J'ai pas réussit à voir ses pensées tellement que t'es yeux étaient noirs,

Peut-être un concentré de mélanine ou trop de pleure le soir.

Des tonnes de cicatrices étalés sur ta peau à chaque centimètres,

Qui essaye de recouvrir un mal sur des kilomètres.

Il est si beau ton visage,

Il est comme figé et paraît d'un plus grand âge.

Aujourd'hui c'est l'un des plus gros désastre,

C'est avec des remords que j'en deviens verdâtre.

Tu as eu ce courage qui est des plus incroyable,

A coté de toi je ne suis qu'un misérable pitoyable.

J'ai le sensation que ton cur bat avec les mien,

Je voudrais te les donner pour qu'ils deviennent les tiens.

Je ressens ton souffle irréguliers,

C'est là que je comprends qu'on n'est liés.

C'est une triste histoire dangereuse,

Où cette princesse ne semble plus heureuse.

Le son de ta voix résonne dans mes oreilles,

Malgré le malheur qui t'emportait, elle reste pareille.

Ce n'est pas un sourire qu'il te fallait,

Mais une aide que tu aurais pris quand tu désespérais.

Je n'ai pas su voir t'as douleur,

Pourtant tu as réfléchis avant de partir dans les horreurs.

Je me souviens quand j'ai trouvé sous ton lit cette extasie,

Tu m'as dis "c'est pour planer et être en euphorie".

Je suis encore là à te regarder,

Pendant que toi tu as décidé de me fixer.

Mes émotions se mélangent et se multiplient,

Alors que tous ce temps le bonheur tu supplies.

Je n'ai pas réussi à t'aider à tant,

Mais quand mes larmes coulèrent c'était comme un autre tant.

Il y avait déjà ce liquide rouge,

Dans ma tête le temps s'éteint et rien ne bouge.

Quand tu m'as dis que tu m'aimais avant de partir.

J'ai compris que c'était moi qui avais fait le pire.