Réelle

J'ai vue le monde réelle,
Réelle et dénudé de vie,
En vie mais sans aucune âme,
L'âme des humains ne fonctionne pas.

Les pas dans les rues en sont remplies,
Remplies de personnes sans sourire,
Un sourire redonnerait de la joie,
De la joie sur cette terre egris.

Où est la nature?
La nature disparaît et laisse place à ces bâtiments,
Des bâtiments aussi laid que possible,
Possible est un mot qui ne sert plus.

Le plus c'est bien ce qui manque,
Un manque de passions qui se ressens,
Je ressens le mal qui traverse,
Traverse la vie en tuant tout sur son passage.

Le passage de ces monstres fait peur,
La peur de perdre des millions de gens,
Les gens qui ne pensent qu'à leur petite tête,
La tête qui gonfle tout va exploser.

Exploser pour que tout pourrisse,
Ils pourrissent de l'intérieur,
L'intérieur est devenue si moche,
Si moche que je veux plus m'approché.

Approché ces jeunes en dépression,
Les dépressions tuant ces avenirs,
Les avenirs n'existe que dans les rêves,
Les rêves qui s'envole.

L'envole des personnes mortes,
La mort est ce qu'il y a de mieux,
Le mieux est devité ce carnage,
Ce carnage dont le sang à coulé à flot.

Les flots dans la fone disparaît,
Disparaît en laissant quelques traces,
Des traces qui nous détruisent,
Détruisent aussi bien que les couteaux.

Les couteaux tranche les gorges,
Les gorges qui n'attendent que leurs saveurs,
Les sauveurs qui ne viendront jamais,
Jamais c'est le véritable mot,

Les mots deviennent changés,
Changés et complètement incompréhensibles,
Incompréhensible et les vieux sont oubliés,
Ils ont oubliés les valeurs.

Les valeurs qui ne se transmette,
Transmette maintenant le sang, la douleur et les illicites,
Les illicites sont de plus en plus fréquent,
Les fréquent ne me satisfait

La satisfaction d'avoir un monde sans guerre,
La guerre existera pour toujours,
Toujours je t'ai justement toujours détester
Je te déteste car tu fais croire à l'éternité.

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