Papa, Maman...

Je sentis que la voiture s'arrêta. On me pris comme un sac à patate et on me lança par terre. Il me frappa sur la tête et je m'évanouis.
Je me réveillai à genoux, les bras devant moi attaché avec des chênes et des anneaux de métal. J'avais un... un casque de musique sur les oreilles. Je commençai à paniqué parce que le gars qui m'avait capturé me connaissait surement. Peut-être que c'est Mike. Non, c'est pas possible. Quelqu'un ouvris la porte de la pièce et deux personnes entrèrent. Ils se mirent devant les barreaus de ma cellule et me fixais. Choquée, je les fixai aussi. C'était mes parents. Ils ne sont pas mort. Les larme me montèrent au yeux.
- Pourquoi ? Demandai-je en pleurant.

 Je baissai la tête et mes larmes tombèrent sur le sol froid. Ma mère allait aussi pleuré mais mon père n'avait pas d'expression du visage. Il pris mon sac et l'ouvris. Il empoigna mon masque qui était à l'intérieur. Ma mère avait l'air déçu.

- C'est donc toi.
Je levai mes bras attaché ensemble et les fracassais sur le mur. Il s'abimais de plus en plus mais je continuai. Une fixation lâcha puis deux et trois. Je pu enlever les chaines et enfin me libérer. Mes bras avaient des écorchures et saignaient mais je m'en fichait et mon père appuya sur un bouton. Soudain, de la musique se diffusai dans le casque. Je croyais que ma tête allait explosé. Je me tenais la tête et criai. Du sang qui provenait de mes oreilles coulait le long de mon visage. J'essayai de retiré le casque mais je n'arrivais pas. Mon père entra dans ma cellule et m'attacha les mains à des chaines fuxées au mur. Il referma la cellule à double tour et arrêta la torture. Ma mère pris le masque sur la table et me demanda :
- C'est toi la tueuse de ton propre frère ? C'est toi la femme au bouton noirs?
- C'est The Seamstress s'il te plaît et oui je l'ai tué.
- Pourquoi?
- Pour me protégé. Et vous pourquoi vous m'avez fait croire à votre mort.
- Ce n'ai pas la question, maintenant tu vas être emmené à la prison la plus sécurisée de Californie. Annonça mon père fier de lui.
Je compris tout de suite pourquoi simulé une mort, pour devenir creepyhunter le plus discrétement possible. Un sourire se dessina sur mon visage.
- Vous être des creepyhunters, c'est ça ?
Ma mère écarquilla les yeux.
- Vous avez les badges et j'ai entendu toute votre conversation avec votre colègue.
Mon père avait l'air énervé. Ils partirent de la pièce ensemble. Je commençai à tiré sur les chaines. Je tapai les fixations avec les pieds. La première chaine allais bientôt céder. Je tapai avec le talon. J'avais énormément de force. D'un coup, les liens giclèrent dans un boucan pas possible. J'avais réveillé tout le pays. Mes parents entière dans la pièce, mon père actionna la musique et la torture recommença. Il entra dans la pièce et m'assomma. 

Je me réveillai avec les yeux bandé. Les bras tendu vers le haut et les jambe tendu aussi. Je sentais que je ne touchais pas le sol. J'essayai de crier mais j'avais un bâillon qui m'en empêchait. J'avais toujours le casque de musique. Je ne pouvais plus bouger. J'entendis quelqu'un parlé. <<aide moi, Gaby...>> C'était dans ma tête et la vois m'est familière. Je gigotai dans tous les sens pour me libéré. Je me fatiguai de plus en plus. Des larmes coulaient le long de mes joues. Je ne voulais pas resté comme ça pour le restant de mes jours. Je suis encore jeune. J'ai bientôt 15 ans. Je me ressaisis et essayai de chopé les liens qui me tenais en l'air. Je réussis à l'empoigner. Je l'abimais de plus en plus. Mes ongles étaient long donc je pu cassé la corde. Elle ceda et je pendais du côté droit. Je réussis ensuite à cassé la corde de la jambe droite. Puis la jambe gauche. Mon bras gauche se faisait tiré et moi je tentais de cassé la corde. La corde cassa et je tombai à terre. J'essayai de faire le moins de bruit possible. J'enlevai le bâillon. Mais je ne pouvais pas enlevé se qui me cachais les yeux, c'étais en métal croché à mon casque. Je tendis les bras devant moi et tentais de trouvé la porte. Bingo, je la trouvai et essayai temps bien que mal de cassé la serrure. Soudain j'entendis un craquement. Une douleur affreuse se propageait dans ma main. Je m'était cassée le poignet. Je levais ma jambe droite et donnai des coups de pied dans la porte. Elle se cassa. Je tombai sur le tableau de commende de mon père. Je commençai à les cassé. Soudain, je vis de la lumière. Mon casque et les lunettes étaient tombé. Je retrouvai mon sac, pris mon masque et mes ciseaux. J'ouvris la porte avec vigilance et entrai dans une autre pièce. Il n'y avait personne. Je trouvai la porte de secours et la pris. Je l'ouvris et dehors il faisait froid, très froid. Je n'avais plus de veste. Je regardai une dernière fois cette endroit. Soudain, un bombe explosa. Je giclai long de la porte avec l'explosion. Je m'évanouis. 

J'ouvris légèrement les yeux et quelqu'un pleurai mon nom devant moi. La personne était flou. Je referme les yeux et dormis pour me rétablirent. 


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