Artifices

Bonheur artificiel, infidélités, plus que d'artifices,
Plus aucune chose esquisse.
Des images plein la tête,
Qui laisse à leur passage des miettes.

Lors des nuits pâles quand mes yeux sont flammes,
C'est bien pour que la came.
Le cerveau qui va explosé,
Je suis complètement névrosé.

Pleins de remords pleins de regrets,
Qui n'ont jamais menés à nos progrès.
À force de penser j'en n'ai mal,
J'essaye de me convaincre que pourtant c'est bien normal.

J'en suis accro à la dépression,
Elle englobe mes illusions,
Elle me détruit, oh oui qu'elle me détruit,
J'aime idolâtré mes insomnies.

C'est plus de l'amour c'est ma tête qui s'acharne,
Elle me laisse ce pouvoir cette hargne.
J'en devient presque malade,
On était pas près a affronter les engueulades.

J ai vue ces larmes salées,
Qui sur mon doux visage se trimbalaient.
Avec toi j'ai vue la sauvagerie de ce monde,
Qui ma montré de belle chose immonde.

J'ai connue la folie dans mon cerveau,
C'était comme nouveau.
J'ai vécu des nuits noires,
Quelque chose qui me laissait dans les désespoir.

Finalement je rigole,
Je n'est été que mongole.
Putain je le remet à sourire,
Et que plus rien ne pourras être pire.




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