Prologue, bienvenu à PATATOLAND !

Hello ! Bienvenue dans l'incroyable univers de PatatoLand ! Ce livre est un gros délire chelou, un peu parodique, un peu n'importe quoi X) De la merde intelligente en quelques sortent (non, ce n'est pas vaniteux. Je suis intelligente, c'est un fait. Pas un fait confirmer, mais un fait quand même).

Je m'excuse d'avance pour les fautes, je suis pas la meilleure en ce qui concerne l'orthographe :') Ce prologue est un peu court parce que c'est une sorte d'essais, mais j'espère que ça vous plaira quand même ! Bonne lecture, et surtout, donnés moi vos avis ;)

Avant de lire, je vous conseil grandement de lire le lexique, (et même de le relire), parce que sinon vous allez vraiment rien comprendre X) (il y en auras un à chaque débuts de chapitre)

Lexique :

Patapute = putain

friteuse = école/collège/lycée

printatoce = prince

printatoesse = princesse

Bourgeons auxillaires = yeux

épluchure/éplucher = habits/habiller

déterrer = réveiller

frire = étudier

pamam = maman

tatapo = papa

atolescente = Adolescente

Patato = équvalent d'humain pour les patates

patati = fille

patata = garçon

éplucherie = panderie, là ou l'ont range les vêtements.

Pucci = Gucci

racines = cheveux

IPomme = IPhone

arrêt de brouette = arrêt de bus

brouette = bus

tubercule = corps/visage/dos/

elle ressemblait à une humaine* = référence à l'expression " je ressemble à une patate"

Piss (perfecte) = Miss (parfaite)

Pister = mister

cuve = classe

conduits = couloirs de la friteuse

L'huile = l'équivalent de soda.




PROLOGUE - Il était une fois...


Le four sonna l'heure de ce réveiller pour Burgerine qui péta de m'écontentement. Accompagner d'un soupire, elle poussa sa couverture d'alluminium et sauta sans conviction vers son placard. Elle ce frotta les bourgeons auxillaires et bailla avant de ce concentrer sur quel épluchure elle allait bien pouvoir porter aujourd'hui. C'est à ce moment que sa pamam déboulla dans sa chambre en souriant. Burgerine, pas encore bien déterrer, la regarda d'un air lasse.

- Aujourd'hui est un grand jour ! s'exclama sa mère. Ma petite patati, je suis tellement fière...

Burgerine prend un moment pour comprendre, puis ça lui revient. Aujourd'hui, elle faisait son entrer dans la plus grande friteuse du royaume ! La friteuse ou le printatoce frit lui aussi ! c'était un si grand honneur pour Burgerine, qui avait travailler sans relâche pour cette bourse. Il fallait qu'elle ce dépêche !

-Pamam, il faut que je me prépare ! dit Burgerine.

L'atolescente roula sa pamam jusqu'à la porte, pendant que celle-ci clamait des encouragement pour sa patati adorer. Une fois sa pamam éloigner, Burgerine sauta jusqu'à sont éplucherie, et cette fois-ci réfléchie très sérieusement à ce qu'elle allait porter. Ses épluchures lui parraissait toutes moche et sans valeur. Après mûre réflexion, elle choisit une épluchure Pucci arce-en-ciel, coiffa ses racines en un élégant chignon puis vérifia l'heure sur son IPomme.

-PATAPUTE, je vais être en retard ! s'exclama t-elle en roulant jusqu'au rez-de-chaussée.

Elle mangea à peine de sa terre que sa pamam avait préparer et pris son sac avant de rouler jusqu'à l'arrêt de brouette.

La friteuse Saint Pomme-de-Terre n'avait pas voler sa réputation, ni sa richesse. Cette friteuse est la plus grande qu'elle ai jamais vue. Des patatos en épluchures bleu marine entraient en petit groupes, rigolant enssemble et avec un air de riche coller sur la tubercule. Burgerine déglutie lentement, et comtemplais cette foule d'atolescents inconnu. Elle leva les bourgeons auxillaires vers le ciel, perdue dans cette immensciter de bleu claire et de blanc, comme l'eau d'un lagon. Elle ferma ses bourgeons auxillaires pour profiter des rayons du soleil.

-Hum, hum.

La voix la ramèna sur Patatoland. Elle baissa la tubercule, et regarda la patati qui ce tenais devant elle. Elle avait une peau uniforme, assez foncé et très peux de tâches brunes. Elle avait des racines souple et qui tombaient bien sur sa forme oval régulière. Burgerine fut immédiatement un peu jalouse et envieuse. Comparer à elle, elle ressemblait à une humaine*. Burgerine avait des contours réguliers, certe, mais elle était bien plus ronde que les autres et avaient des tâches brûnes qui la complexaient parfois. Malgré tout, Burgerine n'en laissa rien paraître.

-Tu dois être Burgerine, je suppose. La boursière, lui dit Piss Perfect avait un sourire visiblement forcée.

Ne comprennant pas cet accueil un peu froid, Burgerine ce contenta de timidement hocher la tête.

-Je m'appelle Macdo et j'ai été charger, en temps que déléguée de ta cuve, de te faire visiter la friteuse et de t'en expliquer le fonctionnement, dit-elle mécanniquement, et malgré son sourire, Burgerine lui trouve un air méchant. Suis moi.

Docilement, Burgerine la suis un saut derrière elle. Les bourgeons auxillaires baisser, elle ose à peine les relevés et préfère tenir fermement sont sac sur sont tubercule. Elle est franchement intimider et ce sent comme dans un environnement haustile. Les conduits ont beau être plus large que dans d'autres friteuse, Burgerine ce sent malgré -tout mal à l'aise. Et Macdo reste distante et l'ignore cordialement, ne lui indiquant que de temps en temps le nom de certaines salles.

Burgerine est perdue dans ses pensées quand d'un coup, elle percute quelque chose. Le choc la fait reculer un mètre plus loin, elle laisse tomber son sac, ses affaires et la cerise sur la terre, elle ce retrouve avec une tâche d'huile de vinaigre sur son épluchure Pucci arc-en-ciel.

Quand elle lève les bourgeons auxillaires pour voir qui à fais ça, elle n'en revient pas.





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