Un acharnement continuelle,
Là où tu perd un amour habituel,
Un blessure profonde et douloureuse,
Qui n'est pas des plus chaleureuse.

Encore des larmes coulées,
À cause d'un être beaucoup trop aimé,
Un jeux tellement dangereux,
Dans le quel tu as été des plus audieux.

Des sentiments sortit pour toi,
Anéantie et jeté par dessus un toit,
La rage et le feu coulent dans mes veines
Un amour remplacer par une constante haine.

Un espoir qui fais sourire,
Transformer par un déception qui donne envie de mourir,
Les cousins beaucoup trop humides,
Me rappelle à quel point j'ai été victime.

Mon cerveau à gravé ton nom,
Il a envie de le garder comme un médaillon,
Des sensations mélangés,
Qui persistent sans s'arrêter.

Pourquoi m'avoir fais croire à nous deux,
En me mentant les yeux dans les yeux,
Un trop plein d'illusions,
Qui ont emmené à une horrible conclusion.

L'amour m'as totalement aveuglé,
J'ai été comme déréglé,
Pourquoi c'est moi que tu as choisis,
Grâce à toi j'était constamment dans un monde de fantaisie.

Pas un regrets ne peut se lire sur ton visage désagréable,
La parcelle de t'es émotions est infranchissable,
J'ai cru un instant la surmonter,
Je l'ai plutôt percuté.

Quelque mots pour m'humilier,
Qui ont grandement suffi pour ne plus être alliés,
Tu m'as fais replonger,
Dans les médicaments les plus étranger.

Je n'arrive plus à sortir,
Je ne veux pas voir tu se que tu as réussi à anéantir,
Pourquoi je saigne encore?
Parce tu m'as fais tellement mal en dehors.

J'ai envie de revenir dans tes bras,
Mais il vaudrait mieux rester derrière la caméra,
Tous ces mois où j'ai pu croire,
Je n'ai fais que m'enfoncer dans le noir.

Mensonge,
Le mots qui définira le plus t'es songe,
Minable,
Celui qui montre ton humanisme effroyable.