Chapitre 9


Lilou Graves

- Attends Lilou, je crois que j'ai trouvé quelques chose. C'est encore trop vague mais c'est prometteur.

Luther nous regarda dans l'incompresssion.

- Qu'est ce que c'est que ça ? Demanda Luther a Cinq qui étais toujours tourné vers ses probabilités.

- Des probabilités, lui répondis je en soupirant.

- Des probabilités de quoi ?

- Des probabilités dont la mort de certaines personnes pourrait sauver le monde. On, non en fait, Cinq, à réduit les possibilités à quatre. Moi je sert simplement à l'aider en corrigeant ses calculs.

Je m'assaya sur le rebord de la fenêtre en regardant Luther. Il étais bouche bée et, apparemment ne comprenait pas vraiment.

- Attendez, vous êtes en train de me dire que l'une de ces quatre personne est responsable de la fin du monde ?

- Non, en revanche leur mort pourrait l'empêché.

- Ok. J'ai pas tout suivi...

Je souffla et continua.

- Le temps et changeant Numéro 1. Une altération minimes des événements peut venir troubler tout le continuum espace temps, lui dis je.

A sa tête, il n'avais pas compris. Cinq s'en rendit compte donc se tourna vers lui en disant.

- L'effet papillon, tu vois. Tout ce que nous avons à faire c'est de trouvé les personnes qui sont les plus susceptibles de déclencher la fin du monde et de les tué.

Il hocha la tête mais ça se voyait qu'il était perdu.

Cinq descendit du lit et alla farfouiller dans ses tiroirs et sous son lit.

- Milton Green ? C'est qui ? Un terroriste ?

- Lui, il me semble que c'est un jardinier, lui répondis je toujours en train de regarder les calculs de Cinq pour décelé une erreur. Le truc c'est qu'ils étaient parfait !

- Attendez, vous rigoler la ?! Cinq ! Lilou ! Un jardinier ?!

- Déjà tu m'appelle Five, et pas "Lilou", dis je agacé.

Je vis Cinq en train de tenir une énorme mitrailleuse.

- Tu vise pas ça sur moi, un ? Dis je en rigolant.

Il rigola a son tour.

- D'où tu sors ce bordel ?!

- Ça ? Je l'ai trouvé dans le bureau du vieux. Il me semble qu'il s'en étais servi pour tuer un rhinocéros. Il ressemble au modèle que j'avais au boulot, léger, facile a manié et très fiable.

- Attends, je peux essayer ? Dis je en commençant à me lever.

Mais Luther se mit devant moi ce qui me fit me rassoir sur la fenêtre ce qui me fit a moitié tomber.

- Mais ce n'est pas notre façon de faire ! S'exclama t il.

- Luther, fais pas le con, on ne peux pas sauver tout le monde ! Dis je en me tenant pour pas tombé.

- En plus ce n'est pas TOI mais NOUS qui allons le faire. Donc je ne voit pas le problème  dit Cinq.

- Je ne vous laisserai pas tué des innocents.

- Bouge Luther je vais tomber ! M'ecriais je en me sentant basculer de plus en plus.

- Ah bon ? Bah essaie de nous en empêché ! Déclara Cinq d'un ton arrogant.

- Désolé, vous n'irai nul part.

Luther recula et je tomba. Mais il me rattrapa par le cou. J'étais suspendu en l'air et il m'etouffais.

- Lâche la ! Dit Cinq en pointant son arme sur lui.

- Lut... Luther. Lâche moi ! Tu... Tu m'etouffe !

Je frappait de toute mes forces pour qu'il me lâche mais il continua.

J'etouffais littéralement.

- Pose ton arme. C'est ou ça, ou elle. Je sais que tu tiens à elle.

Je n'avais plus aucune force sur moi et je toussais de tout mes poumons. Je devenais rouge violette.

- Lâche la tu l'etouffe ! S'écria Cinq.

Je sentis qu'on me lacha. Je tombait. Puis je sentis que Cinq me rattrapa par la taille et me colla contre lui.

- Oh mon dieu, merci, je t'ai eu ! S'écria Cinq dans un soupir de soulagement.

Je toussa fort en reprenant de l'air. J'avais mal a la gorge et j'avais la trace rouge de sa main sur ma gorge.

- Et après c'est toi qui vient faire la morale en disant qu'il ne faut pas tuer d'être vivant Numéro 1, articulais je. Tu m'exaspere putain... Et je te promet que quand j'aurai retrouvé ma force tu va me le payer ! Dis je larmoyante.

Je toussa et Cinq me serra un peu plus contre lui.

- Je savais que au fond de toi tu étais une belle personne Cinq, dit Luther avant de repartir.

Une fois qu'il était partit, Cinq m'embrassa.
Nous nous séparames au bout de plusieurs secondes qui parrurent une éternité.

- Je réponds à ta phrase de l'autre jour, moi non plus je ne t'ai pas embrassé parceque j'étais bourré mais parceque je t'aime.

Je le serra plus fort et lova ma tête dans son cou et lui posa sa tête sur la mienne. Nous réstames plusieurs minutes comme ça.

- Je te protégerai toujours Graves, je te le jure, murmura Cinq à mon oreille.

Je l'aimais, je le savais depuis le début. Je ne pouvais m'imaginé vivre sans lui, je ne pouvais pas m'imaginer avec quelqu'un d'autre que lui.

                                                   

Hey !
Pareil, chapitre court, malheureusement.
Mais ils me prennent moin de temps à écrire et a corriger et je peux les publiés beaucoup plus vite !
Bref, j'essaierai de poster le chapitre 10 dès que je peux commencer à l'écrire.
Bon bah, bonne nuit/journée,et bon week end !
Et merci pour les 600 vues omgg !!!♡♡

863 mots

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