Chapitre unique

Tout commença il y a de cela des années, alors que je venais de rencontrer je que je pensais être mon grand amour. Chaque homme et chaque femme que je rencontrais étaient engagés par mon père ou il étaient là seulement pour mon argent. Mais lui était different, je n'avais pas eu le besoin de dire que j'étais riche ou n'importe quelle autre chose ayant un rapport à l'argent. Il m'aimait comme j'étais. Cela a d'ailleurs très vite marché entre lui et moi. Très nous nous sommes rapprochés. Et de plus il était beau comme un dieu. Il possédait de grands yeux de couleur noisette dans lesquelles j'aimais me perdre. Ses traits de visages, quand à eux, étaient assez fins. On pouvait le remarqué surtout au niveau de son nez qui lui était très étroit. Il avait un visage assez rond, d'une peau laiteuse orné de cheveux brun à tendance d'ondulations. Il était pourvu de fines et larges lèvres rosées que j'aimai m'emparé. Et de plus, étant une personne que je qualifierai de sportif, il bénéficiait d'abdominaux ainsi que de pectoraux que jamais je ne me lasserai de caresser.

Nous nous étions rencontrés à un cours de théâtre, c'était mon premier jour tout comme lui. De suite, il m'avait proposé que l'on soit ensemble pour les différents exercices. C'est d'ailleurs ce jour là que j'ai découvert son nom que désormais j'aime tant prononcer, Park Chan Yeol. Le temps que nous avons passé était si agréable que dès le cours d'après je lui ai demandé que l'on se mette de nouveau ensemble, et il accepta. C'était peu, mais j'étais heureux. Par la suite, tout les mardis et les vendredis, les jours de théâtre, nous étions toujours ce même binôme, et finalement il me raccompagnait à mon domicile. Très souvent, il m'arrivait de lui proposer de rester, ce qu'il faisait. C'est donc dans ces moments là que j'apprenais le plus à le connaître.

Il était passionné par la musique, il était même pourvu d'un groupe dans lequel il était le leader. C'était un groupe créé par lui et ses amis. Il étudiait depuis deux ans la médecine ce que j'admirais. Il m'offrit la possibilité de le voir lui et son groupe jouait, ce que je ne put refuser. A partir de ce jour-là, tout les samedis je me rendais pour le voir. Il savait manié tout les instruments présents à la perfection, que ce soit la guitare, le piano ou la batterie. Et quand il chantait j'étais comme au paradis. Sa voix était si gutturale... Si rauque... Si fragile... Tel une voix de stentors...

Un an après notre rencontre, alors que nous étions sur sa moto pour se rendre à ma demeure, il prit un autre chemin, ce que je n'ai pas comprit mais je me tut. Il s'arrête devant une maison éloigné de toute autre, c'était la sienne. Nous y entrons et à l'intérieur ou attendais un repas. Au centre de la salle à manger, une grande table était dressé de vaisselle, de fleurs, de bougies et bien d'autre chose. Tout était dans les tons rouges. Ça ne pouvait être plus romantique comme moment. Nous avons mangé, il s'est déclaré, je l'ai embrassé et nous avons passé la nuit la plus torride qu'il soit.

Puis après tout s'enchaîna, nous avons emménagé ensemble, officialisé et nous nous sommes mariés. C'était un mariage en petit comité comme je le souhaitais. Rien de grandiose mais il n'en était pas moins imparfait. Il était tout ce don je rêvais. Comme thème nous avions choisi la musique, rien que pour lui. Ensuite, il a finit ses études et il devint un médecin renommé d'un grand hôpital et rejoignait son groupe dès qu'il en avait l'occasion. Et pour ma part, je suis devenue l'avocat que je voulais être. Contrairement à lui, j'ai continué le théâtre, mais il m'aidait ce qui me rappelait de bons souvenirs de notre histoire.

Puis vint le jour, après quinze ans de relation ainsi que dix années à être marié, pour la première fois à mon réveil je fût seul dans le lit. J'ai put voir à mes côtés une lettre que je pris en mes mains de façon à la déplier et la lire.

« Cher Byun Baek Hyun, c'est moi Park Chan Yeol qui te dédit cette lettre. Avant tout, je voudrais te dire que ce quinze années avec toi furent super. Tu te souviens notre rencontre ? Je fût si timide de venir te voir, c'est comme si tu m'avait intimidé. Finalement, nous avons tant ri ce soir là, tu étais un si mauvais acteur à cette époque, désormais tu es le meilleur que j'ai put connaître. Je me souviens la pièce que nous avons joué cette année la, Roméo et Juliette. Jamais je n'ai vu une personne aussi acharné sur un texte à apprendre, tu voulais tant le rôle de Roméo, que  finalement tu n'eut pas. Je me souviens que pendant plusieurs jours tu ne voulais plus sortir, tel le têtu que tu es. Pourtant j'en ai eu de la peine pour toi, car c'était moi qui avait eu le rôle que tant tu convoité. Alors pour toi je l'avais refusé et je t'avais aidé pour les costumes bien que je ne sois pas doué pour la couture contrairement à toi. A chaque fois qu'une aiguille me piqué de suite tu prenais le temps de me mettre un pansement alors qu'il n'avait finalement pas le besoin, mais je te laissais faire car je trouvais cela mignon de ta part. Il m'arrivait même de le faire exprès pour que tu fasses attention à moi. Je voulais que être le seul à qui tu tenait ainsi, celui que tu aimerait. Je suis désolé de te l'apprendre mais, je voulais cela pour l'argent. Mon père, celui que tu n'as jamais rencontré, tomba gravement malade et je n'avais pas l'argent de le soigné et le tiens arriva au bon moment. Il était un ami du mien, il était donc sur d'avoir confiance en moi. Il voulait donc que ce soit avec moi que tu vives une relation. Je devais donc te faire vivre la plus belle relation qu'il soit et en échange j'étais payé et je pouvais payé les soins de mon père. Tu es quelqu'un de fabuleux hors ce n'ai pas à toi que mon cœur appartenais. Mais bien à un autre, Oh Sehun. Saches qu'il n'y ai pour rien, je l'ai connu bien avant toi. Pour en revenir à notre histoire, mon père décéda il y a maintenant un an, je n'avais donc plus besoin de l'argent sale que je gagnais grâce à ton père, je pouvais vivre de mon salaire de l'hôpital. Hors je ne savais comment rompre, c'est pour cela qu'il me fallut un an. Le lâche que je suis, je pars en te laissant cette lettre ainsi que les papiers du divorce déjà signé de ma part. Ne cherche pas à me contacter, tu n'as toujours était que mon « travail » rien de plus. J'ai déjà récupéré toutes mes affaires, c'est donc ainsi que se termine notre histoire. J'espère que tout ira bien pour toi.

Adieu.
Je prends ma démission. »

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