Lily

La tension restait palpable, même après mon retour auprès d'Arina. Bien que Dmitri soit mort, ses réseaux et ses alliés ne s'effondreraient pas du jour au lendemain. Ce n'était que le début d'une guerre de longue haleine pour démanteler son empire.

Les données que nous avions extraites joueraient un rôle clé. Arina s'attela immédiatement à la diffusion des fichiers restants, coordonnant les publications à travers des canaux sûrs pour s'assurer que chaque nom révélé provoquerait un scandale. Cependant, cette victoire partielle s'accompagnait de nouvelles menaces.

Quelques heures après mon retour, la première vague de répercussions commença à se manifester. Les noms dévoilés entraînèrent des démissions dans des sphères influentes, des arrestations de figures corrompues, et des violences internes dans les rangs de l'organisation de Dmitri. Ses lieutenants cherchaient à s'emparer de ce qu'il restait de son pouvoir.

"Regarde ça," murmura Arina en pointant l'écran. Les informations avaient atteint les chaînes d'information grand public. Une chaîne montrait des images d'un ministre arrêté pour blanchiment d'argent. Une autre diffusait les déclarations d'un homme politique dénonçant ses anciens complices pour tenter de sauver sa peau.

"C'est un beau chaos," dis-je, presque incrédule.

Mais le chaos était un couteau à double tranchant. Si Dmitri était hors jeu, d'autres opportunistes pourraient émerger pour combler le vide laissé par sa mort.

Au cours des jours suivants, nous restâmes cachées, surveillant les réactions et les mouvements des ennemis. La mort de Dmitri était une épine dans leur pied, mais elle en faisait aussi un martyr pour certains de ses hommes les plus loyaux.

Une nuit, alors que je somnolais sur le canapé, Arina me réveilla brusquement.

"Lily, il y a un problème."

Elle me tendit une tablette. À l'écran, un message crypté était apparu sur l'un des canaux utilisés par les anciens lieutenants de Dmitri. Il s'agissait d'un appel à la vengeance, une prime sur ma tête.

"Deux millions de dollars pour quiconque t'élimine," dit Arina, son visage grave. "Ils ne plaisantent pas."

Je laissai échapper un soupir. "Ils savent que je suis un danger pour eux. Mais cela signifie aussi qu'ils ont peur."

"Peur ou pas, ça te met en danger immédiat," répondit Arina. "On doit agir vite pour les empêcher de se regrouper."

L'étape suivante de notre plan consistait à frapper les dernières figures clés du réseau. Ces hommes contrôlaient encore les finances et les opérations. Sans eux, Dmitri aurait été incapable de maintenir son empire, et sans Dmitri, ils étaient affaiblis.

Nous décidâmes de cibler Mikhaïl Ivanov, l'un des financiers de Dmitri. Il était responsable de blanchir l'argent qui circulait dans l'organisation. Sa capture ou sa neutralisation serait un coup dur pour les opérations restantes.

Grâce aux données récupérées, nous avions localisé son refuge : une villa luxueuse en périphérie de la ville. Mais contrairement au complexe de Dmitri, cet endroit n'était pas une forteresse. Mikhaïl ne s'attendait pas à ce qu'on vienne pour lui.

Le soir venu, nous avons infiltré la villa. Arina coordonnait l'opération depuis une camionnette stationnée à proximité. Avec son aide, j'ai désactivé les systèmes de sécurité et neutralisé les gardes.

Mikhaïl était seul dans son bureau, une cigarette à la main, lorsqu'il m'aperçut. Son visage blêmit.

"Lily," balbutia-t-il. "Écoute, je peux t'aider. Je peux te donner des noms, de l'argent..."

Je levai mon arme. "Tu penses que tu peux t'en tirer comme ça ?"

Avant qu'il ne puisse répondre, Arina parla dans mon oreillette. "Attends, Lily. Ne le tue pas. On peut l'utiliser."

Je pris une profonde inspiration. Arina avait raison. Mikhaïl pouvait être une source précieuse d'informations sur les autres membres de l'organisation.

Sous la menace, il finit par avouer des détails cruciaux : des caches d'armes, des comptes offshore, et les plans de ses anciens collègues pour regrouper leurs forces.

Avec ces informations, nous avons orchestré une série de raids coordonnés. Travaillant dans l'ombre, nous avons alerté des journalistes d'investigation, des forces de l'ordre non corrompues, et même des organisations internationales. Chaque coup porté réduisait un peu plus l'influence de ce qui restait de l'empire de Dmitri.

Mais avec chaque victoire, la pression augmentait. Les ennemis survivants devenaient plus désespérés et plus imprévisibles.

Quelques semaines après la mort de Dmitri, une dernière menace se présenta. L'un de ses anciens alliés, un homme connu sous le nom de Sergeï Volkov, avait repris les rênes. Il tentait de reconstruire les morceaux éparpillés de l'organisation. Contrairement à Dmitri, Sergeï n'avait pas la même ruse, mais il compensait par une brutalité pure.

"Si on l'arrête maintenant, on met fin à tout," dit Arina.

Nous savions que Ivan devait être neutralisé, mais cette fois, je ne serais pas seule. Avec les alliés que nous avions ralliés à notre cause, nous avons monté une opération coordonnée pour prendre d'assaut son dernier bastion.

La confrontation avec Ivan fut violente et chaotique. Ses hommes étaient nombreux, mais mal organisés. Nous avons avancé pas à pas, éliminant les menaces une par une. Quand j'ai enfin atteint  Ivan, il était pris au piège, acculé dans une pièce sans issue.

"C'est fini," dis-je en le tenant en joue.

"Tu penses vraiment que tu as gagné ?" ricana-t-il, les yeux brûlant de rage. "Dmitri était un roi. Tu l'as tué, mais un autre roi prendra toujours sa place."

"Pas cette fois," répondis-je avant d'appuyer sur la détente.

Avec Ivan mort, l'empire de Dmitri s'effondra pour de bon. Les noms révélés, les ressources détruites, et les figures clés neutralisées laissèrent un vide que personne ne pourrait combler facilement.

Mais alors que la poussière retombait, une question restait en suspens : qu'allais-je faire maintenant ? Après avoir consacré tant de temps et d'efforts à cette bataille, ma vie semblait soudain dénuée de direction.

"Tu as gagné, Lily," dit Arina un soir, alors que nous contemplions la ville depuis un balcon. "Qu'est-ce que tu comptes faire maintenant ?"

Je regardai les lumières scintillantes au loin, un sentiment de liberté nouvelle émergeant doucement en moi.

"Je vais recommencer," répondis-je doucement. "Pour de bon, cette fois."

"tu as raison Lily, recommençons."Dit Arina "Au faite tu a vus le corps de Ivan ? personnellement non."

Je la regarde en haussant un sourcil  "Comment ça ? Tu n'a pas vu Ivan ? Amir m'a dit que tu te charger de la faire disparaitre."

Je réfléchis pendant quelque secondes au pire des cas, il est mort.

"Arina, tu vas faire quoi quand tout ça sera fini ?" je lui demande doucement pour tenter de me changer les idées.

Arina prend une respiration avant de répondre "Et bien je pense que je pourrai essayer de devenir journaliste, et toi ?"

Je regarde le vide avant de répondre "Je vais me concentrer sur ma carrière de patineuse, comme j'aurai du toujours faire."

Arina rigole puis se met a imiter le titre quelle pourrai donner à son projet  "Lily Poliyakova, la célèbre patineuse russe, sa sonne plutôt bien tu trouves pas ?"

Je rigole "En effet sa sonne bien." 

"D'ailleurs tu es retourner à la patinoire ?" 

"Non, à vrai dire je n'ai pas eu le temps" Je pousse un soupire en y repenssent, il est vrai que je n'ai pas eu le temps.

"On n'y vas ?" 

"Quoi la toute suite ?" Je lui demande sans vraiment comprendre pourquoi elle veut y aller maintenant.

"Lily, je sais que tu vas pas bien, je ne sais pas comment ses passé la confrontation que tu as eu à Moscou, mais moi je ne veux pas voir que ma meilleure amie qui  souffre d'un connard qui ta pourri la vie depuis que tu est enfant. Tu compte pour moi Lily, parle moi."

Je la regarde quelque seconde, puis j'ésquisse un sourire." On n'y vas." 

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Nous sommes passé chez moi pour que je prennent mes patins, nous sommes arrivé à la patinoire il y a quelque minutes, une fois nos patins mis nous allons sur la glace. 

"Putain, Lily rappel moi pourquoi je t'ai proposer d'alller à la patinoire ?" En disant sa phrase Arina se retient à a la barrière pour ne pas tomber.

"Arrête de te plaindre, nous sommes encore dans le coin des enfants, de plus tu à une luge pour ne pas tomber" En disant ma phrase je lui lance un regard de mépris mais avec une pointe d'amusement.

"Ta gueule Poliyakova, on à pas tous fait 15 ans de patinage."

Je me tait en sachant pertinemment quelle marque un point.

Arina 1 - Lily 0.

Je lui tend a main, pour l'aider. j'ai l'impression d'enseigner comment on marche à un enfant de 2 ans.

Elle sens me regard sur elle, puis elle tourne son regard sur moi avant de dire.

"Ose faire un commentaire, et je t'enfonce tes propre patins dans le cul, compris" Elle se retiens de rire à la fin de sa phrase.

Je prend une mine offusquer. "Tu oserai pas Овраменко (Ovramenko)" Je prend une voix menaçante malgré le fait que je veuille rire.

"Est ce un défi ? Me dit Arina.

"Absolument, je te défi Arina Ovramenko." Je la pousse plus rapidement sur la glace.

Ont se met a rire, et honnêtement je me suis jamais sentie aussi depuis son départ.

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Le soir Arina est restée dormir, je lui est prêté ma chambre, Je n'ai jamais était comme toute ses personnes qui peuvent dormir avec quelqu'un, J'aurai possiblement des envies de meurtres si la personne ronfle. Cela doit faire une heure que je tente de dormir mais le sommeil ne vient toujours pas.

Je me lève et me dirige vers ma salle préférer de la maison, celle ou se trouve toute mes médailles et des photos avec mes anciennes amies. On était un petit groupes de 5, Julia, Anna, Anastasia, Arina et moi, Nous nous sommes toute séparer, hormis Arina et moi le groupe n'éxiste plus.

Je me suis endormie par terre, sans surprise, sa me le fait souvent, à vrai dire mon lit est souvent destiner au peu d'inviter qui viennent dormir ici.

Je me suis réveiller à cause des rayons du soleil. En partant dans la cuisine j'ai mis mes écouteurs puis j'ai fait mon meilleure karaoké sur du Lana Del Rey. j'écoute dark paradise.

Arina ce réveille puis regarde l'heure sur son téléphone. "Serieux, Lily il est a peine 8 heures du matin." Dit elle désespérer

"Il n'y a pas d'heures pour les braves" 

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Chapitre fini et corrigé.