Chapitre 18

PDV Cinq

Lilou était vraiment à bouts de force depuis qu elle avait téléporter la voiture avec nous tous dedans a 40 km plus loin. Quelle idée franchement...

Je nous teleporta donc à la Umbrella Academy dans un ultime effort. Je sentis que Lilou m'aidait. Elle voulait vraiment mourir d'épuisement elle... C'est pas possible...

Grace pris alors en charge de soigner Allison. Elle la déposa sur le lit de l'infirmerie de l'académie, oui, il y a une infirmerie a l'académy.

- Elle a une profonde entaille au niveau du larynx. L'un de vous doit lui donner de son sang. Dit Grace, compressant sur la blessure pour éviter que le sang coule encore un peu plus.

- Prenez le mien ! Déclarons nous tous en même temps.

- Je vais le faire. Redit Luther plus fort.

- Je crain bien que cela est impossible, mon garçon, votre sang est bien plus compatible avec le mien. Expliqua doucement Pogo a Luther.

- Bon, bah vous savez quoi ? Je vais m'en charger. Dit Klaus décider à donné de son sang pour sauver sa sur.

- Monsieur Klaus, votre sang est bien trop Comment dire Pollué.

- Alors je vais lui donné mon sang, dit calmement Lilou.

Je lui barra la route et me retourna vers elle.

- Il en est hors de question ! Tu est tellement fatigué que si tu lui donne une goutte tu va t'effondrer. Non, par contre, ce que tu peux faire, c'est allez te coucher pour justement reprendre des forces.

Je la prit dans mes bras et lui déposa un baisé sur le front. Mais elle m'écarta et m'embrassa. Je fut surpris mais je ne rétorqua pas.

Diego s'avança vers Grace pour lui donner son sang. Lilou rigola.

- Diego, ta pas peur des aiguilles toi ?

- N'importe quoi ! Comment je pourrai avoir peur des

Mais il ne put terminé sa phrase car il s'effondra a la vu de l'aiguille. Grace préleva alors le sang de Diego et le transféra à Allison.

- Qu'est ce que j'avais dit, rigola Lilou.

PDV Lilou Graves

J'étais appuyer sur le mur de la chambre de Klaus. Je le voyais fouillé partout dans sa chambre. J'alla m'allongé sur son lit et regarda le plafond.

- Tu cherche quoi Klaus ?

- De la drogue.

- Pfff Essaie d'arrêter la drogue, c'est pas bon pour toi chouchou.

- Bah vous savez quoi ? J'en ai rat le cul de vous écoutez, alors foutez le camp !

Je regarda dans la chambre. Pourquoi Klaus disais Vous ?

- Vous ?

- Ben et toi. Vous me rabâché la même chose

Puis je me souvint que Klaus voyait les morts et que donc il voyait aussi Ben. Ce qui voulais dire que Ben était présent dans la pièce.

- Bonjour Ben.

Je n'eu pas de réponse. Bien évidement.

- Comment ça ou j'en suis ?! Qu'est ce que ça change, franchement ? Dites moi ou j'en suis, dites moi ! Nulle part ! Nulle part ! Je peux même pas parler à celui que j'aime et Et personne ne me prends au sérieux ! Je veux être à l'ouest, comme avant !

Je regardais Klaus pêter un cable sans savoir comment réagir ni que faire. Ben avait dut lui dire un truc et du coup Klaus avait pêté un câble à cause du manque de drogue.

- Klaus Tu pense que c'est pourquoi que les gens ne te prennent pas au sérieux, franchement ? Tu te drogue de plus en plus de jour en jour ! Forcément que l'on ne te prends plus au sérieux ! Comment prendre au sérieux un mec qui dit des conneries à cause de l'emprise de la drogue ?! Lui criais-je. Mais je vis vite que ça ne servait à rien car il continua de fouiller. T'es vraiment qu'une couille molle Klaus

Il se retourna en entendant ma dernière phrase.

- Vraiment ?

- Ouai, vraiment. Eh ! Réveille toi ! La vie c'est pas sensée etre facile ! La vie c'est compliquée. Des innocents meurent chaque jour Klaus.

- C'est toujours la même disquette avec vous !

- Klaus Je parlais de la personne que tu a perdu

Il tourna la tête.

- Et bah tourne la tête ! Qu'est ce tu veux que je te dise ?! Cria Klaus surement après une réplique de Ben.

- Ta raison Vous avez tous les deux raison. Je suis vraiment désolé.

J'aurai bien voulu croire ce qu'il me disais mais je savais très bien que c'étais impossible qu'il abandonne si facilement. La drogue ne s'appelle pas "drogue" pour rien. Et j'ai eu raison de douté car Klaus nous cria :

- J'DECONNE !!! explosa t il de rire avant de mettre en bouche la pastille blanche sous mes yeux écarquillés.

Mais la tête de Klaus partit en couilles comme si quelques chose d'invisible lui avait mis un énorme coup de poing dans la gueule. La pastille vola sous le choque. Je fronça les sourcils ne comprenant pas. Klaus se tenait la joue, qui était devenu rouge.

- Am I dreaming or did you just Patrick Swayzed me ?

Et moi, qui ne comprennait toujours absolument pas se qu'il vennait de se passer.

- Ben Comment, comment t'as fait ça ?

- C'est Ben qui ta fait ça ?! Mais c'est pas possible Ben est mort Il ne peut pas être matériel

- Tu viens de m'en foutre une et tu me dis que c'est pas toi ?!

Je fronçais les sourcils cherchant une explication scientifique et logique à tout ce que j'avais vu. A moins que Klaus m'ai drogué et que tous ce que j'ai vu n'étais que hallucinations, je n'avais aucune explications. J'étais peut être trop fatiguer ?

J'étais descendu dans le salon rejoindre les autres qui débattaient sur le cas Vanya et Harold Jenkins. Enfin, c'était plus Cinq et Diego.

-... Et si l'Apocalypse est pour aujourd'hui, Vanya mourra avec les sept autres milliards de personnes sur Terre, et nous aussi. Harold Jenkins est notre priorité.

- La dessus on est d'accord. Répondit Cinq. Allez on y va. Klaus, Lilou ?

Je me leva du canapé et rejoignis Cinq, enroulant un bras autour de ses épaules.

- Allez y sans moi, dit Klaus qui boudait sur le canapé. C'est pas pour vous vexer, mais Je trouve que c'est beaucoup trop à supporté pour le tout nouveau moi.

- Klaus, bouge ton cul.

- Non, non. Et puis comme vous le savez tous, mes pouvoirs ne servent pas à grands chose, vous croyez pas ? Alors, je pense que je vous ralentirais plus qu'autre chose. Allez y.

- Lève toi Klaus, lui ordonna Cinq qui s'impatientait déjà.

- Quoi ? Vous allez m'y obligé ? Rigola t'il en s'installent un peu plus profondément dans le canapé.

Diego prit l'un de ses couteaux et le lança entre les jambes du Junkie qui sursauta en levant les mains au ciel sous l'effet de la surprise.

- D'accord, d'accord ! Un peu d'exercice ne me fera pas de mal.

On était arrivé à destination et je me penchais déjà au dessus du corp inerte de Harold Jenkins. Plein de couteau et de métaux était plantés en lui, son corp était totalement déchiré, mutilé. Je grimaça sous cette vu.

- Aucune trace de Vanya. Espérons qu'elle ne finisse pas pareil que son petit copain parce que sinon Commentais je ne voulant pas finir ma phrase.

- Va falloir qu'on s'casse avant que les flics arrivent.

Les autres commençaient déjà à partir. Mais je remarqua un détail qui me fit sourire.

- Cinq ! Attends !

Il se retourna vite vers moi le regard interrogateur.

- Ton oeil ! Regarde son cache oeil ! Il lui manque un oeil !

Les autres s'étaient arrêté, nous regardant ne comprenant pas.

Je retira le cache oeil de Harold Jenkins, montrant à Cinq l'il manquant du cadavre.

Cinq sortit de sa poche la prothèse et la mis littéralement dans l'orbite du cadavre. Je dois avouer que à voir ça et de la façon dont Cinq la fait, je rigola, sous le regard consterné des autres.

- Regardez. Même couleur, même pupille. L'oeil que je trimballe depuis des années a enfin retrouver sa place.

- Oui, ça place qui est dans un oeil vide de cadavre

- C'est lui que l'ont devait tué pour empêcher l'apocalypse.

- Youpi ! Dit Klaus tout content. Allons y, dit il, cette fois le ton tout calme est même l'air de dire, "j'en ai rien à foutre". Il commençait à s'éloigner mais Diego le retint par le col, le forçant à rester.

- C'est trop simple Regarder le message que j'ai reçu de la Commission. "Protéger Harold Jenkins", alias Leonard Peabody. Mais qui l'a tué dans ce cas ? Demanda Cinq, comme pour lui même.

- Le mieux serait que l'ont retrouve Vanya pour lui demander. Tout le monde me regardait. Bah quoi ? Je suis certaine que Vanya a été la dernière personne qui a vu Harold Jenkins avant qu'il ne meurt. Je vous rappelle que c'est quand même son petit copain. Et si d'ailleurs c'était ELLE qui avait tué Harold ?

Cinq me prit la main et nous téléporta. On était à l'académy.

- C'était qu'une subjection

- C'est pas le problème.

On chercha Vanya dans tout le manoir mais nous ne trouvâmes rien.

- Bon courage, nous dis alors Diego.

- Mais tu va ou toi ?

- Vanya cours toujours dans la nature, tout comme Hazel et Chacha.

- Je sais ouai. Je prends mes affaires et je me casse, j'ai encore des affaires à régler avec ces connards.

Puis il partit.

- On parie combien il va se faire tué ?

Mais Cinq ne m'écouta pas et se dirigea vers Klaus.

- Dis, est ce que papa ta parlé de l'Apocalypse ? Il a évoqué des signes en rapport avec

- Non. Il ma rien dit. Mais il ma fait un rasage d'exception je dois dire Dit il perdu dans ses penser, appuyé contre la rembarre en se touchant le menton. Mais non, aucun indices.

- Par contre, il a évoqué mon potentiel et qu'il était déçu que je m'en serve pas

- Comment a t'il sut pour l'Apocalypse.

- Je sais toujours pas Chouchou. C'est pas en répétant la même question tous les jours que l'on va trouver la réponse d'ailleurs.

- Je sais Mais ça me perturbe de ne pas avoir de réponses à mes questions

- Enfin bref, comment avez vous sut ce que vous deviez faire ?

- J'en savais rien. Répondis sèchement Cinq. T'en serai conscient si t'étais clean.

- Mais je suis clean ! Ca fait deux jours que j'ai rien pris ! S'indigna le quatrième frère Hargreeves.

- Deux jours, mais bien sur. S'exaspéra Cinq.

- J'ai l'impression que ça fait quarante cinq ans ! S'indigna le Junkie.

- Tu te fous de ma gueule Klaus ?! Ta pas tenu en place de toute la journée !

- Faut croire qu'on est tous les deux dépendant alors, rigola Klaus en regardant Cinq, qui était consterné.

- Je ne suis pas un Junkie.

- Si, puisque tu est accro à une drogue appelée "Apocalypse".

Je sourit. Klaus avait il envie de mourir si jeune ?

- N'importe quoi, souffla Cinq. Je te le dis direct, toi et moi on a rien en commun.

- Je connais ce regard par cur. Je l'ai déjà dans les yeux de personnes qui ne savent plus qui ils sont, sans leurs petites addictions dans leur vie. Et je sais de quoi je parle, fait moi confiance.

J'étais étonné par le ton froid que prenait Numéro Quatre et je me prépara à intervenir car je savais très bien que ça n'allais pas plaire à Cinq.

- Il faut que tu passe à autre chose.

Cinq baissa le regard vers la prothèse qu'il avait dans les mains et la lança d'énervement contre le mur. Elle atteint à grande vitesse le mur et se brisa en des dizaines de morceaux. Je sursauta, ne m'attendant pas à cette réaction.

- Je pensais à quelque chose de plus pacifique, mais si tu veux. Commenta Klaus.

Cinq partit en trombe.

- Bah bravo Maintenant c'est sur moi que ça va retombé

Je me dirigea dans le salon et trouva Cinq en train de se servir une margarita.

- Cinq

Il se téléporta en face de moi ne me laissant pas finir ma phrase et leva la main prêt à me frapper. J'allais reculer mais je décida de faire face.

- Alors c'est ça Tu va me frapper maintenant. Non vas y, frappe moi. Défoule ta colère sur moi. Montre moi que tu ne vaut pas mieux que tous ces connards !

Il se re téléporta sur le bar, assis à côté de Delores.

- Eh bah tu sais quoi ? Tu ne veux plus me parler, tu préfère parlé à un mannequin, okay. Alors moi je vais parler à d'autres mec.

- Tu bluff.

Je le regarda et me téléporta dans sa chambre. Je prit une ancienne robe de soirée à Allisson, me changea, et me re téléporta vers Cinq qui me regarda, les yeux écarquillés.

- Non, je ne bluff jamais.

Puis je me téléporta dehors et marcha.

                                                   

Salut !
Nouveau chapitre, parce que oui, on peut se le dire, ça faisait longtemps.
En plus celui ci est beaucoup plus long je trouve.

Bref, rien à ajouté de plus, à part qu'on est à 4K LECTURES ! Mais vous êtes des grands malades ! Jamais j'aurai cru faire plus de 500 lectures !

Bonne journée/nuit/matin/soirée a vous et bon week end !

2123 mots

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