Nuit de l'âme
Dans le silence, mes pleurs se cachent,
Chaque soupir, une ombre qui s'attache,
Je déteste ce cœur qui ne sait plus aimer,
Errant dans le vide, je ne peux m'échapper.
Les jours s'effacent comme un souffle éteint,
Personne qui ne voit ce chagrin,
Les rires résonnent, mais je suis invisible,
Prisonnière d’une souffrance indicible.
Chaque matin, je porte ce fardeau,
Un masque de fer, un éternel écho,
Les larmes coulent, une pluie de désespoir,
Où est la lumière ? Où est le soir ?
Je me déteste, je me perds dans l’ombre,
Un poids invisible, qui jamais ne succombe,
Chaque geste, chaque mot, gravé de tristesse,
Dans ce silence, je cherche une caresse.
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