29. my mommy issues are thriving

- Eïleen ! s'écria Léo en accourant vers moi. Cir.. Ta m...

Il s'arrêta face à Calypso et moi, à bout de souffle. La nymphe et moi échangeâmes un regard plein d'incompréhension alors que Léo semblait faire de son mieux pour aligner deux mots. 

- Ma quoi ? ne pus-je cependant m'empêcher de demander. 

- Oh mes dieux. souffla alors Calypso en regardant derrière moi. C'est ta mère, c'est Circé. 

Je laissai brusquement retomber les cordes que j'étais en train de nouer sur le sable avant de me retourner d'un bond. Et alors enfin je découvris la divinité qui irradiait de magie s'approcher de nous. Ses boucles noires étaient élégamment ordonnée dans une coiffure qui défiait la gravité, et ce n'était pas la seule chose. Sa longue toge grecque croulait sous les bijoux qui semblaient étrangement flotter dans les airs. Ce n'est que lorsqu'elle fut assez près de nous pour que je distingue ses yeux d'un vert perçant tant semblable aux miens que je ne pus que donner raison à Calypso et Léo. 

La magicienne n'eut pas besoin de dire quoi que ce soit, il lui suffit d'un regard entendu pour faire comprendre à Léo et Calypso qu'ils n'étaient pas les bienvenues pour ce qui allait suivre. La seconde s'exécuta alors dans une révérence respectueuse tandis que le premier dû être tiré avec force par la nymphe sous de nombreuses protestations. Circé les observa longuement, une pointe d'amusement dans le regard. 

- Tu as là des alliés bien intéressant. 

- Des amis. corrigeais-je alors sèchement. Ce ne sont pas mes alliés, ce sont mes amis. 

Circé me regarda alors avec un drôle d'air, comme si elle ne me voyait réellement qu'enfin. Je me souvenais encore parfaitement du sentiment intense de réconfort que j'avais ressenti en rencontrant Eris il y a trois ans de cela. Mais je n'étais plus une simple gamine orpheline désormais. Et la guerrière adolescente que j'étais devenue gardait bien plus de rancœur contre ses soit disant parent. Si bien que je ne tardai pas à reprendre avec force :

- Pourquoi est-ce qu'aucune de vous n'êtes venue me chercher ? Je croyais que vous veilliez sur moi ?

Le beau visage de Circé se tordit alors dans une grimace bien plus remplie de tristesse que ce dont je l'aurai cru capable. 

- Je t'ai perdu de vue lorsque tu es entré dans cet autre monde. elle déposa alors avec douceur ses doigts sur les grosses veinures noires qui parcouraient toujours mon bras en souvenir de la piqure d'un griffeur. Jamais je n'aurais laissé une telle chose arriver. 

Comme l'adolescente orpheline avait envie de flancher. Mais je tins bon, repoussant ses doigts d'un geste sec. 

- Pourquoi ne pas être venu me retrouver à la colonie alors. Pourquoi m'avoir laissé tomber lorsque j'en avais le plus besoin ?!

Circé poussa un long soupir plein d'émotion, visiblement elle faisait tout autant d'effort que moi pour garder son calme. 

- La guerre n'a pas épargné Ééa. 

Je ne pus retenir un hoquet de surprise, en reconnaissant instantanément le nom de l'île de Circé. Ce simple nom suffisant à me faire ressentir un de ces foutus mal de crane venu de cette autre incarnation. 

- J'ai toujours été neutre dans les derniers conflits. poursuivit alors Circé. Celui-ci n'y a pas échappé. Mais la Terre-Mère ne l'entends pas de cette oreille. Elle assailli l'île depuis des mois, tentant d'enchanter mes apprenties et d'attaquer les rescapées. Je ne pouvais trop m'éloigner. Et Eris...  Les dieux sont en plein conflit contre eux-mêmes, je te laisse deviner quel effet ça peut avoir sur la déesse de la discorde en personne. 

Un poids sembla enfin libérer mon cœur. Un poids qui me disait que je n'étais si seule que ça finalement. 

- Pourquoi es tu là alors ? repris-je cependant avec suspicion. Pourquoi risquer de t'éloigner de ton île maintenant ? 

Circé esquissa un sourire amer et commença alors à marcher le long de la plage, comme perdue dans ses pensées. 

- Premièrement, dit-elle finalement, parce qu'Ééa n'est pas loin d'Ogygie. Deuxièmement... Je crois qu'il est grand temps que je te mette en garde contre ton pire ennemi. 

Je fronçais des sourcils, perdue, alors qu'elle se tournait vers moi pour déposer son index sur mon front. 

- Toi-même. 

Cette fois ce fut un long "hein ?" plein d'incompréhension que je ne pus retenir. Voilà que ma mère se la jouait vieux sages mystique...

- Je parle d'Edlyn. expliqua simplement Circé. Je sais que tu as réussi à accéder à sa mémoire. Mais n'oublie pas qu'elle ne te laisse voir que ce qu'elle souhaite. 

Une pointe d'agacement qui ne m'appartenait pas s'empara alors de tout mon corps. Je m'arrêtais d'un coup de marcher avant de croiser les bras, observant la magicienne d'un air dubitatif. 

- Je ne suis pas certaine de vouloir faire confiance à la personne qui a voulu me traquer pour m'emprisonner sur île. 

Circé ne sembla pas le moins du monde intimidée. Bien au contraire, elle esquissa un sourire amusé soupçonnée d'une once de mépris. 

- Regarde, dit-elle alors, elle le fait encore. Si je voulais ramener Edlyn sur l'île c'était pour une bonne raison. Et son avenir m'a prouvé que j'avais raison. 

Cette fois ce fut l'incompréhension qui reprit le dessus alors qu'un désagréable sentiment d'appréhension venait chambouler mes émotions. Émotion qui ne furent qu'un peu plus chamboulée lorsque Circé reprit alors :

- Luke Castellan. Son plan n'était pas si mal. Peut-être s'était-il même inspiré de ces anciens idéaux... Mais Edlyn, Edlyn était bien plus terrifiante. 

Le mal de crane sembla redoubler de plus belle. Circé sembla le remarquer  puisqu'elle fit une légère pause dans son récit pour m'observer avec attention, mais ça ne l'empêcha pas de rapidement compléter son récit. 

- Après que Luka soit mort, elle a voué une haine sans nom aux monstres. Et elle a vite décidé de rallier d'autres personnes à sa cause... C'est là qu'elle a été plus maligne que Luke Castellan. Elle n'est pas aller chercher des demi-dieux mais bien des mortels pour la servirent. Ces mêmes mortels qui ne peuvent être blessé par les demi-dieux ni voir réellement l'horreur des monstres. Autrement dit, avec son culte, elle avait rassemblé une armée qui jamais ne tremblerait ni ne pourrait être menacé par les demi-dieux. 

Un culte ? Elle y va un peu fort la magicienne ?! 

- En quoi c'est une mauvaise chose ? demandais-je alors. 

- C'est une mauvaise chose quand ça prend tant de proportion et que ça place une magicienne instable dans une position de force inouïe. Le pouvoir lui est monté à la tête, elle croyait être capable de faire ce qu'elle souhaitait au sein de notre monde. Les dieux ont commencé à se sentir menacé, et on a frôlé ni plus ni moins qu'une guerre contre les mortels. 

Je sentis mon ventre se tordre à cette idée. Je peinais à croire Circé. Même si c'était de ma précédente incarnation dont on parlait c'était quand même moi... enfin me semblait-il. Je peinai à m'imaginer capable de telles choses. 

- Mais qu'est-ce qu'il s'est passé alors ? 

Circé haussa des épaules avec lassitude. 

- Alors Edlyn s'est tuée. 

Un frémissement d'horreur me remonta le long de l'échine et je craignis un instant dégobiller mon dernier repas face à la magicienne tant je sentis mon ventre se serrer. 

- Mais..., pourquoi...? balbutiais-je. 

Circé posa sa main avec force sur mon épaule et se pencha légèrement pour arriver à ma hauteur, m'observant d'un air on ne peut plus sérieux. 

- Pourquoi je ne sais pas. Mais la chose que je sais c'est que tu es arrivée après, toi, fille d'Eris et Circé en personne. Je pense honnêtement que cela est un coup du destin. Mais pas toi. Toi je suis certaine que tu n'es pas arrivé là par hasard. Edlyn avait toujours un plan dans sa manche, elle n'aurait jamais abandonné la partie si facilement. 

Je l'observai longuement, complètement désabusée. Et alors je fus traversée d'un rire nerveux. 

- Mais qu'est-ce que tu veux que je fasse de ça ?! m'exclamais-je alors. C'était quoi le but de ta visite ici exactement ?! Me rendre encore plus folle ?!

- Non. Bien sûr que non. Tout ce que je veux c'est que tu ressortes saine et sauve de cette histoire. 

Pour le saine on repassera...

- Et alors..., lorsqu'enfin cette histoire sera terminée. Qu'enfin tu auras prouvé une bonne fois pour toute aux dieux qu'ils ne devraient pas s'en prendre à toi... Alors peut-être cette fois nous pourrions vraiment venir te chercher pour te faire découvrir Ééa. 

Cette fois ce fut trop, la gamine orpheline reprit définitivement les commandes de mes émotions. 

- Vraiment ?

Enfin, le visage de Circé sembla s'adoucir pour me laisser entrevoir un réel sourire alors qu'elle hocha la tête. 

- Tu es peut-être le fruit du destin Eïleen. Mais tu es aussi celui d'un amour inconditionnel. Il est grand temps qu'on puisse rencontrer en bonne et due forme notre fille... puis ça fait un bon bout de temps qu'Eris veut prouver aux dieux qu'elle leur est supérieure pour ce qui est de la parentalité. 

Sa remarque suffit à m'arracher un sourire, sourire qui ne parvint pas à faire disparaitre les quelques larmes qui commençaient à perler le coin de mes yeux. 

- Pour la parentalité on repassera. marmonnais-je alors. Mais pour la visite d'Ééa je veux bien. 

Circé sembla s'illuminer sous la joie et l'amour. Elle se pencha alors vers moi et me murmura avec douceur : 

- J'ai béni votre bateau. Il ne lui suffira que d'un coup de pouce de ta part pour qu'il puisse repartir. À très bientôt ma fille. 

Elle ponctua ses mots d'un long baiser sur mon front, et alors qu'elle se détacha, je n'eus même pas le temps de relever les yeux vers elle qu'elle avait déjà disparue. Il me fallut un certain temps avant de réaliser ce qu'il venait de se passer. Il m'en fallut un encore plus long pour empêcher chacun de mes membres de trembler sous l'émotion. 

Léo et Calypso devaient certainement être en train de m'espionner depuis les fourrées puisqu'ils ne tardèrent pas à me rejoindre alors que j'essuyais une dernière larme traitresse. 

- Alors ? me demanda le demi-dieu. Qu'est-ce qu'elle te voulait ? 

Je poussai un long soupir en contemplant longuement ce dernier puis la nymphe. 

- M'expliquer des trucs compliqués sur ma réincarnation. éludais-je donc avant de reprendre, bien plus sombre. Et aussi me dire que le radeau était prêt à partir. 

Un "oh" funeste fut écho à mes mots alors que Léo comme Calypso ne semblaient aucunement enchanté par cette nouvelle. Chacun de nous nous tournâmes alors vers l'embarcation qui flottait calmement à l'autre bout de la plage sous le soleil couchant. 

- Alors j'imagine que ça veut dire que l'heure du départ est arrivé. dit Calypso, semblant avoir le cœur au bord des lèvres. 

Trop de sentiments contradictoires semblaient se bousculer en moi face à la tristesse de la nymphe. Je ne savais quoi faire. Mais Léo sembla décider pour moi. 

- Bon, vous savez quoi, je vais vérifier que la console que j'ai fait marche toujours aussi bien. fit-il nerveusement. On se retrouve au bateau dans quinze minutes. 

Il n'attendit même pas qu'on réponde pour se diriger vers le radeau tandis que je ne pouvais que lui envoyer un long regard de gratitude pour le remercier de me laisser ainsi dire au revoir à la nymphe. 

Au revoir qui me soulevèrent le cœur rien qu'à la vue de Calypso. 

- C'est vraiment le moment de nous séparer. ne pus-je m'empêcher de répéter d'une voix tremblante. 

- Ce n'est pas comme si on ne savait pas que ça allait finir par arriver. éluda Calypso. Mais... oh ! J'allais oublier ! S'exclama-t-elle alors en prenant ma main dans la sienne.  

Elle y déposa alors quelque chose qui fit fourmiller ma peau alors qu'elle relevai ses doigts un à un pour me laisser découvrir ce qu'elle venait de me donner. Je poussais alors une exclamation en découvrant le pendentif qui s'y tenait. Il s'agissait d'un des cristaux de sa grotte qu'elle avait poli et transformé en pendentif. 

- Pour que tu ne m'oublie pas. me dit-elle alors que je dénouai de mes doigts tremblant mon collier pour y accrocher le pendentif. 

Mais alors que je voulais le renouer elle posa ses doigts sur la cordelette, parcourant ma nuque de ses mains pour renouer les cordelettes usées. Le tout sans cesser de me regarder dans les yeux. Je fermai les miens avant même qu'elle ne m'embrasse. 

C'était un baiser salé plein d'amertume. 

Un baiser entrecoupé de veine phrases d'excuses et de sanglots. Un baiser que j'aurais dû tant chérir et qui m'apportait pourtant tant de souffrance. 

Un baiser malgré tout...

- Je sais que tu n'es pas Edlyn. murmura alors Calypso lorsqu'enfin nous nous détachâmes l'une de l'autre. Et c'est bien pour ça que je t'aime. Edlyn était ce que j'aurai voulu avoir. Tu es ce dont j'ai besoin. 

J'esquissais un mince sourire en essuyant ses larmes de mes pouces. 

- T'en fais pas, toi aussi t'as de la concurrence... mon ex s'est sacrifié pour moi, ça va être dur de faire mieux. 

- Ne dis pas ça. m'arrêta Calypso en souriant à son tour. Tu vas donner des idées aux Parques. 

Un rire de crécelle nous traversa toutes les deux, semblant ne faire qu'un dans nos deux cœurs. Je ne pus me retenir et la pris alors une dernière fois dans mes bras avec force. 

- Je reviendrai Cal'. lui murmurais-je. On reviendra tous les deux, je te le jure. 

Je ne sais combien de temps nous restâmes ainsi enlacée. Assez pour que le soleil se couche derrière nous, emportant nos derniers espoirs avec lui. 

Et enfin, j'eus le courage de me détacher d'elle avant de me diriger vers le radeau. 

Léo semblait tout aussi chamboulé que moi, il ne nous administra même de quelques plaisanteries lorsque nous arrivâmes auprès de lui. Se contentant de me laisser enchanter le radeau. 

Alors échangeant un dernier regard avec chacun de ces deux êtres avec qui je partageais désormais un lien si fort je m'approchai du radeau, me rappelant des paroles de ma mère. 

Il suffisait d'un coup de pouce de ma part, pensais-je en posant alors mon bras sur le mat. 

Un simple coup de pouce...

Je fermai un seul instant les yeux en tentant de me connecter à la magie de ma mère. Puis ce fut une explosion de magie qui s'empara de moi avant d'entourer le bateau dans une lumière étincelante. J'eus juste le temps d'entendre Léo m'appeler avec inquiétude avant de perdre connaissance sous le choc.


P.D.V de Léo :

- Eïleen, s'écria le garçon.

Il contempla le corps de la jeune femme retomber lourdement dans la mer avant d'accourir auprès d'elle, n'écoutant pas les ordres de Calypso lui disant de rester où il était. Il ne tarda pas à la récupérer dans l'eau avant de la reposer dans le radeau, le visage tordu par l'inquiétude. Une part bien trop irrationnel ne pouvait s'empêcher de revoir Eïleen lorsqu'elle était réapparu sur l'Argo II il y avait, ce qui lui semblait, une éternité de cela. Il ne la revoyait pas qu'elle couverte de blessure, il se revoyait lui parfaitement, partagée entre le soulagement de le revoir et la certitude qu'elle allait mourir sur le champs tant elle avait l'air mal en point.

Il sentit alors une main se poser sur son épaule et se tourna en sursaut pour découvrir Calypso qui l'avait rejoint. 

- Ne t'inquiète pas, dit alors cette dernière  d'un ton rassurant en posant sa main sur son épaule, elle a certainement juste utiliser un trop plein d'énergie.

- Tu en es sur ? insista Léo, pas le moins détendu du monde. 

- Certaine. Insista-telle. 

Ils restèrent ainsi un long moment, la main de Calypso toujours accroché aux bras de Léo, à contempler ce brin de déesse, illuminée par la lueur de la lune. 

- On s'est foutu dans un beau foutoir digne des plus grande tragédie hein ? dit alors Calypso. 

La remarque de Calypso le désarçonna tellement qu'il ne put retenir un grand éclat de rire tant elle était criante de vérité. Il reposa alors ses yeux sur Calypso avant de lui sourire avec tendresse.  

- Oui, c'est exactement ça. Foutu malédict...

Il ne put terminer ses mots parce qu'alors Calypso agrippa avec force le haut de sa chemise pour l'attirer vers lui et... et par Héphaïstos elle l'embrassa ! 

Comme Léo aimait s'imaginer en tombeur irrésistible capable de séduire n'importe qui. Pourtant, lorsque la séduction prenait un autre niveau il ne sut que faire. Tout ce dont il fut capable fut sourire avec ravissement alors qu'il sentait d'agréables papillons remonter dans son ventre.  

Néanmoins, la tendresse passée, lorsque Calypso se détacha de lui, il ne put s'empêcher de l'observer, plus perdue que jamais. 

- Mais tu..., je..., Eïleen...

Ce fut au tour de Calypso d'éclater de rire. À son tour de constater l'absurdité de leur situation. Cette situation qui avait fait revoir à Léo toute la vision de l'amour qu'il avait toujours eu. 

- S'il y a bien une chose que cette malédiction m'a permis de savoir Léo, c'est qu'on peut aimer plus d'une personne à la fois. 

Léo sentit son cœur se serrer alors qu'il laissait échapper un long soupir de soulagement, semblant embrasser à nouveau Calypso de son regard. Cette dernière déposa finalement la main sur son torse avant de le repousser vers le radeau. 

- Vas maintenant.

Il ne suffit qu'il pose un seul pied pour que ce dernier commence déjà à filer vers l'horizon. 

C'était bien trop rapide. Bien trop tôt. Bien trop tout ! Trop tout pour que Léo Valdez parvienne à gérer ses sentiments. Si bien qu'il se redressa alors d'un bond sur le radeau avant de se tourner vers Calypso qui les observaient partir. Et, prit par une bouffée d'un courage inconnu il s'écria alors sans réfléchir :

- Je reviendrais pour toi Calypso, je te le jure sur le styx.

- Vous êtes vraiment des gens insupportables !
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Ma passion : rendre cette histoire toujours plus queer à chaque réécriture :))) (au moins maintenant plus personne pourra se plaindre des guerres de ship, car pourquoi faire un triangle amoureux quand on peut le régler avec une relation poly uwu)

Pour ceux qui auraient pas compris, c'est a dire tout le monde vue la façon extrêmement implicite dont j'ai placé cette relation, Calypso était amoureuse d'Eïleen

Voila voila je place ça la et je vous laisse peter un câble tout seul

Sinon, non il n'y aura pas de Calléo. Mais calmez vous tout de suite les haters qui s'apprétait à commentez des trucs par rapport à ça comme pour le chapitre de La véritable histoire de Percy Jackson où Percy embrasse Eïleen.

CE N EST PAS PARCE QUE JE NE MET PAS DE CALLEO QUE JE N'AIME PAS CE COUPLE C'EST CLAIR !?!?!?!


D'accord ! Je ship autant le Percabeth que le Percico, le Jasico et le Solangelo okay !!!! Et j'adore le stalia, le stidya ET le sterek (pour les fans de Teen Wolf =) )


Donc, une bonne fois pour toute, ce n'est pas parce que je ne met pas de Calléo que je n'aime pas ce couple. Au contraire en plus, j'adore le Calléo.

Mais vous me connaissez j'aime trop Léo pour ne pas le faire tomber sous le charme de notre cher amies Eïleen !

Sinon j'ai encore eu

200 vues en moins d'une semaine et j'ai exactement 100 abonées !!!!! Je vous aiiiiiime à un point !

Sur ce, j'espère que ce chapitre vous a plus, passez une bonne journée, ou une bonne soirée mes cervelles d'algues !

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