Athazagoraphobie
Les yeux rougis et endoloris par les larmes salées qui coulèrent lors de cette amère heure et quart.
La sensation de vide, gigantesque, insupportable, après avoir relâché toute cette tension accumulée depuis ces quelques jours.
Je ne ressens plus rien, pour personne ni pour rien. Je suis vide. Si vide. Insipide. Respirer est devenue une tâche éprouvante. Une heure passée fixée à mon écran jusqu'à m'en brûler les yeux, sans oser le quitter une minute, et, en se retenant de s'endormir de peur de le rater.
Je hais être Athazagoraphobe.
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