Chapitre 18 - Zaiden 🥃

Hello ! Excusez-moi, j'ai un petit peu de retard aujourd'hui 🙈

Comme toujours, j'espère que ce chapitre vous plaira et n'hésitez pas à me partager vos reáctions en commentaire, j'aimerais bien savoir ce que vous pensez de l'histoire arrivés à ce stade, surtout pour celles qui sont timides et commentent rarement 😅

Bonne lecture !

***

— Tu avais vraiment besoin de décompresser à ce que je vois ? raille Heather, la respiration saccadée.

Assis sur le bord du lit, je reboutonne mon pantalon, l'esprit encore en vrac. J'essaye de ne pas trop réfléchir à ce que je viens de faire. Il s'agit de la première fois que je toque à sa porte, désespéré. Seigneur, mon amour propre frôle le sol.

Et le pire dans tout ceci ? Je n'avais même pas envie d'elle. J'aurais pu accepter l'invitation de Lex et faire une tournée des bars ce soir, mais j'ai préféré me tourner directement vers elle. Après tout, je ne peux vraiment me défouler qu'en sa compagnie.

— Ça me réjouit que tu sois venu à moi, chuchote-t-elle, près de mon oreille.

Je sens ses lèvres parcourir mon dos, tout comme ses ongles parfaitement manucurés. Notre session de ce soir a été quelque peu brutale, peut-être même plus intense que d'habitude. Il y a tout juste quelques instants, j'étais encore en elle et je ne cessais de penser à Ava. Cette petite peste me hante comme jamais personne auparavant, et ça me frustre d'une manière totalement inouïe.

— Pourquoi tu ne restes pas un peu ? On pourrait recommencer une fois que tu auras rechargé les batteries.

Sa proposition est tentante, vraiment j'adorerais rester pour une nouvelle partie de jambes en l'air endiablée. La perspective de rentrer à l'appartement m'horrifie. À vrai dire, cette semaine, j'ai tout fait pour rentrer le plus tard possible afin d'éviter Ava. Après tout, cette stratégie a fonctionné pendant tout un mois, je peux la prolonger autant que possible.

Oui, il s'agit sans équivoque de la meilleure chose à faire. La croiser le moins possible est devenu une priorité vitale. Pourtant, mon désir ne fait qu'accroître. Mon cerveau s'amuse à me torturer. Je ne cesse de ressasser ce qui s'est produit dans la cuisine le soir où elle était totalement torchée. Ses confessions, la façon dont elle m'a touchée et la manière dont mon corps réagissait à sa proximité.

Cette fille est d'une dangerosité extrême, et je dois la maintenir à distance. Ces petits dérapages ne peuvent plus avoir lieu, alors je la sortirai de mon esprit à coup de baises volages s'il le faut. Je sauterai tout Manhattan avant ne serait que songer à la toucher. Il en est hors de question, putain !

— Tu hésites, se moque Heather. C'est si terrible que ça chez toi ?

Elle lit en moi comme dans un livre ouvert, et ça, c'est un vrai problème. Je n'ai pas besoin de me confier, elle sait. Après tout, nous avons partagé suffisamment d'orgasmes au cours de ces quatre dernières années pour qu'elle me connaisse un minimum, bien malgré moi.

Vêtue de sa nuisette mauve qui sied parfaitement à son teint, elle se lève et enfourche mon corps, appuyant sa féminité contre mon membre au repos. Ses tétons pointent sous son haut transparent, révélant des bourgeons rosés, très appétissants. Je les ai mordus, léchés, sucés, et leur douceur ainsi que leur fermeté ne me laissent pas indifférent.

— J'ai encore envie de toi, Zaiden. Je veux que tu me baises toute la nuit, fort, comme tu sais si bien le faire.

Elle me mord le lobe m'arrachant un léger frisson tandis que son bassin bouge lascivement, effectuant de légères rotations. Mes mains agrippent ses hanches. J'aime ce balancement. Il pourrait me faire perdre l'esprit dans d'autres circonstances, et je voudrais vraiment me laisser aller comme quelques secondes plus tôt. C'est un miracle que je n'ai pas réduit sa nuisette en lambeaux tant j'étais pressé lorsque j'ai débarqué chez elle, à l'improviste.

Bordel, ça ne me ressemble tellement pas. Est-ce que je perds l'esprit ? Depuis quand est-ce que j'agis comme un animal en rut ? Pourtant, c'est l'impression que j'ai depuis cette maudite nuit. Tous les soirs, je me masturbe pour me défouler et cette peste s'impose à moi, comme une évidence. Alors je jouis, son prénom sur mes lèvres, pendant que je me maudis d'être un tel salopard.

Mon dernier délire date de ce matin même, alors que j'étais en pleine session de relaxation dans mon sauna. Il faut croire que je me suis trop relaxé, parce que mon esprit dépravé a fantasmé sur la probabilité qu'Ava débarque, entourée d'une serviette et qu'elle se déshabille devant moi avant de chevaucher ma queue telle une fière amazone. J'étais tellement dur après ça que j'ai dû aller prendre une douche pour me remettre les idées en place. Ma queue me faisait un mal de chien tant elle était tendue, même me branler n'a pas suffi.

— Je te laisserai faire usage de mes nombreux petits jouets. Un plug dans mon cul afin de préparer la zone à ta présence... T'en dis quoi de me prendre par derrière ?

Heather sait comment jouer de ses mots pour stimuler mon imagination. Ce n'est pas mon truc préféré, mais je sais qu'elle adore ça, alors je cède parfois, juste pour voir ses réactions.

En revanche, lorsqu'elle a voulu inverser les rôles avec un gode-ceinture pour "élargir mes horizons", comme elle disait... disons que j'ai mis fin à l'idée avant même qu'elle ne puisse développer davantage. Il y a des limites que je ne franchirai jamais, et elle a vite compris que celle-là était gravée dans le marbre.

— Alors ? s'impatiente-t-elle, ses mots glissant entre deux baisers.

Je ferme les yeux, essayant de m'abandonner à l'instant. Sa langue explore ma bouche avec une précision calculée, mais mon esprit me trahit. Des images s'imposent malgré moi : elle, allongée sur le ventre, son dos cambré et ses fesses offertes, prêtes à accueillir chaque assaut. Mon poing agrippant fermement sa chevelure en un mélange de plaisir et de domination...

Mais ces mèches rousses s'éclaircissent, deviennent blondes, et cette voix aguicheuse prend des intonations bien trop familières. Une voix qui me rend fou, celle de la petite tornade que je devrais fuir à tout prix mais qui envahit mes pensées, encore et encore.

— Regarde-toi, continue-t-elle en caressant mon sexe en érection à travers le tissu de mon pantalon. Si tu ne réponds pas, je vais te prendre dans ma bouche.

Cette insinuation me fait grincer des dents. Encore une fois, je pense à Ava, ainsi qu'à chaque mot indécent qui est sorti de sa bouche cette nuit-là.

— Je crois...

Mes doigts s'enfoncent dans la chair de son bassin, puis je la repousse gentiment.

— Il est tard. Je devrais rentrer chez moi.

Ses sourcils se froncent. Elle n'attendait clairement pas cette réponse. Après tout, je semblais sur le point de céder. Elle se lève rapidement, énervée.

Le souffle contenu, je remets ma chemise ainsi que ma cravate, puis attrape ma veste, restée sur le siège en velours violet dans un coin de la chambre. Face au miroir sur le mur, je me recoiffe à l'aide de mes mains afin d'avoir l'air un peu digne en sortant de chez elle.

— Je pourrais m'habituer à ce genre de visites, me confie-t-elle, aguicheuse.

— Il s'agissait de l'exception, pas la règle, la mets-je en garde. Ne te fais pas d'illusions, ça ne se reproduira pas.

— J'imagine que tu avais la queue en feu pour te rabaisser à ce point, n'est-ce pas ?

Son ironie me tape sur le système, surtout, parce qu'elle a en partie raison. Jusqu'à présent, elle a toujours fait le premier pas. Je ne suis jamais venu la trouver en premier. Mais j'étais tellement frustré aujourd'hui que j'ai envoyé valser une de mes nombreuses règles.

— On peut dire ça, oui.

— Si je ne te savais pas adepte du plaisir solitaire, j'aurais pu parier que tes burnes étaient bleues.

— Très drôle, Heather, grommelé-je, agacé par ses provocations.

Elle rit, puis se laisse retomber sur son matelas, alors que son sourire disparaît petit à petit, plongée dans ses pensées.

— J'y vais, décrété-je, sur le point de sortir de la chambre.

— Zaiden... je pense qu'il serait temps d'officialiser, tu ne crois pas ?

Sa question me fige et me glace le sang. Une sensation très désagréable me parcourt l'échine, tandis que mon ventre se noue. A-t-elle perdu l'esprit ? Depuis quand elle cherche une relation stable ? Serait-ce un de ses nouveaux délires parce qu'elle aura bientôt trente ans ? Son horloge biologique s'est réveillée ?

— Pardon ?

— Tu m'as parfaitement bien entendue. Nos baises sont grandioses. On s'entend bien, on se comprend même... pourquoi ne pas rendre la chose officielle ? Puis, imagine, pour les affaires, ce serait sensationnel.

Pendant un instant, je suis tenté de rire, croyant qu'elle plaisante. Toutefois, lorsque je vois cette lueur étrange dans ses prunelles, je comprends qu'elle est sérieuse. Très sérieuse, même.

— T'as craqué ?

Elle hausse les épaules, un air détaché sur le visage.

— Réfléchis-y, Zaiden. On est compatibles. On ne s'encombre pas de sentimentalisme. On est adultes, pragmatiques, et surtout, on se fait plaisir. Pourquoi pas ?

Je lâche un rire bref, sans chaleur, presque nerveux.

— Heather, on baise. C'est tout. C'est ce qu'on a toujours fait, et ça marche parce qu'on n'attend rien de l'autre. Tu veux vraiment foutre ça en l'air pour... quoi ? Une histoire de statut ?

Elle se redresse, appuyant ses coudes sur ses genoux, son regard maintenant perçant.

— Peut-être que toi, tu n'attends rien. Mais moi, Zaiden...

Je lève une main pour l'arrêter avant qu'elle n'aille plus loin.

— Stop. Arrête-toi là. Si tu t'imagines quoi que ce soit, il vaut mieux qu'on coupe court à tout ça maintenant.

Ses lèvres s'entrouvrent, mais aucun son n'en sort. Je vois sa fierté vaciller un instant, et ça me laisse un goût amer. Heather est une femme forte, indépendante, mais ce qu'elle vient de proposer me prouve qu'elle cherche à combler quelque chose. Un vide peut-être, mais je ne suis pas l'homme qu'il lui faut pour ce genre de tâches.

— Tu m'utilises, lâche-t-elle finalement, presque dans un murmure.

Tout à coup, j'ai l'impression d'avoir débarqué dans un univers parallèle. Elle était la première à juste vouloir qu'on s'envoie en l'air de temps en temps, sans rien attendre l'un de l'autre. Qu'est-ce qui a changé ?

— Non. On s'utilise. C'est notre arrangement depuis quatre ans, Heather. Tu savais très bien dans quoi tu t'engageais.

Elle se détourne, laissant échapper un soupir.

— J'ai peut-être changé d'avis.

— Eh bien, pas moi.

— Oui, bien sûr. Après tout, je ne suis que celle que tu baises pendant que celle qui éveille tes appétits sexuels dort dans la chambre à côté de la tienne.

— T'as dit quoi là ?

— Tu m'as parfaitement entendue, renâcle-t-elle. Au moins, si tu agis comme un sale porc, assume. Franchement, t'as pas honte de bander sur une gamine que tu as vu en couche culotte ? T'aurais pas certains penchants ?

Ses mots résonnent dans la pièce comme un coup de tonnerre. Mon cœur rate un battement, puis une vague de colère glacée monte en moi. Je la fixe, incrédule, avant de froncer les sourcils.

— T'as perdu la tête, Heather ?

— Non, réplique-t-elle, provocante. Mais toi, apparemment, oui. T'as pensé à ce que dirait Shane s'il savait ?

Sa mention du prénom de mon meilleur ami est un coup bas, un coup calculé pour atteindre un point sensible. Et elle réussit. Une lame de culpabilité me transperce, mais je refuse de la montrer.

— T'es sérieuse, là ? demandé-je, ma voix vibrante de fureur. T'insinues que j'ai des... penchants déviants ?

— Pas juste des penchants, Zaiden. Tu bandais déjà sur elle lorsqu'elle gazouillait ?

Dégoûté, je recule d'un pas. Il vaut mieux que je parte avant de commettre une énorme connerie. Mais ce qu'elle sous-entend me retourne l'estomac. Elle croit sincèrement que... bon sang, rien que le fait d'y songer me file la gerbe.

— Bordel, mais tu es complètement malade ! Ava est...

— Si tu oses me dire qu'elle est comme ta sœur, revois ta définition ! crache-t-elle, plus mauvaise que jamais.

— Je n'ai pas de comptes à te rendre. Et sache que toi et moi, c'est définitivement terminé !

— On ne peut pas terminer quelque chose qui n'a jamais commencé. Et je suis certaine que tu reviendras en rampant devant moi lorsque tu seras en manque de sexe. Mais cette fois, je te claquerai la porte au nez. Oh ! Et tu peux dire adieu à mon investissement. Je vendrai mes actions pour te pourrir la vie.

Sa menace glisse sur moi comme une brise froide. Heather croit avoir du pouvoir sur moi, mais elle sous-estime mon endurance. Elle n'est qu'une distraction, une échappatoire temporaire. Rien de plus. Qu'elle fasse ce qu'il lui chante, je n'en ai rien à foutre, et surtout, je n'ai pas besoin d'elle.

— Contrairement à toi, je ne mélange jamais le personnel et les affaires.

— Dégage, Zaiden ! hurle-t-elle en me balançant une pantoufle. Je ne veux plus jamais te revoir !

— Avec plaisir ! rétorqué-je, attrapant ma veste avant de claquer la porte derrière moi.

Alors que je descends les escaliers menant à la sortie, une boule d'agacement me noue l'estomac. Je n'aurais jamais dû venir ici ce soir. Mais ce qui me dérange le plus, c'est que malgré tout, même après ça... je sais qu'elle a raison sur un point.

Je suis venu la voir parce que je suis incapable d'affronter mes démons.

Et mon plus grand démon, en ce moment, a un prénom. Ava.

***

— Donc... t'as eu droit à une crise de jalousie de la part d'Heather, résume Lex à l'autre bout du fil. Ça a dû être épique !

Les mains sur le volant de mon Aston Martin, je tourne dans mon quartier avant de m'engouffrer dans le garage de mon immeuble. En sortant de chez la rouquine, j'ai ressenti le besoin de contacter mon ami.

Adepte des relations sans lendemain, il est sûrement la personne la mieux placée pour comprendre cette aversion que j'éprouve envers le compromis. Heather et moi, c'était sympa tant que ça a duré, et elle a décidé de tout envoyer valser pour une question... d'égo ?

En ce moment, je suis assez perdu. Elle n'a jamais montré le moindre sentiment, la moindre envie de construire quelque chose de durable avec moi. Alors... qu'est-ce qui a changé ? C'est la venue d'Ava qui l'a rendue territoriale ? J'ai du mal à saisir son comportement à la noix.

Putain, elle me prend la tête !

— Heather cache bien son jeu, soupire Lex. Je t'avais prévenu.

— Mais de quoi tu parles ?

J'éteins le moteur une fois mon bolide garé à sa place habituelle. Je laisse retomber mon visage sur le volant, à bout. Cette soirée me semble interminable.

— Je t'avais dit qu'avoir des séances de baise régulières avec elle terminerait en drame.

— Jusqu'à il y a encore un mois, elle ne m'avait jamais fait ce genre de scènes.

— Oui, avant qu'Ava ne débarque.

— Ne mêle pas Ava à tout ça, grogné-je, agacé qu'il puisse s'en rendre compte également.

— C'est juste un constat, tu sais, raille-t-il. Honnêtement, si tu ne veux pas de relation et juste baiser, n'aies pas une partenaire régulière. Ça complique toujours tout. Pour ma part, je les garde tout au plus une semaine, et ensuite, sayonara baby.

Oui, mais j'aimais l'idée d'avoir quelqu'un en qui je pouvais avoir un semblant de confiance, me lâcher totalement et explorer les facettes les plus controversées de la sexualité. Avec Heather, la limite n'existait pas, et c'était ce que j'appréciais. Je ne me sentais pas jugé, ni rabaissé. En somme, j'avais l'impression d'être vraiment vivant pendant nos parties de baise... et pourtant, elle a réussi à tout gâcher en un claquement de doigts.

Ses accusations... rien que d'y songer, j'ai envie de gerber. J'éprouvais déjà suffisamment de culpabilité pour qu'elle en rajoute une couche en me traitant implicitement de pédophile.

Bon sang, jusqu'à ce qu'elle débarque il y a plus d'un mois chez moi, jamais je n'avais eu de telles pensées vis-à-vis d'Ava. Il y a dix ans, elle n'était qu'une gosse à mes yeux. Une gosse attachiante, que j'aimais profondément, comme une petite sœur. Oui ! Mais à présent, tout est différent et me battre contre cette attirance, cette tension qui emplit une pièce lorsque nous sommes ensemble, me semble impossible. Voilà pourquoi je fuis au lieu de l'affronter, parce qu'à chaque fois, je suis à deux doigts de craquer et je suis bien trop conscient des problèmes qu'un tel dérapage engendrerait.

— Te bile pas. Heather ne fera rien en ce qui concerne MTS Corp, me rassure Lex. Elle a tendance à exagérer lorsqu'elle est en colère.

Oui, il le sait bien mieux que moi, étant donné qu'ils se connaissent depuis qu'ils sont enfants.

— Bon, ce n'est pas tout ça, mais j'ai une jolie demoiselle qui attend que j'aille lui brouter la chatte.

Je grimace, écœuré alors que la scène s'impose à moi.

— Merci beaucoup pour tous ces détails, Lex.

— Au plaisir ! Allez, on se voit demain. Une partie de golf avec Marvin, ça te branche ?

— Ouais, ce serait pas mal.

Ça m'empêchera de réfléchir, et surtout, ce sera un prétexte parfait pour ne pas rester à l'appartement.

Lex raccroche et je me laisse retomber sur mon siège, le regard rivé sur l'ascenseur de l'autre côté du garage, tout en priant pour qu'Ava soit couchée à cette heure-ci. Je ne pense pas être capable de lui faire face cette nuit.  

❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️

Le pauvre Zaiden est tombé sur une harpie qui a frappé là où ça fait mal, le plongeant encore plus dans la confusion et la culpabilité. J'avoue avoir eu du mal à écrire ce chapitres tant Heather est infecte dedans. Elle atteint un level de méchanceté très élevé. 

Bref, j'espère que ce chapitre vous a plu. Comme dit au début du chapitre, n'hésitez pas à me dire ce que vous pensez de l'histoire jusqu'à présent. Ça aide l'auteure à mieux savoir si vous appréciez etc (les étoiles c'est très bien, mais un petit mot fait toujours plaisir 🙈)

On se retrouve samedi pour la suite ! 

Bisous ! ❤️

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top