PDV Lilou

On arriva dans la chambre de Klaus, il était allongé sur son lit en train de tricoter.

- Bouge ton cul Klaus et vient.

- Mmh, on va faire quoi ?

- On va aller sauvé le monde, dit Cinq d'un ton convainquant.

- Ah, ce truc la. Ah et puis merde j'y arrive pas, j'abandonne, dit il en balançant son tricot et en se levant.

- Pogo à dit que papa s'était suicidé pour tous nous réunir, commença Cinq.

- Mmh, et ? Lui demandais je.

- Alors j'ai réfléchi.

- Tu réfléchis tout le temps Cinq, apprends nous quelques chose qu'on ne sait pas déjà.

- J'ai dut voyager dans le temps pour savoir que ça arriverai, mais papa n'a pas eu besoin de le faire. Alors comment ce vieux taré à t il fait pour se suicider 1 semaine avant l'apocalypse. Mais la vérité, c'est que toute notre vie, il nous a dit qu'on sauverai le monde d'une apocalypse inévitable.

- Oh, je pensais qu'il nous disait ça pour nous faire peur et nous forcer à faire la vaisselle, dit quatre un peu perdu dans ses pensés.

- Moi aussi, répondit Cinq à mon grand étonnement.

- Dans quelle famille de malade je suis tombé ? M'exasperais je moi même, un sourir tout de même coller au lèvres.

Cinq sourit à son tour.

- Je te rappel tout de même que c'est aussi ta famille ma grande.

- Dans une autre dimension, mais la mienne et pas du tout pareil, mon beau.

Il souria de plus belle.

- Tu ma mal comprise, je voulais dire que se sont tes beaux frères et belles soeurs, dommage, tu la pas connu ton beau père de cette dimension.

Il me fit un clin d'oeil, ce qui me fit sourir. Nous reprîment très vite notre sérieux.

- Mais il savait peut être ce qui aller se passer.

- Et comment ?

- Aucune idée. Mais je dois avouer que son plan foireux à marché. On est tous revenus.

- J'ai une question Cinquichou, on va sauver le monde rien que tout les trois ?

- Dans l'idéal, non. Mais je vais faire avec ce que j'ai.

Je rigola.

- C'est vrai que avec toi Cinquounet on risque pas de trouver grand chose comme piste.

Puis je sortis de la chambre suivi de Cinq, exaspéré et de Klaus.

Diego déboula de je ne sais pas où.

- T'étais passer où ?

- Il était en prison le con, rigolais je.

Cinq me regarda bizarrement puis regarda d'un ton interrogateur Diego.

- Longue histoire, soupira Diego. Ou est Luther.

J'haussa les épaules et lui répondis.

- Je sais pas, je ne l'ai pas vu depuis hier matin. Il reste que deux jours avant la fin du monde et il décide de se volatilisé.

- En parlant de Luther, Allisson est en danger.

Tout le monde le regarda, le regard assombri, à part moi, qui encore une fois, étais perdu dans mes pensées.

On trouve finalement Luther dans un bar, à ce saouler. Je rigola, j'ai l'impression de toujours rigoler et surtout pour rien.

- Bah alors Luther ? On combat le mal par le mal ?

- Laissez moi tranquille.

Je rigola de plus belle.

Diego s'assit en face de Luther et se tourna vers nous.

- Laissez nous seul s'il vous plait.

Je souris en croisant les bras et suivit Cinq un peu plus loin dans le bar. Les gens nous regardaient bizarrement. En même temps, deux enfants dans un pub, ça passe pas inaperçu.

A un moment, Luther s'étouffa avec sa bière, se leva d'un coup et partit en furibond en poussant très fortement la porte.

- Merde, merde, merde ! Cria t il avant de disparaître dehors.

- Bon bah let's go du coup, un^^.

Cinq allait monter devant au volant mais je le bouscule et prit la place du conducteur.

- Désolé Cinquichou, mais moi je veux pas mourir aujourd'hui, quoique, d'facon dans deux jours je le serais.

Cinq souffla puis s'assit sur le siège passager, virant Klaus.

J'alluma le moteur et mis de la bonne vieille musique des années 80.

Il faisait déjà assez sombre, presque noir, dehors.

Luther était assis juste derrière moi, et, une fois de trop, il me demanda :

- Eh, tu peux aller plus vite ?

Cette fois ci, Cinq s'énerva.

- Tu lui redemande encore une fois, MAIS ENCORE UNE FOIS ! Et je t'enfonce l'allume cigare dans l'oeil.

Mais j'avais une idée derrière la tête. Il restait bien 30 minutes avant d'arriver, alors j'accelera beaucoup plus. Cinq n'avait pas l'air de comprendre. Je réuni toutes mes forces et me concentra. Cette fois ci, Cinq comprit. Il me prit le bras.

- Non ! T'imagine pas comme c'est dangereux !

Tous les autres nous regardèrent bizarrement.

- C'est dangereux seulement pour moi. Vous, vous êtes sure d'arriver à destination, sinon je ne le ferais pas...

- Justement ! J'ai pas...

Mais avant qu'il ne puisse finir sa phrase, j'utilisa toutes mes forces et teleporta la voiture juste devant la maison. J'eu le réflexe de freiner avant de faire une sortie de route.

J'étais réellement à bouts de forces, j'haletais. Je m'assis un peu plus dans mon siège tendis que les autres sortaient de la voiture, à part Cinq, qui avait le regard apeuré. Mais il s'adoucit un peu quand il vit que j'allais bien.

Je voulu sortir de la voiture mais c étais à peine si j'y arrivais, donc Cinq sortit, me soutint et m'aida à marcher jusque vers les autres qui étaient devant l'entrée. Numéro 2 ouvrit la porte et s arrêta en plein milieu du salon. On le rejoignit et ce qu'on vit nous horrifia.

Allisson était par terre, la trachée ouverte. Du sang coulai de partout. Tout son t-shirt en était imbibé et tout le sol autour en était recouvert.

Luther se précipita vers elle, s'agenouilla, et pris sa tête en couvrant un peu l'ouverture pour éviter que le sang continue de couler.

Salut, salut !
Voilà un nouveau chapitre !

Je tiens à dire que j'ai commencer à écrire mon deuxième livre sur Cinq, un livre tout différent de celui ci.

Bref, enfin les vacances !

Donc bonne vacances d'Halloween à vous !

(Oui je préfère dire les vacances d'Halloween plutôt que les vacances de la Toussaint)

1027 mots