Chapitre 8


PDV d'Albert.

Remi vient me voir après les cours. Elle m'annonce que ma sœur a été accusé du meurtre de Rei.

Meurtre dont je n'avais même pas connaissance.

Cela m'énerve, cette société toute entière m'énerve, membre d'Ember, je vais tous vous buter.

Ma vengeance sera terrible.

Dans pas longtemps, Izuku et Shoto vont venir dans cette école.

Eux qui ne respectaient pas les personnes plus faibles qu'eux sont devenu des activistes prêts à protéger les plus faibles.

Il faut dire que se faire remettre à leur place par un impotent comme moi, cela a dû un peu les choquer.

Si un impotent est censé être le plus faible, que sont-ils vu que je les ai vaincus avec Katsuki en un vs trois.

La remise en question pour ne pas être les plus bas de l'échelle, j'adore.

Arlo m'a invité à venir à la zone de combat contre les écoles.

Je m'y rends, je tombe sur lui et deux personnes que je ne connais pas.

-Arlo : Ah mince, je t'avais oublié.

Je devine aisément qu'il a tenté de confronter John. Quelle idée de merde.

Il est puissant quand il utilise sa capacité. Je ne suis pas sûr de pouvoir gagner contre lui tout seul.

Contre Seraphina, ce n'est même pas la peine d'essayer. Je ne peux pas me battre contre le temps.

A moins peut-être que si j'utilise cela, je serais peut-être capable de casser son emprise.

-Arlo : J'allais te demander comment as-tu pu gagner contre les plus fort de ton école qui sont normalement plus fort sans capacité ? Isen n'a pas pu trouver plus d'infos à part le fait que tu as gagné.

Je frappe violement le sol.

Un cratère se forme.

Il a bien vu que mes yeux n'ont pas projeté de lumière.

-Albert : Je possède une force herculéenne, elle dépasse de loin toutes les capacités d'amélioration physique que je connais. Je ne dirais rien à part le fait que je ne compte pas me mettre en mouvement pour le moment contre se système.

-Arlo : Ce système est la seule chose qui nous amène l'ordre.

Je rigole doucement.

-Albert : Aimes-tu Staline ?

-Arlo : Non.

Je le regarde droit dans les yeux.

-Albert : Je suis sûr que c'est ce qu'il pensait quand il a imposé son régime de terreur. Tu n'aurais jamais dû aller chercher des noises avec John mais il n'avait pas non plus à vous mettre dans un tel état. Appelle-moi, s'il te recontacte, je viendrais empêcher que cela dérape. J'imagine que tu as appelé Elaine. Je te laisse te démerder pour la suite.

Je pars de mon côté. Je n'ai pas trop envie de me retrouver mêlée à cela. 

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