Chapitre 8
Je me réveille doucement. Mes yeux papillonnent face à la forte lumière éclairant l'endroit dans lequel je me trouve. Je suppose que cette lumière n'est autre que le soleil. Il me réchauffe. Les yeux une fois ouvert je découvre la chambre dans laquelle je m'y trouve. C'est sans doute une chambre d'hôpital. Petit a petit des images de ce qui sait passer me parviennent en tête. Zayn. Je ressens le besoin d'avoir Zayn à mes coté. Je suis un peu perdue. J'ai vue mes parents, j'étais morte ? Les larmes commencent à ce manifesté alors que ma louve se met a couiné d'une manière que je ne connaissais pas quoique... Elle l'a fait lorsque j'ai eu Zayn au téléphone et après. Je suis totalement perdue, les lames coulent et je me mets en boule dans se lit qui met totalement inconnue. La porte s'ouvre rapidement et deux bras réconfortants m'entoure rapidement. Je me retourne pour me coller à cette source de bien-être. Ma respiration s'apaise et je me rendors.
« Des lumières m'éblouissent et les nuages laisse apparaître deux personnes. Deux personnes que je connais que très bien. Mes parents. Ça fait tellement longtemps. Je cours jusqu'à eux en souriant.
- Maman, papa !
- Ma chérie, tu es devenu si belle ! Me dit ma mère.
- Tu as tellement grandi, m'indique mon père.
- Qu'est-ce que vous faites ici ?
- Ma chérie, il faut que tu restes forte. Je sais que tu souffres mais vous n'avez pas ouverts vos yeux tous les deux...
- Quoi ? Mais de qui tu parles ?
- De toi et de ce jeune homme ? Indique mon père.
- Vous ne voyez pas vos sentiments d'où l'ensemble de tes douleurs, tu refuses d'aimer
- J'ai peur de perdre de nouveau quelqu'un qui mes cher, maman, mais je ne vois pas de qui tu parles ?
- Il faut à ton réveil que vous ouvrez vos yeux.
- Il faut que vous soyez soudé, me dit ma mère.
- Il y a de grandes choses qui vous attendent et pas forcément facile, m'indique mon père.
- De quoi vous parlez je ne comprends pas !
Les nuages reviennent les emportant avec eux. Mes questions restent sans réponses. Je suis incapable de comprendre ce qui m'arrive. Il n'y a plus rien a par du vide. Du noir. Plus de lumière. Puis des images reviennent, de moi et ma famille, des garçons. Puis un besoin. Zayn. »
Je me réveille en sursaut. Zayn. J'ai besoin de....
- Eh calme toi Cassandre, je suis là.
- Zayn, je tourne le regard vers lui et me cale dans ses bras.
- Ça va aller, je suis la.
Je soupire de soulagement lorsque ses bras se resserrent sur moi. Il embrasse mon front et je me sens tellement mieux. Les mots de mes parents me reviennent encore et encore. Ma louve qui est totalement apaisé. J'assemble tous les morceaux et je crois comprendre. Mais je ne peux pas. Je ne veux pas perdre d'autre personne a qui je tiens énormément. Je ne peux pas. Je ne veux pas. Je lève mon regard vers Zayn. Celui-ci est tellement beau, son regard a l'air apaisé mais des traces de larmes sont tout de même présentes.
- Ton cœur c'est arrêté, j'ai eu tellement peur.... Répond-il à ma question silencieuse.
- J'étais morte ?
- En quelque sorte mademoiselle, répond un médecin venant tout juste de rentrer. Votre cœur a eu du mal à supporter cette énorme douleur que vous avez eu. Mais tout va mieux, il est reparti dès que monsieur Malik s'est approcher de vous. Bon, il regarde son calepin, d'après vos analyses tout va mieux, vous allez pouvoir sortir mais, pour vos douleurs, si vous voulez qu'elles s'arrêtent, arrêtez de vous voiler la face.
Il repart sur ces mots me rappelant ceux de mes parents. Je regarde une nouvelle fois Zayn qui me fait un doux sourire. Comment un homme peut être aussi beau ? C'est un dieu ? Je sais que pour nous les loups nous avons tous une âmes-sœurs ou un âme-sœur mais... Je pensais échapper à ça. Je ne voulais plus aimer quelqu'un en sachant que j'ai une chance après de le voir disparaître. Je ne voulais pas ça mais d'un côté, j'ai juste peur, et puis, tout le monde meurt à la fin. Zayn caresse doucement mon visage me faisant revenir sur terre. Son regard est doux. Il me regarde d'une telle manière que ça me fait rougir. Il commence à s'approcher de moi mais nous sommes rapidement coupés par un troupeau de fou qui me saute dessus en me posant des tonnes de question.
- Cassandre ! Comment tu vas ? Me demande Liam.
- C'est comment lorsque tu meurs ? Demande Louis avec un air très intéressé.
- Tu as vu le Paradis ? Ou l'Enfer ? Demande Niall tout aussi intéressé.
- Tu as mal quelque part ? Me demande Harry.
Je ris face a toutes leurs interrogations alors que Zayn leur demande d'arrêter de me poser des questions et surtout de me laisser respirer aux lieux de m'écraser. Les garçons s'écartent rapidement en s'excusant.
- Je vais mieux, dis-je en répondant à Liam, et je n'ai mal nulle part, indiquais-je a Harry. Je n'ai vue aucun des deux a part mes parents.
- Tes parents ?
- Oui
- Ils te disaient quoi ? Me demande Louis.
- Ils m'ont dit d'ouvrir les yeux, de laisser mes sentiments parler, dis-je en regardant Zayn. Il fallait qu'on ouvre tous les deux nos yeux... Je murmure à la fin.
Zayn me fait un petit sourire ayant surement compris le sous-entendu. Les garçons hochent la tête et après avoir entendu mon ventre gargouillé faisant rire certain, ils se décident tous d'aller me chercher quelque chose. C'est alors que le troupeau disparaît laissant place au calme de la chambre et à l'apaisement d'être dans les bras de Zayn.
- Il faut ouvrir les yeux ?
- Oui, il parlait d'un jeune homme et je suppose que c'est celui avec qui je suis le plus proche.
Zayn me fait un grand sourire et après m'avoir indiqué que mes parents avaient raison, il s'avance une nouvelle fois vers moi dépose délicatement ses lèvres sur les miennes. Des milliers de papillons me parviennent et un sentiment de bonheur immense me parvient. Je souris à travers ce baiser mais la douleur revient rapidement. Je me sépare, tenant mon ventre. Je ne comprends pas, ça ne devrait pas arriver, j'ai ouvert mes yeux. Nous avons ouvert nos yeux. Soudain tout se met à disparaître un à un, Zayn disparaît, j'ai beau l'appeler, le retenir il garde son sourire et disparaît me laissant dans le noir complet.
La douleur revient et j'ouvre les yeux. Je me tiens le ventre et regarde où je me trouve. Tout met inconnu, je suis perdue, je ne comprends rien. Juste une chose, que c'était un rêve. Qu'un putain de rêve mais je suis où alors ?
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