Fête, dodo, Londres, Angleterre.

«BONNE FÊTE HARRY! BONNE FÊTE HAZZAAAAA! BONNE FÊTE, BONNE FÊTE! BONNE FÊTE STYYYYLES!

- Je t'ai pas donné la clé de mon appart' pour que tu viennes me souhaiter bon anniversaire à putain de minuit... (voix rauque du matin, enrouée) Mais merci, hein.

- Je t'ai apporté ça!

- Hmm, t'aurais pu attendre à 1h00 du mat au moins.

- Ouvre!

- Oh, t'es tellement remplie d'émotions et si sensible. Wow.

- Quoi... C'est joli. J'ai pensé à toi quand je l'ai vu.

- Merci beaucoup. Je déconnais, c'est mignon, comme moi.

- T'es qu'un sale narcissique dis donc; même en pleine nuit!

- Ouais, tu l'as dit: en pleine nuit. Alors merci, je vais poser la chaîne juste là et toi tu viens dormir ou tu sors, c'est bon?

- Ouais. (couchée aux côtés d'Harry, remonte la couette) Bonne nuit, alors.

- Bonne nuit...

- J'ai froid.

- Viens là (la prend dans ses bras, au chaud), mais arrête de parler par pitié!»