Chapitre 17 : Lecture déconseillée au moins de 18 ans.
Contre toute attente, Andréa suit Merle sans un mot de plus. Une fois la porte fermée derrière eux, Carol s'avance vers moi.
_ Vas te reposer ma belle, tu es blanche comme un linge, me dit – elle tendrement.
_ Je . . . non ça va Carol, mais je n'ai pas le temps de finir que Daryl me prend les assiettes des mains et les donne à Carol. Puis il me prend la main et me retourne vers lui.
_ T'as besoin d'te reposer Alice, . . . viens on va dormir, me dit – il tendrement.
Au moment où nous nous dirigeons vers les escaliers, les conversations s'arrêtent et tout le monde nous souhaite une bonne nuit. Daryl fait un geste de la main, quand à moi, je le suis sans oser regarder les autres qui sont en train de sourire.
Une fois la porte de notre chambre fermée, je suis prise d'un excès de timidité sans nom. Je suis là debout ne sachant pas quoi faire, ni quoi dire. C'est Daryl qui rompt ce silence devenu pesant.
_ Tu veux prendre ta douche en premier ? Me demande – t – il simplement.
_ Euh, oui merci, lui répondis – je trop heureuse de me soustraire à ce moment de gène.
Il me fait un signe de tête, avant de s'allonger sur le lit, les bras croisés derrière la tête. J'attrape un short et un débardeur avant de me diriger vers la salle de bain.
J'ouvre l'eau chaude à fond et me glisse dessous sans attendre. J'aimerai rester des heures sous cette douche mais je dois penser aux autres. S'ils n'ont plus d'eau chaude, je risque de gros problème. Je me savonne rapidement et me rince de la même façon puis j'enfile ma tenue. Quand je sors de la salle de bain, je sens le regard de Daryl détaillé mon corps de haut en bas. Le feu me monte aux joues . Cette fois - ci, c'est moi qui rompt le silence.
_ Je vais une petite lessive, dis – je hésitante en ramassant mon slim et mon tee – shirt, tu me donneras tes affaires, si tu veux.
Daryl se redresse et commence à déboutonner sa chemise sans me quitter des yeux. À chaque bouton qu'il ouvre, ses yeux s'assombrissent de désir. En ce qui me concerne, le rythme de ma respiration est de plus en plus aléatoire.
Quand il se lève pour enlever sa chemise suivie de son pantalon. Je ne peux empêcher mes yeux de détailler chaque parcelle de son corps et plus précisément de son torse parfaitement sculpté. À cette vision, je mords ma lèvre inférieure sans même m'en rendre compte. À ce geste de ma part, Daryl réduit la distance qui nous sépare et me prend le linge des mains pour le poser sur la commode.
Une fois cela fait, il se place juste devant moi, uniquement vêtu de son caleçon. Je suis incapable de bouger. Ses mains se posent sur ma taille et il colle son front au mien. C'est sa manière de nous créer une bulle, . . . notre bulle. À cet instant, plus rien n'existe . . . sauf nous.
_ Alice, je suis désolé, articule – t – il en me regardant droit dans les yeux.
_ Je sais, lui répondis – je simplement en caressant sa joue.
À mon contact, il ferme les yeux et incline sa tête. On reste ainsi quelques secondes. Aucun de nous deux n'ose bouger. Il finit par poser sa main sur la mienne et la prend pour l'effleurer de ses lèvres.
Ce simple baiser me couvre le corps de frissons. Ma réaction l'encourage, il réduit encore la distance entre nos deux visages jusqu'à ce que nos lèvres se touchent. Elles s'effleurent, se frôlent, se cherchent, se touchent. Mais cela suffit amplement à faire naître une tension enivrante dans nos deux corps.
Pendant que nos lèvres se butinent tendrement, lascivement. Mes mains caressent timidement ses bras et remontent jusque dans son cou. À chaque effleurement de mes mains sur son corps, je le sens frémir tout comme moi.
Plus il me serre contre lui, plus les baisers deviennent charnels, sensuels. Quand il taquine ma lèvre inférieure de sa langue, je ne peux retenir un gémissement. Ses mains descendent dans mon dos pour se saisir de mes fesses et me coller davantage contre son corps bouillonnant.
Ce geste m'arrache un petit cri de surprise. Il en profite pour introduire sa langue entre mes lèvres. Cette dernière trouve sa jumelle et je ne peux retenir un gémissement quand elles taquinent. Nous nous embrassons plusieurs minutes profitant l'un de l'autre. Ses mains quittent à regret mon postérieur et remontent dans le bas de mon dos. Quand elles passent sous mon débardeur, ma tête bascule en arrière dans un soupir, lui laissant un libre accès à mon cou qu'il couvre de baisers. Tous plus enivrant les uns que les autres.
Quand mon regard croise à nouveau le sien, je les sens aussi fébrile et rempli de désir que moi. Jamais aucun homme ne m'a regardée comme lui, ne m'a désirée comme lui, . . . comme quelque chose de rare, de précieux. Quand à moi, je n'ai jamais voulu que lui en fait, . . . si je suis honnête, . . . je le veux depuis toujours.
Me tenant toujours la main, il se dirige vers le lit où il s'assoit me positionnant entre ses jambes. Ses mains remontent avec une lenteur presque douloureuse le long de mes flancs emportant sur leurs passages mon débardeur dévoilant ainsi ma poitrine. Mon premier réflexe serait de couvrir mes seins, mais son regard brûlant de désir m'en empêche. Il m'attire à lui couvrant mon ventre de baisers. Ses mains remontent jusqu'à mes seins qu'il caresse avec douceur. La tension dans mon bas ventre se fait plus pressante. Je me mords la lèvre pour étouffer mes gémissements, pendant que mes mains s'appuient sur ses larges épaules pour me maintenir debout.
Alors qu'une de ses mains caresse avidement mon sein tout en agaçant la pointe de ce dernier tendu de désir, son autre main dénoue la ficelle de mon short. Il le fait glisser le long de mes jambes . . . me laissant totalement nue devant lui. Je tremble de plus en plus, c'est à ce moment que Daryl s'arrête et m'assoit sur lui à califourchon.
À peine posée sur lui, je peux ressentir contre mon intimité sensible toute l'intensité de son envie. Il grogne de désir contre mon cou quand je passe mes mains dans ses cheveux et l'embrasse langoureusement dans le cou juste sous son oreille.
Je capture ses lèvre quand il me bascule sous lui. Ses lèvres quittent les miennes pour descendre sur la ligne de mon cou, . . . de mon épaule, . . . de mes seins, . . . puis mon nombril, . . . pour terminer dans la moiteur de mon intimité. Je ne peux me retenir de gémir sous les assauts de ses lèvres gourmandes sur cette zone particulièrement réceptive de mon corps. Chacun de mes gémissements incite Daryl à poursuivre ce qu'il fait. Ma respiration est de plus en plus saccadée. Je murmure son prénom entre deux grognements de plaisir. Quand tout mon corps se met à trembler. Daryl remonte alors par le même chemin puis il m'embrasse sur le front et me serre contre lui, tout en caressant mes cheveux.
Pendant que je reprends mes esprits, je ballade doucement ma main sur mon torse suivant toutes les lignes de ses muscles. Il frissonne et sa respiration se fait plus fébrile. Je me redresse sur un coude et dépose une pluie de baisers sur son torse. Ma main descend le long de son buste et s'insinue sous son caleçon pour caresser lentement son membre durci. Il grogne de désir et de plaisir quand je laisse mes doigts glisser sur sa toute la longueur de sa virilité.
Ne tenant plus, Daryl se redresse et se débarrasse rapidement de son caleçon. Il revient vers moi et m'embrasse tendrement tout en se plaçant entre mes jambes. Alors que nos baisers sont sensuels et que mes mains se baladent sur son corps parfait. Il s'éloigne de mon visage et m'interroge du regard.
Pour toute réponse, je lui souris, puis pose mes lèvres sur les siennes pour nous sceller l'un à l'autre. Quand à mes mains, elles se posent sur ses fesses diablement musclées pour l'inciter à aller là où je voulais qu'il soit . . . en moi. Comprenant où je voulais en venir, Daryl me pénètre doucement avec une lenteur presque insoutenable tant j'ai besoin de lui, . . . un besoin vital.
Daryl installe un rythme tendre et lent. Puis au fur et à mesure, que nos baisers se font plus profonds, . . . plus sensuels, . . . plus avides, ses coups de reins deviennent plus profonds et sauvages. Nos lèvres restent collées pour aspirer les gémissement l'un de l'autre. Nos corps en sueur atteignent l'orgasme. Nous restons lovés l'un contre l'autre sans un mot. Juste des regards, . . . des sourires, . . . de tendres baiser et . . . nous nous endormons blottis l'un contre l'autre.
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