Pdv d'Abby:

16h50.

Après une après-midi sur la scène du club France avec les fans, nous étions dehors avec un beau temps ensoleillé.

Moi: Vous savez quoi, Si l'équipe de France féminine de basket sont en finale le 11 août, je vais les voirs.

Marine: En parlant de basket, vous savez, c'est quand la demi-finale des garçons ?

Moi: C'est dans 2 jours, contre l'Allemagne.

Mélanie: Les champions du monde de basket, ça va être dur.

Moi: Mélanie, ça veut rien dire.

Coline: Mais grave, je vais demander à mon père, s'il peut nous réserver des places VIP pour le 8 août.

Moi: T'es trop mignonne.

On est en train de regarder sur nos portables les épreuves qui sont dispos avant la fin de ses jeux. C'est vrai qu'il y en a pas mal. Si l'équipe de France féminine de basket se qualifie en finale, je fonce les voirs.

18h30.

On se prépare pour y aller dans un resto qu'on a réservé. Niveau tenue, j'ai opté d'une robe longue noir avec des manches et des talons. Pas des talons à plusieurs centimètres, flemme de me casser la figure.

Nous sommes arrivés au resto, le serveur nous conduit sur la table qu'on a réservé et nous prenons notre commande. Après avoir passé nos commandes, nous discutons.

Moi: J'espère qu'il va pas revenir.

Mélanie: Qui ?

Moi: L'autre malade.

Coline: Ton ex ?

Moi: Ouais, dis-toi que ce mec est tellement culotté de venir à Paris pour me récupérer.

Marine: Alors qu'il t'a trompé.

Moi: Mais oui.

Morgane: Des fois les hommes, je ne les comprends pas.

Le serveur nous sert nos plats et nos verres.

Moi: Dire que ses jeux se terminer bientôt, je suis contente d'avoir partagé cette aventure avec vous.

Marine: Nous aussi. C'était juste incroyable.

Coline: Vous allez me manquer.

Moi: Moi aussi, moi je dois bientôt retourner aux États-Unis.

Mélanie: C'est vrai que tu fais tes études là-bas.

Marine: Bon, on trinque à ses jeux et nos médailles. Dit-elle devant son verre.

On lève nos verres et on trinque ensemble, comment ses J.O sont passés tellement vite. Après avoir mangé, nous marchons dans les rues de Paris avant de rentrer au village olympique.

Nous étions dans le jardin, les filles rentrent dans le hall et moi je suis resté sur le banc en train de regarder le ciel. C'est tellement beau que j'ai envie de prendre une photo avec mon téléphone.

Soudain des grands bras entour ma taille, et je sens une chaleur contre moi. Je tourne ma tête et je vois que c'est Léon.

Léon: Hey salut toi. Dit-il en posant les lèvres sur les miennes. Je réponds directement à son baiser.

Moi: T'as passé une belle après-midi ?

Léon: J'étais au match de basket avec mon petit frère.

Moi: C'était quelle équipe qui jouait ?

Léon: C'était les Étais-Unis et le Brésil en quarts de finale. Les Américains ont gagné.

Moi: Ça m'étonne pas.

Léon: Tu faisais quoi ?

Moi: Je prenais juste le ciel en photo, c'est jolie non ? Dis-je en lui montrant la photo.

Léon: Ouais c'est pas mal.

Il me retourne et m'embrasse directement. J'ouvre la bouche, sa langue glisse contre la mienne dans un joyeux concert. Mes mains sont agripper sur sa nuque pendant que les siennes, sont sur mes fesses qu'ils les empoignent fermement.

Je me sens tellement sécurité quand je suis avec lui. On se décolle et je le regarde avec tellement d'amour. Plongé dans un océan.

Moi: Je me sens si bien dans tes bras.

Léon: Moi aussi, plus je te vois, plus je tombe de plus en plus amoureux de toi.

On est dans les bras de l'un de l'autre, pendant une demi-heure. Il y a personne dans le jardin rien que nous deux, notre petit moment. Je sais pas pourquoi, j'ai envie de lui faire un petit croche-pied pour qu'on tombe ensemble. Oui je suis un peu folle.

Je lui fais un croche-pattes et nous tombons au sol. J'atterris en califourchon sur lui et soudain je sens une bosse. Ne me dite pas qu'il bande ? On se regarde gêné et on ce relève vite fait.

Léon: Euh.. désolée. Dit-il gêné.

Moi: Je pensais pas te faire de l'effet jusqu'à que tu... voilà quoi.

Léon: J'ai pas pu me retenir. Dit-il en ce grattant derrière la tête.

Venez pas me dire que c'est moi je l'ai provoqué ou je ne sais quoi, c'est lui qui à bander sur moi. Je repars dans le hall et rejoindre ma chambre pour allez me coucher.

À suivre.

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