cœur battant de stress et de beaucoup trop d'autres choses à la fois mais sans une larme. Elle regarda s'éloigner encadré par des officiers celui dont elle avait cru qu'il serait l'homme de sa vie mais qui en vérité n'avait fait que tuer celui qui l'aurait été. Dans une sorte de brouillard, elle remercia les forces de police qui avaient été mobilisées et, déclinant poliment une discussion immédiate concernant les futurs événements en justice, referma soigneusement à clé la porte laissée non-verrouillée pour l'intervention.

Se rendant à l'étage, elle s'assura que les divers cris avaient été trop éloignés pour réveiller Debbie, ce qui devait miraculeusement avoir été le cas puisque la petite fille dormait à poings fermés. Perdue sur la marche à suivre lorsqu'elle devrait expliquer l'absence de son père à la fillette de 6 ans, elle quitta la chambre et se dirigea vers le salon d'un pas fatigué. Attrapant son téléphone sur la table basse, elle appela Callie, s'excusa de la réveiller puis déclara :

- J'ai la tête en vrac, beaucoup de glace et une réserve de films en tous genres. Tu permets que je te vole quelques heures de sommeil en plus en te demandant de venir ? Tant que tu ne te ramènes pas avec des gens que je n'aime pas où qui vont réveiller Deborah en faisant trop de bruit, tu peux même amener des invités. J'ai une demi-douzaine de parfums de glace et deux fois ce nombre-là en pots et bon, ils vont pas se manger tout seuls, inutile de le dire. Je serais vraiment contente que tu puisses venir."

Liens :

CRUSH – Addison Montgomery
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FILLE – Deborah "Debbie" Oswald
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1ER MARI – Samuel Oswald
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2ÈME MARI – Matthew Oswald
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SOEUR CADETTE – Orianne Terence
(+âgée de ses 3 frère et sœurs)
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SOEUR CADETTE – Lisbeth Terence
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FRÈRE CADET – Aaron Terence
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AMIE – Callie Torres
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Il est fort probable qu'Alyssia lie des amitiés/relations de divers types avec d'autres personnages mais je préfère voir le reste pendant un éventuel RP.

Autres :

- Elle a toujours gardé l'alliance de Samuel autour d'une chaîne, bien à l'abris dans un tiroir. N'ayant plus porté ce pendentif particulier depuis des années, elle se remettra à le faire dès le soir de l'arrestation de Matthew.

- Elle communique régulièrement avec ses frères et sœurs et sa tante et des voyages sont organisés plusieurs fois par an pour venir en visite, d'un coté comme de l'autre.

- Alyssia a toujours voulu se faire tatouer sans jamais trouver ce qui lui conviendrait. Elle espère que cette année sera la bonne sur cette voie. Il n'est pas rare qu'elle fasse de petites recherches ou prenne un moment pour réfléchir à différentes idées.

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