Je te sauverai coûte que coûte !
Je m'étais évanouis pendant un petit temps. J'avais vraiment mal à la tête. Je me levai avec difficulter. Je devais les retrouver avant qu'ils ne fassent de mal à Mike. Je courais à leur poursuite et heureusement ils n'étaient pas encore partis. Il allais rentrer dans le camion et le démarer que je mis accrochai. Je n'avais pas mis le masque pour que Mike ne me reconnaisse pas mais mes armes était avec moi. J'était pendu à l'arrière et obsèrvai la scène. Mike était consient et ses yeux inquiets était mouiller prèt à laissez couler quelque larmes. Les hommes le frappaient à plusieur reprises. Je réussis à gripper sur le toit mais le camion s'engagea sur l'autoroute. J'avais l'imprétion que j'étais englué sur le toit parce que je ne bougeai pas. Je pris le revolvert dans mon sac et commençai à tirer à ma droite puis au millieux. Mike était à ma gauche. Je tirai une dixaine de balles. Le vent trop fort, il m'emporta mais de justesse je pu me rattraper aux portes arrières. Elle s'ouvris sous mon poid et un gars me pointai avec un fusil. Il tira avec mais le conducteur perturbé roulait en zigzag. Ce qui le fit tombé. Les portes du camion se fermais et s'ouvrais avec violance. J'y perdis mon revolvert. Je réussis à faire une rentré fulgurante dans le camion en prenant l'élent des portes et en m'éjectant les pieds d'abord dans la tête du mec. Je lui explosai la tête. Mike n'en croyais pas ses yeux. Un autre homme était encore vivant. Je sortit mes ciseau et les lui enfonça dans le cou. J'avais fissuré sa colone vértébral qui avait resortit de l'autre côtée. Je le retournai de force et lui arracha la colone vértébral. C'était cool ! Il n'y en avais plus qu'un qui tenais Mike avec un pistolet sur la tempe. Je m'approchai doucement d'eux. Tout à coup le camion dévia. Le mecs tira. Il s'était tiré la ball dans l'épaule et avais lâcher Mike. Je le poussai hors du canion et il se fit écrasser la tête par une autre voiture. Je détachai Mike qui à ma vue était bouche-bée. Je regardai dehors et remaqua qu'on déviait de la route pour arriver dans un champs. Le conducteur avais reçu une balle en pleine tête. Nous paniquions les deux et Mike décida de casse la vitre qui nous separait du conducteur pour y accéder. Il conduit mais il était trop tard. Le camion fit un vol plané pour enfin arrivé dans un petit lac profond. Le véhicule coulais vite et les portes difficiles à ouvrir avec le courant de l'eau. Mike réussis à sortir mais pas moi. Mon manque d'air m'empèchais d'utiliser la force. Je stressai et commençai à paniqué sous cette présion générer par l'eau.
Point de vu de Mike :
J'avais réussis à sortir de l'eau et reprendre ma respiration. Gaby n'était pas à la surfance. Je criai son nom :
- Gaby !! Gaby montre toi ! Gaby !!
Je décidai alors de plonger et d'aller la récupéré. Elle était encore dans le camion. Inconsiente, sa jambe c'était coinsé dans un des bancs du véhicule. Je la tirai pour la remonté mais sa jambe restait coinsé. Je remontai et repris ma respiration pour y retourner. Je ne pouvais pas l'abandonné ici. Cette fois sa jambe se retira. Je la remontai mais les habits étaient lourds. J'enlevai mon pull et celui de Gaby. Je réussis à respirer et à rejoindre le bord. Je portais Gaby hors de l'eau et la déposa sur le sable. Je sentis son pou et heureusement son coeur battait. Je lui fit un massage cardiaque et en deux pulsation elle se mis à cracher de l'eau. Elle ouvris les yeux et me vis à torse nue. Elle remarqua aussi qu'elle n'avais plus de haut et se cacha le ventre et la poitrine tout en rougissant. Je lui pris le menton et l'embrassai languoureusement. Il fesais froid mais se baiser me redonna chaud.
Point de vue de Gaby :
J'était toute rouge et gênée. Il me voyais en soutient-gorge. J'avais chaud après ce baiser mais les frissons m'envahissaient le corps. Mike me pris dans ses bras pour me réchauffé. Je me levai et un rayon du soleil vint nous réchauffé. Mike alla chercher nos haut trempé. Je remis mon pull et lui en fit tout autant. Mike avait son téléphone sur lui mais il était trempé. Il ne pu téléphoner à sa mère alors nous demandions un téléphone au passant de la ville la plus proche. Un gentil homme nous le prèta et nous pouvions prévenir Amélie de notre enplacement. Elle vint nous chercher et nous prometta de ne plus jamais nous laisser sans surveillance. Elle nous rammena à la maison et nous nous séchions. J'était très fatiguée de cette journée donc j'allai me couché.
Je n'arrivais pas à dormir quand soudain quelqu'un toqua à la porte.
- Entré ! Dis-je.
Mike ouvris la porte et me confia :
- Toi non plus tu n'arrive pas à dormir ?
- Non... tu veux bien dormir avec moi ?
La question le fit rougir. Je soulevais mon duvet et tapotais la place où il devais dormir. Il referma la porte derrière lui et vint avec moi. Nous nous adormions ensemble.
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