The freaking end of my world : II
GUYYYYYYS C'EST LE DERNIER CHAPITRE AVANT L'ÉPILOGUE !!!!
JE SAIS PAS SI JE DOIS ME SENTIR HEUREUSE OU TRISTE !!!!
ET DU COUP CE CHAPITRE EST ULTRA LONG !!!
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Je crus sérieusement que ma fin était arrivée. Qu'après avoir passé toute ma nuit à angoisser, j'allais mourir à cause d'une vulgaire explosion. Qu'elle n'avais pas été ma surprise lorsque, le choc passé, j'avais enfin bien pu reprendre mes esprits dans les bras protecteurs de Léo... saine et sauve.
Nous nous observâmes tous les deux, abasourdis. Hormis une partie de mes cheveux qui avait cramé, tout allait bien. Je baissais finalement les yeux sur la grosse veste qui m'entourait.
- Les vêtements inflammables de Calypso. murmura alors Léo avec ravissement.
J'esquissais un sourire, extatique. Mais ma joie fut de courte durée, l'Argo II fut alors saisi de tremblements, s'il n'était pas encore tombé en morceau, cela ne saurait tarder.
Mais c'est alors que le plus improbable surgit, le plus improbable qui relégua la perspective de se cracher au fin fond de mon esprit.
Il y a eu un gros BOUM et le ciel s'ouvrit, littéralement je veux dire, comme si c'était un vulgaire chiffon ! Derrière se trouvait un autre ciel noir et étoilé sous lequel on pouvait apercevoir ce qui me semblait être l'Olympe. Les dieux avaient déferlés sur leur char immense tous plus impressionnant les uns que les autres, il n'y avait pas que les douze Olympiens mais encore bien des autres dont je connaissais pas le nom.
Zeus menait la cohorte en brandissant son éclair l'air furieux et tous fusèrent contre le temple. Deux chars s'arrêtèrent alors à notre hauteur. Un homme vêtu d'un uniforme d'ingénieur se trouvait sur le premier, il s'agissait sans nul doute de Héphaïstos.
Je sentis alors ma mâchoire se décrocher en reconnaissant instantanément les deux personnes qui se tenaient sur le second char.
- Mamans !?
Eris esquissa un sourire malicieux tandis que Circé tendait sa main vers moi. J'attrapai cette dernière sans hésitation, bondissant dans leur char.
- Le couple le plus chaotique de l'Olympe est de retour ! ricana Eris. Crois-moi, même Gaïa est en train de se faire dessus !
Comme pour répondre à son insulte, la terre se mit brusquement à trembler sous nos pieds dans un fracas tonitruant. Je baissais les yeux sur la bataille qui faisait rage à nos pieds. Un tel phénomène ne pouvait signifier qu'une seule chose. Du sang avait coulé sur le temple. Et vue l'état de mes amis, ça devait être le leur.
Ces derniers combattaient avec hargne les géants accompagné chacun de leurs parents divin, excepté Hazel qui était aidé par Hécate, Hadès n'était nul part en vue mais à chaque fois qu'un géant perdait l'équilibre, le sol s'ouvrait pour l'engloutir.
C'est alors que je vis la chose la plus drôle jamais aperçu de toute mon existence. Trois vieilles femmes étaient en train de taper des géants a coup de gourdins en bronze céleste. Même les Parques s'y mettaient.
- Dépêchez vous ! m'écriais-je alors aux deux divinités.
- Je leur laissai juste un peu de répit..., railla Eris. Circé ma chère ?
Ma mère s'exécuta d'un geste et bientôt le char fusa contre le sol. Elle passa alors sa main sur ma joue et je sentis sa magie m'envahir toute entière.
- Rappel leur pourquoi ton nom a tant été craint ma fille. me souffla-t-elle.
Je hochais la tête avec force et dégainai mon épée. Je bondis dans la bataille avant même que nous arrivâmes au sol dans un long cri de rage. Gaïa voulait essayer de m'enlever mon petit-ami ? Qu'elle essaie un peu.
Je fusai à travers les monstres, mes mères sur les talons. C'était tellement plus simple que lors du combat aux portes de la mort. Je sentais la magie de Circé irradier de tout mon corps, les monstres n'avait même pas le temps de m'approcher que je les abattais déjà avec ma magie où mon épée.
Je sentais Edlyn tenir les rênes parfois, usant de sortilèges que je ne connaissais même pas qui faisait hurler les monstres de terreurs, parant des coups de notre épée.
Ce fut elle qui nous fit bondir de côté lorsqu'une énorme lame vint s'abattre dans le sol, pile à l'endroit où je me trouvais un instant plus tôt.
- Idiot ! s'écria une géante à... l'autre géant qui m'avait attaqué. Dame Gaïa a demandé à la ramener vivante.
- Eh bien elle ne nous en voudras surement pas de l'avoir un peu amoché ! répliqua l'autre.
Je m'attendais presque à ce qu'ils décident tous deux de se ruer sur moi. Mais le plus surprenant arriva alors, le premier géant utilisa la lame qu'il avait prit pour m'attaquer un instant plus tôt et transperça son confrère avec. Le second ne fut pas en reste, il brisa la nuque du premier avant de tomber en poussière. Eris apparut alors derrière eux, les contemplant d'un grand sourire diabolique.
- C'est si facile...
Ce n'est qu'à cet instant que je lea remarquai vraiment dans la bataille. Iel glissait entre les géants et les monstres. Je compris pourquoi Pégase m'avait envoyé ici, pour qu'Eris prenne part à la bataille. Et partout où iel passait, nos ennemis finissaient par s'entre-tuer.
Circé quant à elle restait à mes côtés, ensemble aucun monstres ou géants ne pouvaient nous résister.
Et mes camarades n'étaient pas en reste non plus. Avec l'aide de nos parents divins, le dernier géant ne tarda pas à tomber en poussière sous la lame de Percy.
Le temple n'était déjà pas en très bonne état, mais c'est carrément dans un tas de ruine qu'atterrit Léo lorsqu'il nous rejoignit avec son père.
- Et une victoire de plus pour la super équipe de Léo et Eïleen et les autres demi-dieux ! S'exclama-t-il en tapant dans la main.
- Oh ne vous réjouissez pas trop vite demi-dieux. nous stoppa bien rapidement Aphrodite.
Je contemplai les dieux sans trop savoir comment me comporter à leur égard. Ils nous avaient aidé dans la bataille, cela était indéniable. Mais les regards mauvais qu'ils lançaient à Eris et Circé me poussait à rester sur mes gardes, le fait que mes deux mères ne m'aient pas lâché d'un pouce ne faisant que renforcer mon angoisse. Je n'oubliai pas qu'ils avaient souhaité me tuer avant même que je ne vienne au monde.
Et jamais on oubliera qu'ils ont un jour été nos ennemis...
La froideur d'Edlyn résonna à mon esprit. Jamais je ne l'avais tant senti sur ses gardes qu'en cet instant. La bataille avait été gagné, mais nous ne pouvions nous accorder un instant de repos pour autant.
Une main pleine de douceur et de chaleur brisa instantanément ma tension. Je me tournai pour découvrir Circé, penchée vers moi, l'air passablement concernée.
- Ne la laisse pas décider à ta place. murmura-t-elle.
- Que...
- Il faut que vous retourniez à la colonie, et vite. dit alors Poséidon, me sortant de mes tergiversions. Gaïa s'est éveillée et il faut que vous l'arrêtiez avant qu'il ne soit trop tard !
Sa remarque parvint à me faire complètement revenir à la réalité. Peu importe le passé que j'avais pu avoir avec les dieux, ce n'était pas nos ennemis en cet instant.
- Mais comment allons nous faire alors !? S'exclama Hazel. Nous avons mit des mois pour arriver jusqu'ici !
- Je pourrais vous renvoyer là-bas d'une bonne claque. Réfléchi Zeus.
- C'est une menace ou du second degré ? Demanda Jason.
- Ni l'un ni l'autre. Répondit le roi des dieux. Je pourrais le faire, littéralement.
- Mais ce serait totalement inconscient ! S'exclama Demeter. Leur bateau ne tiendrait pas le voyage !
- C'est mon fiston qui l'a construit ! Rétorqua Héphaïstos. Il devrait au moins tenir le voyage et vous n'aurez qu'a vous débrouillez pour l'atterrissage !
C'est comme ça que je me retrouvai accroupie attachée sur le mat avec Jason à mes côtés aussi bien sécurisé que moi.
- Prêt ? Demanda Zeus retransformé en géant de 10 mètre.
Il n'attendit pas qu'on réponde pour envoyer le bateau de toutes ses forces.
Mon estomac sembla essayer de rester en Grèce et j'eu du mal à faire rentrer de l'air dans mes poumons tant la vitesse était forte.
Mais je faisais tout mon possible pour me concentrer. Il fallait éviter que le bateau ne tombe en miette jusqu'à ce que l'on soit arrivé à la colonie et c'était moi qui devait en assurer la responsabilité.
Avec mes pouvoir je tentai du mieux que je pouvais d'empêcher les éléments du navire de s'arracher. Ça avait l'air bien plus facile lorsque l'on avait organisé notre stratégie que maintenant ! C'était épuisant et je ne savais pas si j'allais pouvoir tenir longtemps !
Heureusement, nous sortîmes bien rapidement des nuages et je compris ce qu'avait voulu dire Aphrodite quand elle nous avait confié que le pire était à venir.
Des centaines de monstres entouraient les demi-dieux qui heureusement semblait réconciliés. La terre se secouait en vague comme si on frappait dessus par dessous.
Ce qui était probablement le cas remarquais-je en voyant trôner l'Athéna Parthénos (Ils avaient réussis à rentrer !) luire sur le haut de la colline. Visiblement elle devait empêcher Gaia de s'éveiller entièrement.
Mais pour combien de temps ?
Je n'eut pas le temps d'y penser que déjà l'évacuation du bateau commençait. Frank se transforma en dragon et prit Hazel sur sons dos et Percy et Annabeth dans ses pattes avant de s'envoler tandis que Jason se soulevait dans les aires en emportant Piper avec lui.
- Tu es sur de toi ? Demandais-je a Léo peu confiante alors que le bateau partait en chute libre derrière les collines.
- Comme si je pouvais me permettre de mettre ta vie en danger ! se contenta de répondre Léo en levant les yeux au ciel. Tu vas voir, ça va être génial ! Ça fait des jours que j'y travaille !
Mais il n'en dit pas plus, à mon grand regret. Il nous avait dit qu'il avait un plan de secours pour nous mais n'avait pas voulu en partager les détails.
Heureusement je n'eu pas à attendre longtemps. La réponse vint en même temps qu'une autre.
JE M'ÉVEILLE avait dit une voix sonore sortit de nulle part.
Et Gaïa était apparue, elle avait la peau blanche comme de l'opale et une grande tunique verte. Avec elle, des vagues de terre déferlèrent sur la colonie pour l'engloutir.
Là, on était sérieusement mal !
Heureusement se fit aussi à ce moment là que le bateau explosa une bonne fois pour toute. Deux grandes ailes de bronzes apparurent dans mon champs de vision et je poussais un cri de joie en comprenant a qui elles appartenaient.
- Festus ! M'exclamais-je ravie.
Léo me rejoint en escaladant son dos et se pencha vers moi.
- Alors, heureuse ?
- Tu n'imagine pas ! Ce serait juste parfait si la fin du monde n'arrivait pas aujourd'hui !
- T'as peut-être raison pour une fois, le devoir nous appelles !
Festus fit demi-tour sans même que Léo ai à lui dire quoi que ce soit et s'élança vers la mère-terre.
- Il faut la faire décoller du sol ! Criais-je, le son de ma voix atténué par le vent. Elle sera affaibli si on la sort de son élément.
- Message reçu ! Festus, en avant pour attraper cette méchante dame.
Je profitai du très court laps de temps durant le quel Festus souleva Gaia de terre pour essayer de trouver un plan. Les demi-dieux n'en menaient pas large contre les monstres et l'arrivé de Gaïa n'avait en rien arranger la situation !
Je remarquai alors seulement les dizaines de baliste qui entourait le camp, peut-être que.... C'était risqué, et il y avait de grande chance que je ne m'en sorte pas !
Mais c'était la seule option qu'il nous restait...
- Je sais quoi faire ! Annonçais-je à Léo tandis que Gaïa nous hurlait dessus. Occupe la, et quand je te ferais signe il faudra que tu t'en aille, compris.
- Bien ! Répondît Léo. Mais comment est-ce que tu veux que je te vois dans la mêlée ?
- Tu verras bien, j'improviserai, c'est ce qui était prévue non.
- Pas faux... On reste en vie ?
- On reste en vie ! M'exclamais-je avant de me téléporter jusqu'au sol.
J'atterris juste à côté de Nico, lui même accompagné de Will Solace et de quelques autres demi-dieux.
- Eïleen ! S'exclamèrent-ils tous en me voyant arrivé.
- Mon épéiste préférée ! Fit Clarisse en m'ébouriffant les cheveux tout en achevant un monstre.
Elle n'eut guère le temps de s'appesantir dans ces retrouvailles, trop occupée qu'elle était à combattre. La main de Nico se resserra avec force autour de mon bras.
- Je suis content que tu t'en sois sortie. Dit-il en déviant une hache qui allait s'abattre sur moi.
- Et moi dont ! Mais les Parques ne m'ont toujours pas accordé de repos ! M'exclamais-je en commençant à rentré au centre de la mêlée avant de me retourner. Ah ! Et en fait, dis-je a l'adresse de Will Solace, je te valide comme beau petit-frère !
- Mais t'es timbrée !!! Railla Nico derrière moi.
- Bonne chance !
Je fendit la foule de monstres et de demi-dieux pour arriver à côté d'une baliste. Un seul geste me suffit pour irradier tous ceux qui m'entouraient. Tout les monstres qui se trouvaient autour de moi furent désintégrés.
Je m'accordais quelques secondes d'inattention pour voir comment la situation évoluait. Jason et Piper étaient venu prêter main forte à Léo, déclenchant des tornades lorsque Gaïa prenait la forme de sable.
"Sous les flammes ou la tempête, le monde doit tomber.
Serment sera tenu dans un souffle dernier"
Non ça ne devait pas arriver, ça n'allait pas arriver. On l'empêchera, peut importe le prix.
Je m'accroupis au sol et fermai les yeux en tentant de visualiser les autres balistes comme je l'avais fait avec Orion.
- Tiens, tiens, mais regardez moi qui voilà. Railla une voix que je ne connaissais que trop bien.
- Vas t-en si tu veux vivre, menaçais-je Octave en entrouvrant les yeux.
C'était du bluff, j'étais trop occupée à orienter à distance les balistes pour pouvoir me défendre.
- Je te retourne le compliment ! Dit-il. Mais, excuse moi de te le dire, tu n'es clairement pas en position de force.
Soudain je sentis quelque chose de froid me transpercer l'abdomen. Je rouvrais les yeux d'un coup, sentant ma concentration se relâcher en un instant. Je ne pus qu'entrevoir le poignard d'Octave fiché dans mon abdomen.
Ça faisait sacrément mal, il fallait vraiment que les gens arrêtent de me transpercer l'abdomen !
Je commençais alors à esquisser un geste vers le romain pour le repousser.
Non. Tu dois te concentrer sur les balistes. Tu dois sauver le monde, peu importe le prix.
Peu importe le prix...
Je me raccrochai aux paroles d'Edlyn et refermais les yeux, ignorant la menace que provoquait Octave. Les balistes étaient enfin orientée. Mais le plus dur restait à faire, j'avais la cible en vue mais aucune charge pour la dégommer.
Octave retira violemment le poignard de ma peau, je fus presque tentée de l'en remercier. Mais je constatai d'un rapide coup d'œil qu'il s'apprêtait à recommencer.
Cette fois, j'esquissais un geste dans sa direction et il s'effondra. J'allais pouvoir reprendre ma tâche.
Je tendis mes deux bras et imaginai les réserve de feu grec destinées au balistes se soulever pour atterrir dans ces dernières. Il fallait faire attention et les manipuler avec précaution, ce qui me demanda plus de concentration qu'il ne m'en avait jamais fallut.
- Ne crois pas être débarrassé de moi si tôt. Dit alors Octave d'une voix glaciale.
Je reconnaissais ce timbre de voix entre mille.
Par Eris ! Il ne me manquait plus que ça ! Gaïa venait de posséder Octave que j'entendais se relever et reprendre son poignard.
Mais on a plus important à faire !
Notre sort m'impliquai désormais peu par rapport à celui de mes amis et surtout, du reste du monde.
Alors je ne bougeais même pas lorsque je sentis la lame s'insérer dans mon dos, avant de ressortir et de se replanter autre part. Le feu grec occupait toute mon attention, et ni les insultes, et ni les coups de Gaïa ne pourraient y faire quelque chose.
J'esquissai un sourire lorsqu'enfin je terminai de charger les balistes. Il ne me restai plus qu'une dernière chose à faire.
Je levai la tête en ouvrant les yeux, ne voulant pas voir l'étendue des blessures que subissait mon corps, Octave se mit à hurler de rire en me plantant et replantant son poignard dans le dos, c'était clair, Gaïa pétait totalement un plomb.
La douleur était tellement forte que je ne la ressentais même plus. À vrai dire, je ne sentais plus grand chose, et étrangement, je m'en délectais.
Je relevais les bras vers Léo, prête à lui faire perdre connaissance. Mais une explosion retentit alors non loin de moi. Une gerbe de feu grec dont j'avais perdu le contrôle venait d'imploser.
Tu ne peux pas te permettre de te déconcentrer pour lui Eïleen.
- Non..., murmurais-je d'une voix étranglée par le sang qui s'échappait de ma bouche.
Léo a jeté le remède du médecin dans l'Argo II. Festus doit l'avoir récupérer. Il pourra le sauver lui. Tu peux tous les sauver maintenant, mais le temps presse.
Gaïa ne bougeait plus, sa colère contre moi semblait si forte qu'elle ne se préoccupait même plus de son vrai corps.
Je poussai un long râle de colère alors que la lame d'Octave alla une énième fois s'enfoncer dans ma peau. En sacrifiant Léo je me condamnais moi. Le remède du médecin ne serait jamais suffisant pour deux personne.
Peu importe. Il compte plus que nous. Ils comptent tous plus que tout.
Je ne pus cette fois ravaler un sanglot tant la tristesse m'accablait. Je n'avais plus le choix cette fois. Festus s'éleva plus haut dans le ciel et effectua un arc-bouté en balançant la mère-terre Comme un vulgaire sac à patate.
Je levai alors les bras au ciel dans un ultime hurlement de désespoir et les balistes tirèrent en même temps que la plus grosse décharge de magie que je n'avais jamais produite s'abattit sur la colonie. J'entendis Octave hurler et je le sentis se désagréger derrière moi.
Mais je gardai mes yeux rivés sur l'explosion, à l'endroit même où Festus et Léo se tenait un instant plus tôt. Ma vision se faisait de plus en plus trouble. J'entendis quelqu'un m'appeler.
Nico, peut-être Percy. Je ne savais plus. Peu importe.
Même lorsque je basculai en arrière je gardai mes yeux tournés vers le ciel, attendant que le ciel se dégage enfin. C'est alors que je le vis enfin. Gaïa avait bel et bien disparut. Mais Festus tenait bon, et Léo était toujours sur son dos. Certainement mort, mais il était bien là. Et Festus était là également, le remède du médecin avec lui.
C'était suffisant.
Alors enfin, je m'autorisai à pousser un ultime soupir de soulagement.
Le dernier.
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Et en vrai il faut que j'arrête de faire des bad ending aussi triste, même moi ça me fou dans le mal !
En vrai j'aime bien faire du mal au lecteur en faisant mourir des personnages importants comme ça, c'est ce que je préfère dans le fait d'être auteur !
Bref, je suis désolé si je vous est mis dans le mal pour la journée ! Mais au moins grâce à moi vous serez prépare la prochaine fois que vous tomberez sur des auteurs psychopathe comme moi !
Et je fais genre mais je suis un peu en PLS d'avoir buté un des perso les plus importants que j'ai jamais fait, j'avoue moi aussi j'ai un peu pleurée...
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