Chap 4 : Ma Souffrance
Plusieurs jours étaient passé depuis cette fameuse nuit et Naruto était venu me voir à plusieurs reprises, mais je refusais de le voir en prétextant n'importe quel excuse.
Mais il me connaissait par cœur et il savait que son mariage me contrariait et que j'étais jalouse, du coup il ne vint plus me voir me laissant me calmer.
Ma mère ne comprenait pas mon attitude et elle m'avait demandée pourquoi je ne voulais plus le voir.
Je lui avais répondu sèchement des broutilles pour qu'elle me laisse tranquille ne voulant surtout pas lui dire que j'étais amoureuse de mon frère.
Une semaine passèrent et il commença a me manquer, mais j'étais trop fier pour l'avouer ouvertement alors je prenais de ces nouvelles par ma mère, mais elle semblait contrariée, car elle trouvait l'attitude de mon père très bizarre ces derniers jours.
En effet, il semblait être plus souriant et il n'arrêtait pas de rire et chose peu commune, il organisait une grande soirée où il invita tous ces alliés ainsi que tout mes frères.
De plus, il fit faire de nouvelle construction au village pour cet événement.
Et personne ne savait pourquoi celui-ci organisait cet événement.
D'ailleurs, ma mère avait un mauvais pressentiment, car celui-ci lui avait dit qu'il avait perdu quelque chose, il y a très longtemps et qu'il l'avait enfin retrouvé.
Et chose peu commune malgré ma fausse maladie, j'étais aussi convié...
Quand je reçus le courrier, je sentais déjà que c'était un piège et en bas de l'invitation, il était marqué que ma présence était obligatoire et que je devais bien m'habiller, si je ne voulais pas que ceux que j'aime en pâtissent.
À la lecture de ces derniers mots, le papier tomba de ma main et je m'écroulai au sol, je savais qu'il avait découvert que je n'étais pas malade.
Alors, je me repris et je ne dis rien à ma mère pour ne pas l'inquiéter et je me dis que le moment était enfin venu pour que je supprime cet individu avant qu'il ne me vende à l'un de ses alliés ou pire qu'il ne tue ma mère...
Cette soirée n'était que dans quelques jours donc je commençai a me préparer en faisant un entraînement régulier et intensif, je savais parfaitement que ça ne changerait rien, je n'étais pas dupe à ce point, mais il fallait que je me prépare au pire et s'il me voulait, je ne serais pas si facile à avoir, il en baverait avant de me mettre la main dessus.
Le soir, je nettoyais mes armes en les aiguisant et je mis sur la lame du poison que j'avais concocté moi même.
Je dis à ma mère de dire à mes 6 frères de ne pas venir à cette soirée, car je ne voulais pas que ceux-ci soit pris en otage par mon père et surtout pas Naruto...
Ma mère s'inquiétait, mais j'avais réussi à la rassurer et j'avais déjà un plan pour qu'elle ne vienne pas non plus...
Le fameux jour arriva enfin et j'étais déjà excité sur le fait que ce jour serait le dernier de mon père, je mis mon plan à exécution en donnant à ma mère une boisson à base de plante qui l'endormit aussitôt, car je savais qu'elle n'allait jamais m'abandonner.
Ensuite, je la confiais à un homme de confiance qui nous avait toujours servi et cet homme devait l'emmener chez son aîné, mon plus grand frère à quelque kilomètre de là et ainsi elle serait sous sa protection.
Quand ma mère fut partie et que je savais que mes frères étaient à l'abri chacun dans leur contrée.
J'enlevai alors mon foulard et ma cape qui me cachait le corps dans la rue n'ayant plus peur de rien.
Tous les passant et villageois écarquillèrent les yeux devant ma beauté et tous chuchotèrent « La Princesse rose » est de retour...
Et j'avais endossé ma tenue de combat et toute mes lames affûtées et empoisonnées, prête à faire un carnage, mais celui qui m'intéressait c'était mon père.
Alors c'est vrai qu'attaquer un château toute seule pouvait être considéré comme du suicide, mais je savais que toute son armada de Samouraï était à l'extérieur du village et il devait rester qu'une poignée d'homme le protégeant, mais ces hommes étaient tous de vieux croulant et dans leur veine coulait plus d'alcool que du sang.
Et je connaissais toute leur position, non le seul risque et le seul danger était mon père...
Alors d'un pas décider, je pris le chemin de ces appartements et devant, il y avait deux Samouraïs qui protégeait sa porte.
Quand ils me virent, ils se mirent à rire, car il n'avait jamais vu une femme porter une tenue de combat, ni avoir des armes sur elle.
- Hey toi ?!
La gamine aux cheveux rose, tu dégages de la, tout de suite !!! Me dit un qui pointa son sabre dans ma direction.
Et l'autre se mit à rire...
Sans attendre, je sortis mes deux sabres et je les lançais sur eux, ils embrochèrent les deux hommes qui furent tués immédiatement, car mes lames étaient toutes empoisonné.
Bien-sur, j'avais l'anti poison sur moi, on ne sait jamais si je me coupais accidentellement.
Je récupérais immédiatement mes sabres en vérifiant qu'il y ait toujours du poison autour.
Je rentrai de force dans ces appartements et il n'était pas là, prise par une pulsion, je mis des coups de sabre partout écrasant tout dans sa chambre.
Je sortis et je tuai tous les hommes qui devait le protéger en les prenant par surprise, du coup pas de corps à corps, car je savais que ce n'était pas mon point fort.
Quand on connaît son point faible, il faut savoir pallier avec astuce, minutie et stratégie...
Voilà ce que j'avais appris en étudiant des livres sur les différentes stratégies de guerre...
Je fis tout le château de long en large, mais je ne trouvai pas se traite, ce lâche...
Quand soudain, je me rappelais que je n'avais pas fait la grande salle du trône...
Alors je pris la direction de cette salle en marchant et je serrais mes armes fortement tant la détermination me consumait.
Mon armure qui était rose était maintenant de couleur rouge sang, j'arrivais devant les grandes portes de la salle avec une grande appréhension, car je savais qu'il y était, car je l'avais cherché partout et il ne pouvait se trouver que dans ce lieu.
Mais je n'avais pas peur de lui, mais le danger c'était que la salle était grande et s'ils étaient plusieurs, j'aurais été vite débordée et je savais que je préférais mourir plutôt que de me laisser vendre comme un objet.
J'ouvris la porte doucement en me préparant au pire et je vis plein d'homme et plein de guerrier tous devant mon père qui lui, était assis sur son trône me regardant avec un sourire et à côté de lui, ma mère était retenue par des Samouraïs au service de mon père ainsi que Naruto avec une lame sous leur gorge.
Mon pire cauchemar était devant mes yeux, les deux personnes que je tenais le plus était des otages.
Je le regardai avec de la haine faisant fi des regards de tout ces seigneurs qu'il y avait tout autour de moi.
Quand des hommes apparurent dans mon dos et dirent : Voyez seigneur, elle a tué tous ces hommes, on l'a vu faire !
Et ils amenèrent une dizaine de corps devant mon père qui sourit en ce levant et il se mit à applaudir et tous les seigneurs firent comme lui.
Et il dit haut et fort : Je vous présente Sakura ma fille alias « La Princesse rose » c'est la seule femme qui a du courage, de la force comme un homme sans compter qu'elle est très intelligente et je suis fier de vous annoncer, le retour de mon trésor...
Dans sa voix, j'avais noté de la fierté, mais cela ne me toucha aucunement...
Tous les hommes chuchotèrent entre-eux ce disant : Que j'étais un trophée de premier choix, car non seulement j'étais extrêmement belle, mais en plus j'étais intelligente et ils auraient tous voulu me soumettre...
Tous ces mots et ces regards sur moi m'énervèrent au plus au point et je sus que je l'avais sous-estimé et j'allais le payer très cher.
Car c'est vrai que mon père était un rustre, un imbécile, un pervers mais c'était un grand stratège, il avait déjà anticipé mon plan, ça voulait dire qu'il devait se méfier de ma mère depuis longtemps et il avait dû m'observer et ça depuis très longtemps...
Et selon ces dires, il connaissait mon caractère, mon intellect et surtout, il savait que je le détestais...
Il s'avança vers moi tout en laissant une distance de sécurité tout de même car j'étais toujours armé et il me dit en ouvrant les bras : Ma fille bien-aimée, faisons la paix je sais que tu à vécu un calvaire en restant cloîtré dans ta chambre pour ta protection, mais je te jure que je ne pensais qu'à ton bien...
Tu es la seule femme sur cette terre que je respecte ainsi, alors fait moi confiance et pose ces armes et dit moi ce que tu veux, je te donnerais ce que tu voudras...
Pendant son monologue, des milliers de plans me traversait l'esprit et je regardais tout autour de moi et je ne trouvais aucune échappatoire surtout que mon frère et ma mère était en danger et en tentant quelque chose, il risquerait de les tuer...
La seule chose qui me restait à utiliser contre lui, c'était ma beauté et mon charme et je sais que ces hommes me voulaient, je n'étais pas sûr de moi, mais c'était la seule chose qui me restait.
Alors je le regardai et lui sourit et lui dit en pointant mon sabre vers lui : La seule chose que je veux père, c'est votre cou sous mon sabre et je vous ferais payer toutes les souffrances que vous avez faites à toutes vos concubines et à ma mère.
Je ne serais satisfaite que quand vous serez mort et je fais cette annonce à toute l'assistance ! Dis-je en hurlant...
Le premier homme qui tuera cet homme et je pointai mon sabre sur mon père, m'aura dans son lit et je promets à celui-ci qu'il ne regrettera pas, car celui qui me goûtera ne pourra plus jamais se passer de moi...
Car je suis pur et vierge...
Ils ouvrirent tous la bouche, car j'avais 21 ans et aucune femme ne dépassait cet âge sans avoir de relation avec un homme...
Car en général quand une fille atteignait la majorité à 18 ans, elle était le plus souvent vendue ou échangée ou mariée, donc atteindre l'âge de 21 ans et être vierge était inimaginable...
Et tous commencèrent à rougir et certain me regardait encore plus avec des yeux avides et pervers...
J'eus des frissons quand je les regardais tous un à un, car j'avais dit cela pour provoquer une révolte, ce qui aurait pu me laisser une chance pour libérer mon frère et ma mère et nous aurions fui dans la cohue générale.
Mais à part des chuchotements, ce fut un grand silence, aucun de ses lâches ne réagissaient, je voyais bien que leurs désirs pour moi étaient au summum et pourtant ils ne réagissaient pas.
Mais je croisai le regard d'un homme très beau qui était parmi ces hommes qui n'avaient pas l'air de vouloir réagir et dans ses yeux, je ne lisais aucune émotion pas de désir et son visage ne trahissait aucunement ce qu'il pensait.
Il était grand avec le teint pâle et très clair et il semblerait qu'il soit très musclé en voyant son torse.
Il avait une longue chevelure noir et des onyx noir perçant qui me firent frissonner tant son regard était intense.
Et il avait le visage et les traits fin.
Ces habits étaient richement décorés et vu comment il se tenait, j'étais persuadé que c'était un Prince, il dégageait de l'élégance et de la prestance et il sortait du lot par rapport aux autres qui me regardait en ce léchant les lèvres.
Quand il vit que je le regardais avec insistance, il me sourit et il cacha son visage comme-ci, il ne voulait pas attirer l'attention en étant discret.
Je rougis légèrement, car je ne m'attendais pas à voir un si bel homme parmi tous ces rustres, mais je revins vite à moi quand mon père se mit à rire fortement en retournant vers son trône.
Son rire détendit toute l'assistance et tous les hommes se mirent à rire aussi et il dit en enlevant sa cape en même temps : Tu me déçois, mon cœur !!!
Malgré ton intellect, tu devrais savoir qu'aucun homme ne mettrais en jeu ses échanges commerciaux et ces alliances pour une partie de jambe en l'air et ce même si la femme est belle et pur comme toi.
Mais j'avoue que c'était bien penser, tu voulais diviser pour mieux régner, c'est cela ?!
Tu as dû lire cela dans des manuscrits, mais tout n'est pas écrit ma chérie, mieux vaut l'expérience et je pense que tu aurais dû plutôt apprendre à satisfaire ton futur époux au lieu de t'encombrer la tête de toutes ces connaissances qui ne te serviront jamais.
Et il se mit à rire de nouveau et toute l'assistance aussi...
- Et oui, je sais tout, je savais parfaitement que ta mère m'avait menti parce qu'elle aussi est très intelligente, alors j'ai toujours jeté un œil sur toi, je sais tout ce que tu as fait et appris et je sais que tu me détestes et je sais que tu es très forte, enfin pour une femme ce reprit-il, la seule chose que je ne savais pas, c'est si tu étais guéri enfin disons plutôt quand tu redeviendrais normal.
J'ai donc permis que tu évolues et que tu grandisses à l'abri de tout et je suis fier de toi, fier de ton évolution et je pense que tu feras la joie de ton futur époux qui est dans cette assistance...
C'est dommage que tu ne sois pas né homme, tu m'aurais rendu très fier...
- Je vous déteste, oui !!!
Et vous n'imaginez pas à quel point...
- Tu me détestes, je sais bien !
Mais sache que ce courage, cette haine, cette noirceur que tu a au fond de toi proviens de moi, en fait tu es comme moi, ma fille !!!!
Tu es très fier et tu peux comme moi, tuer sans avoir de remords.
- Non !!! Hurlais-Je.
Ne m'insultez pas, je ne suis pas comme vous, un lâche, une pourriture qui s'en prend au plus faible, alors que vous auriez pu être un seigneur aimant et respecter.
- Ça suffit !!!
J'en ai assez entendu ! Me dit-il en me hurlant dessus.
- Tu à de la chance que tu sois aussi belle, sinon je t'aurais déjà corrigée pour l'affront que tu viens de me faire en m'insultant.
Mais, je ne veux pas prendre le risque de t'abîmer ton si beau visage.
Alors, je regardai ma mère pour la première fois qui était toujours bâillonnée et attachée et elle pleurait et mon frère Naruto lui, se débattait pour se libérer de la prise des deux Samouraïs qui le retenait et il reçut un coup de poing dans le ventre et au autre dans la tête et il s'évanouit...
J'ouvris les yeux en hurlant et je lançai un de mes deux sabre instantanément dans la tête de celui qui avait osé toucher mon frère adoré.
Toute l'assistance fut choquée et il ne pensait pas que j'étais aussi rapide ni que je visais aussi bien, car même pour un homme ce fut un exploit d'être aussi loin et d'atteindre la cible, ils regardèrent l'homme s'effondrer au sol dans un grand silence.
Et même mon père qui ne s'attendait pas à cela regarda avec stupeur la scène et pendant un instant, je crus voir dans ces yeux de la peur, oui l'espace d'une secondes, il eut peur de moi.
J'étais fier de moi, je le regardais en le fixant pour lui montrer ma suprématie.
Alors il se leva et il se dirigea vers l'homme qui gisait au sol et il prit mon sabre qui était toujours planté dans la tête de l'homme et il le récupéra et revint vers moi en me disant : Très bien, tu mérites une bonne leçon, je vais te montrer qu'une femme n'aura jamais le dessus sur un homme, même si je te l'accorde, tu es très douée !!!
J'avalai ma salive nerveusement en regardant la montagne de muscle qu'est mon père s'approcher de moi et je savais parfaitement que je n'aurais pas le dessus, mais je me souvins que je n'avais pas besoin de le tuer par moi-même, il suffirait juste que je le blesse et que je l'empoisonne et ainsi le poison ferait le reste.
Et en le fatiguant, le poison s'insinuerait plus rapidement dans tout son corps.
Je me fichais de gagner aussi déloyalement, mais je savais que je n'aurais pas le choix, car un corps a corps avec un homme aussi imposant serait dans le domaine de l'impossible à part si j'avais des pouvoirs ou une force extraordinaire ou si j'étais une Déesse et ce n'était pas le cas...
De plus, je devais faire très attention, car il avait mon sabre qui était aussi empoisonné et s'il me touchait, je n'aurais eu que deux minutes pour boire ma fiole d'anti-poisson qui était à mon cou.
Il vint devant moi avec un sourire en coin et il vint avec sa carrure imposante et ces yeux étaient effrayants, j'étais sûr qu'il voulait me donner une bonne leçon pour montrer à tous ces alliés sa suprématie surtout que depuis le début, je l'avais insulté sans ménagement et personne n'insultait un seigneur.
Et encore moins devant ses invités et encore moins quand on était une faible femme...
Et j'avoue qu'il c'était très bien retenue, car en temps normal, j'aurais déjà dû mourir pour avoir ne serait-ce que lui jeter un mauvais regard et pourtant, j'avais fait bien pire.
Je l'avais insulté, je lui avais dit que je le haïssais et j'avais même tentée une rébellion contre lui pour le renverser et pourtant il avait sourit comme si, il était content et fier que je lui ressemble à ce point.
J'en avais des hauts le cœur, l'homme que je détestais le plus était en fait ma copie conforme en version masculine.
Je me reprise en me concentrant et je pris une posture de combat, ce qui surpris tous les hommes, car à la vue de ma posture étant tous des guerriers, ils reconnurent l'art martial que je m'apprêtais à utiliser contre mon père.
Celui-ci sourit avec de la fierté dans ces yeux, il devait adorer mon attitude, car je lui démontrais encore une fois que j'étais comme lui.
Mais, malheureusement une femme pour moi ne pouvait pas compter que sur ces charmes et pour qu'elle survive dans ce monde d'homme, elle devait se faire respecter.
- Très bien !!!
Je vois que tu à hâte de recevoir ta leçon !!!
Et je serais généreux, on sait parfaitement tous les deux que tu ne gagneras pas, bien sûr je ne vais pas te blesser, car je ne veux pas risquer de t'abîmer, mais si tu me touches une fois, je te promets d'épargner ta mère et tes frères et d'oublier leurs petits mensonges et je t'accorderais un souhait...
Alors soit rassurer et montre-moi ce que tu vaux, ma fille !!!
- Ne vous inquiétez pas pour moi père !!! Lui dis-je en fronçant les sourcils...
Car ce soir, je danserais sur votre corps sans vie et ma mère et mon frère adoré ne craindront plus rien...
Mais je vous promets que je verserais des larmes pour vous, mais des larmes de joie...
Cette dernière parole, l'irrita au plus au poing et il m'attaqua rudement, mais j'esquivai tous ces coups puissants.
Les hommes se poussèrent et se mirent à frapper contre leur torse doucement pour accentuer le combat et surtout pour encourager mon père ou moi, mais cela m'étonnerait car aucun d'entre-eux n'aurait encouragé une femme...
J'évitais toujours ces coups en étant rapide et je passais en dessous de lui, car j'étais fine et lui grand et imposant et je me servais de mes atouts, c'est à dire ma rapidité et ma vitesse.
Il fut surpris et commença à rire fortement ce disant sans doute qu'il n'avait jamais pris autant plaisir dans un combat.
Il me donna un coup de sabre que je parai avec le mien, mais étant plus fort que moi je ne pus résister longtemps alors je le fis tomber par terre en lui assénant un grand coup de pied dans la jambe et ça le déstabilisa un court instant et je pus me libérer de son étreinte rapidement, mais il attrapa ma longue natte qui c'était détacher, bien que je l'avais attaché fortement.
Ce qui prouvait que le combat était rude et intense.
Je m'insultais au fond de moi de ne pas avoir coupée mes cheveux avant ce combat.
Mais j'adorais mes cheveux et pour moi c'était ce qui faisait de moi, celle que je suis.
Alors je dirigeai le sabre avec des larmes dans les yeux pour me couper ma longue tresse pour me libérer.
Mais mon père anticipa mon geste et attrapa mon sabre avec sa main en me disant : Non, non ma chérie ne coupe pas tes si beaux cheveux, ce serait dommage, car comment ton mari te retiendra, quand il te fera l'amour ?!
Ce qui fit rire toute l'assistance !!!!
Je me retournai en colère quand je vis qu'en retenant mon sabre, il c'était entailler la main, alors je souris satisfaite de moi, car grâce à mes cheveux j'avais atteins mon but, le blesser...
Pendant qu'il s'essuyait la main, je profitai pour attacher ma longue natte rapidement pour qu'il n'ait plus de prise sur moi.
Et là, je savais que c'était une question de temps avant que le poison n'agisse, mais en combien de temps il agirait, je ne pouvais le dire, car aux vues de la corpulence de mon père sans compter qu'il restait très peu de poison sur ma lame, cela allait prendre plus de temps qu'il ne fallait.
Alors il fallait que je le fatigue en le faisant courir partout en gardant mes distances avec lui pour que le poison investisse tout son corps.
Donc je commençai à l'attaquer de toute part et je sautais partout en utilisant tous les objets autour de moi pour éviter qu'il ne m'attrape.
J'entendais les hommes stupéfaits qui me regardait tous impressionné par ma dextérité, car certain d'entre-eux ne savait même pas faire de tel parade, sauf que moi je pratiquais tout cela depuis l'âge de mes dix ans et grâce à ma mère j'avais eu les meilleurs précepteurs et maître en art martiaux.
Je faisais ainsi des salto-arrière prenant appui sur le mur et en passant au-dessus de lui, je frappai de toute mes forces en visant sa tête, mais il esquiva mon coup qui aurait pu lui être fatale et il l'attrapa mon bras et je chutai lourdement à terre.
Je n'eus pas le temps de me reprendre qu'il était déjà sur moi, il me tint par le cou et me souleva devant tous les hommes comme un trophée et toute l'assistance se mit a applaudir haut et fort.
Je savais que le combat était fini et je retenais avec mes deux mains sa main qui me serrais le cou.
Je le voyais regarder tous les hommes et son sourire me dégoûtait, car comment pouvait-on être fier de battre sa fille devant une assistance et puis quelle gloire pouvait-on retirer à battre quelqu'un de plus faible que soit, même si je mettais bien battu.
Alors je savais ce qui me restait à faire c'était ma dernière chance de le tuer, mais si j'échouais je savais parfaitement ce qu'il en résulterait, il risquerait de me tuer, mais je préférais mourir maintenant car l'homme qui m'aurait eu parmi l'assistance avait déjà vu tout mon potentiel, cela voudrait dire qu'il m'attacherait ou pire, il me ferait subir les pires sévices et il n'aurait jamais confiance en moi, sachant combien j'étais dangereuse...
Et pas question que je vive de nouveau enfermé et enchaîné, non je préférais partir en mourant libre.
Mon dernier souhait aurait été de rencontrer l'homme de ma vie et de me donner à lui, je ne connaîtrais jamais le vrai, le grand amour ni les sensations d'appartenir à un homme qui me ferait l'amour tendrement.
En pensant à cela, une larme vint glisser sur mon visage et je me repris en agitant mon pied ce qui fit sortir une petite lame de ma botte et je donnai un coup de pied à mon père en visant son visage.
Celui-ci fut surpris et il me lâcha brusquement en détournant le visage au dernier moment.
Et encore une fois, je tombai lourdement à terre sur les fesses et mon corps était épuisé, fatigué, je ne pouvais même pas me lever tant j'avais mal partout, je réussis à me mettre accroupi pour parer ces coups et je le regardais qui tenait sa joue et du sang lui coulait dans la main.
Tous les hommes ouvrirent leur bouche à nouveau et encore une fois il ne s'attendait pas du tout à cela.
Mon père me regarda furieux et il me fusilla du regard et je savais qu'il ne pourrait se contenir, j'avais osée abîmer son si beau visage et grâce à moi, il serait marqué à vie et même s'il me tuait aujourd'hui, j'avais la satisfaction de savoir que cette cicatrice lui avait été faite par moi.
Alors je lui souris pour lui montrer que j'étais fier de moi et de ce que j'avais fait, mais malheureusement je n'avais pas empoisonné cette lame à mon pied donc je savais que cette blessure ne lui serait pas mortelle.
Au pire, c'est sa fierté d'homme qui en prendrait un coup.
Je le vis alors ramasser mon sabre et venir devant moi avec de la rage et je savais parfaitement qu'il allait me tuer pour l'avoir défiguré ainsi...
Mais surtout devant d'autres hommes et je savais aussi que je n'aurais rien pu faire, car mes jambes ne me tenaient plus.
Alors je regardai ma mère pour la dernière fois et je lui adressai un sourire comme pour lui faire mes adieux.
Ces yeux étaient rouges, tant elle pleurait et dans son regard je perçus de l'amour et elle devait non seulement me dire qu'elle m'aimait, mais aussi que j'étais une petite idiote d'avoir cru qu'une femme pourrait battre un homme.
Pendant notre regard, mon père était déjà devant moi grand et imposant et il s'apprêtait à me donner le coup de grâce.
Alors je relevai la tête fièrement ne regrettant aucunement mes actes et pour bien lui montrer que je n'avais pas peur de lui et même à la fin.
Quand soudain un homme vint devant moi et dit : Très beau combat, mon seigneur !!!
Ce qui eut pour effet de calmer mon père, car il baissa son sabre et dit à l'homme : C'est-à-dire ?
L'inconnu alors continua de parler, mais je ne voyais pas son visage, car il était devant moi, mais je regardais ces vêtements et il me semblait que c'était l'homme qui avait le regard envoûtant et qui m'avait adressé un sourire et j'avais rougi, car il était très beau.
Mais je fus vite déçu, quand j'entendis ces mots quand mon père lui demanda ce qu'il comptait me faire.
Et je l'entendis dire : Vous avez une fille extraordinaire et ce serait du gâchis de la tuer, non elle mérite un châtiment plus subtil qu'un coup de sabre !
Une tel beauté ne doit pas finir ainsi et si j'ai la chance d'être choisi par vous, pour l'épouser, je la punirais autrement et croyez-moi, elle regrettera son geste amèrement et elle me suppliera elle-même de la tuer.
Et il tourna légèrement la tête vers moi et me fit un petit sourire en coin.
Mon père rangea mon sabre et se mit à rire fortement et tous les autres hommes se détendirent en entendant son rire.
Il rangea l'arme et demanda à un serviteur de lui apporter de l'eau pour son visage.
Et il dit : Très bien, très bien je vous aime déjà jeune homme, présentez-vous et surtout dites-moi, ce que vous compter lui faire si jamais c'est vous que je choisis !
Il se baissa respectueusement devant mon père et dit : Je me prénomme Sasuke et je suis le général en chef de l'armé de mon père et malgré mon jeune âge, je suis impitoyable et je me cherche des femmes dignes de mon rang qui saurait assouvir mes bas-instinct, mais pour l'instant aucune ne me fait de l'effet et je dois dire que votre fille a réveillé en moi un désir comme jamais aucune ne l'avait fait avant elle.
Et en disant cette phrase, il m'attrapa sèchement le bras m'obligeant ainsi à me lever et il se mit derrière moi et il me lécha le cou sauvagement devant mon père qui fit un sourire en coin, car il appréciait ce spectacle.
Je fus estomaqué de voir qu'un si bel homme pouvait autant ressembler à mon père, pourtant quand nos regards ce sont croisé, j'avais cru apercevoir en lui un homme bien, mais en fait il était comme tous les autres, un ignoble pervers qui ne souhaitait qu'une chose me soumettre et assouvir son appétence.
Il me dégoûtait au plus au point et j'espérais au fond de moi que ça ne soit pas lui qui devint mon époux même si, il était le seul homme ayant autant de charme dans la pièce, car tous les autres étaient soit laid ou sans plus ou gros et difformes.
Mais au moins avec eux, je savais que j'aurais pu avoir le dessus, car ils n'avaient pas l'air d'être aussi intelligent que ce Sasuke.
Avec lui, il serait difficile d'avoir le dessus, car il semblerait que cet homme soit doté d'une logique implacable et en plus, il semblerait qu'il soit très fort comme Naruto mon frère et je n'aurais pas le dessus.
Je repris mes esprits quand il descendit la main pour me toucher les seins, je rougis et je me mis à me débattre, mais c'était peine perdu, car comme je le pensais il était plus fort que moi.
Mon père se mit à rire et dit : Je vois bien que tu à l'habitude de mater des petites donzelles et je te félicite, tu la soumets déjà !!!
Et il rigola de plus en plus et les autres hommes aussi.
Sasuke lui continuait à me lécher le cou avidement et il mordait la peau de mon cou sans me faire mal et il attrapa le pendentif que j'avais dans mon cou en me murmurant à l'oreille en même temps de façon à ce que je soit la seule à entendre : Arrête de faire semblant de te débattre, je sais parfaitement que tu aimes cela, vous aimer toutes ce genre de caresse et je sais que tu à été troublé tout à l'heure quand on c'est regarder !!!
Et avant que je ne lui réponde, il arracha de mon cou mon pendentif qui était en fait l'anti-poison et me lâcha et je tombai de nouveau par terre.
Je le vis s'approcher de mon père et il dit en ce baissant respectueusement de nouveau : Mon seigneur, vous savez qui je suis, n'est-ce pas ?
Et vous connaissez mon père, d'ailleurs vous furent ennemie très longtemps et je suis venu avec son accord pour vous faire une proposition alléchante, j'aimerais avoir la main de votre fille pour conclure un traité de paix avec vous, car je dois me prendre une épouse qui me donnera une descendance digne de ce nom et je pense que votre fille sera parfaite pour cela.
Et si vous m'accorder sa main, sachez que mon père vous donnera toutes les terres qu'il vous a jadis pris ainsi que des milliers de soldats.
Je blêmis en entendant cela, cet homme ce Sasuke voulait faire de moi sa chose et en plus la mère de ces enfants, non mais pour qui, il se prenait ?
J'ouvris la bouche pour l'insulter quand j'entendis des hommes s'avancer devant le seigneur en disant :
- Non mon seigneur accordez-moi la main de votre fille et je vous donnerais tout ce que vous souhaitez...
Sa y est, les enchères avaient commencés et tous me voulaient...
Mon père leur fit un signe de se calmer et tous se turent et il fit un signe à ces Samouraïs pour leur dire de me récupérer, car je n'arrivais toujours pas à me lever.
Ils m'attrapèrent chacun le bras et ils m'amenèrent devant le seigneur, je ne fis rien, car c'était peine perdu de toute façon.
J'étais à ses pieds et je baissai les yeux en serrant mes poings au sol, car je savais qu'il allait m'humilier.
Alors il me dit : Je suis un homme de parole, je t'avais promis un souhait si tu me touchais et tu as réussi en me blessant deux fois donc je t'en accorde deux...
Alors, je t'écoute, réfléchit bien et bien-sur, si tu me dis de te tuer ou de me tuer moi-même, il est évident que je n'en ferais rien et surtout tes souhaits seront annulés.
Je le regardai alors en ouvrant les yeux ne pensant pas qu'il tiendrait parole.
Alors je réfléchis rapidement et bien-sur, j'aurais voulu lui dire de se tuer ou de me tuer, mais il avait déjà anticipé les demandes.
Alors je pensais aux êtres que j'aimais, ma mère et mes frères et surtout Naruto qui commençait à reprendre connaissance petit à petit et je dis :
- Premier souhait, je veux que vous laissiez mes frères et ma mère en vie en les pardonnant et pas de représailles contre leur belle-famille et que mes 6 frères ne soit pas déshérité par vous.
- Hum... Cela fait plusieurs demandes en une seule, mais je te l'accorde en plus ce sont mes fils et même si ceux-ci m'ont déçu, je les aimeraient toujours.
Et donc ton second choix ? Me demanda-t-il en souriant.
C'était un vrai dilemme, je lui aurais demandée de me laisser partir et de ne pas me vendre, mais je savais qu'il n'aurait pas accepté et je regardais tous les hommes autour qui me regardait avec envie et notamment Sasuke qui me fit un sourire comme-ci, j'étais déjà sa chose...
J'ouvris la bouche en détournant le regard pour dire à mon père de ne surtout pas me donner à ce Sasuke quand je me rappelai soudainement de ma mère...
Sûr et certain que mon père lui en ferait baver de lui avoir menti et de lui avoir caché la vérité à mon sujet, je devais me sacrifier pour elle, comme elle avait fait pour moi alors je regardai mon père et lui dit : Je veux que ma mère soit libre et que celle-ci aille vivre avec Naruto son fils chez sa belle-famille et je veux que vous l'oubliiez à jamais et qu'elle parte avec toutes ces richesses et servante, car elle a tout gagner en vous donnant vos 6 fils, mes frères...
Quand je dis cette phrase, une larme coula de mon œil, car je savais que je venais de lui sauver la vie et plus jamais je ne la reverrais, ma tendre et courageuse maman.
Mon père qui ne s'attendait pas à sa, se leva furieux et il voulut me frapper le visage, mais il se retint pour ne pas m'abîmer le visage et il me dit : Comment oses-tu me demander cela ?
Et pour la première fois, je vis de la peine dans ces yeux et il semblerait que je ne sois pas là seule femme dans sa vie qu'il respectait, je n'aurais jamais pensée que mon père pouvait aimer ma mère.
Ma mère elle, j'en étais persuadée ne l'avait jamais aimée et elle supportais cet homme ne pouvant faire autrement.
Alors je levai la tête et lui dit : Vous n'avez qu'une parole, alors respectez-la !!!
Il se rassît sur son trône, le regard perdu et dit : Oui je sais, mais amenez-la-moi, je veux qu'elle me dise si elle le veut ou pas !!!
Ils ramenèrent ma mère devant lui et il la mit à mes côtés.
On lui enleva ce qu'elle avait sur la bouche pour qu'elle réponde.
Mon père alors lui demanda : Alors tu as entendu le souhait de ta fille ?
Qu'as-tu à répondre ?
Ma mère me regarda et elle pleurait, car elle savait que par mon choix de la libérer elle, je me condamnais moi même.
Et elle dit : J'accepte le choix de notre fille et je pars avec mon fils et mes biens et mes servantes.
Mon père était décontenancé et il tenta de cacher sa tristesse en détournant la tête et dit : Je te l'accorde, tu peux prendre tes affaires et partir avec Naruto et je ne veux plus jamais te revoir devant moi sous peine que je te tue, sauf mes fils.
Ma mère me serra fort et elle pleurait dans mes bras et me dit : Merci mon cœur, merci pour tout et n'oublie pas tout ce que je t'ai appris et s'il te plaît reste en vie, je t'en supplie, je voulais tellement te protéger de ce destin cruel...
Je la rassurai en avalant mes larmes et lui dit : Que tout irait bien...
Elle se leva et se baissa respectueusement devant mon père qui avait les yeux brillants et j'étais sûr qu'il l'aimait et qu'il devait souffrir devant l'indifférence de ma mère a son égard.
Et cela malgré le fait qu'il possédait des centaines de concubines, il ne désirait qu'elle...
Et je venais de lui arracher son amour...
Enfin de compte cet homme avait longtemps souffert que ma mère ne l'aime pas, c'est pour cela qui la respectait autant.
Elle s'en alla et aida Naruto à ce lever et ils sortirent tous les deux, mon pauvre frère ne savait même pas où il était, mais j'étais contente de le voir en vie sain et sauf et j'étais fier de moi, fier de me sacrifier pour les sauver.
Mon père me regarda et me dit : Tu aurais pu garder ce second choix et choisir ton futur époux toi même et je l'aurais accepté !
Non, tu as préféré laisser ce choix pour sauver ta mère !
- Oui, car elle est plus importante pour moi que ma petite personne !! Lui répondis-je sèchement.
Il se mit à rire de nouveau et il me dit : Bon avant que l'on t'emmène pour enlever cet accoutrement ridicule et te mettre belle, dit moi plutôt quel homme devant toi, tu aurais choisi pour devenir ton époux, car vois-tu, il y a beaucoup de choix et ils me proposent tous des choses qui m'intéresse.
Je le regardai en ouvrant les yeux, car ça ne lui ressemblait pas d'être aussi généreux, alors je regardais tous les hommes devant moi et j'essayais de déterminer les plus faibles parmi eux, ceux sur qui j'aurais pu avoir une influence et surtout les plus maigre physiquement...
Dans mes calculs, je pris en compte le physique, il fallait qu'il soit fin et maigre et de petite taille ainsi j'aurais pu me débarrasser d'eux facilement et il fallait aussi qu'ils ne soit pas trop riche, car ça voudrait dire qu'ils avaient plein de soldats qui pourraient les protéger m'empêchant de les tuer.
Alors je me levai, car j'avais repris des forces et sur la centaine d'hommes qui était devant moi, j'en choisis plus de la moitié qui avait l'air d'être des pauvres type ne sachant même pas se battre et qui correspondait au descriptif que je m'étais faite dans ma tête.
C'est à dire petit, maigre et sans muscle et sans personnalité et pas très riche aux vues de leur accoutrement.
Je les avais tous choisi en disant : Toi !
En les pointant du doigt.
Bien-sur, quand je passais auprès des hommes, j'entendais ceux-ci me murmurer des insanités toute aussi répugnante les une que les autres...
Sasuke lui me fit un autre sourire, mais ne dit rien et surtout, il avait mis à son cou mon pendentif, je fronçai les sourcils en voyant cela, décidément cet homme m'horripilait au plus au poing, on aurait dit mon père, mais en plus beau et plus charmeur...
Et quand, je suis passé à côté de lui, je ne l'ai pas choisit, car pour moi c'était le plus dangereux de tous.
Quand je fis tout le tour de tout les hommes, d'ailleurs on aurait dit que j'étais au marché cherchant de beau fruit.
- Je dis à mon père, j'ai choisi !!!
Il sourit et dit : Très bien, les hommes que ma fille a choisi mettez vous tous à ma gauche.
Et j'avais sélectionné plus de la moitié...
Mon père se leva en les inspectant silencieusement et il sourit en me regardant et dit : Eh bien, Messieurs vous avez de la chance !
Ceux qui avaient été choisis était heureux et souriaient.
Mon père revint vers moi et me demanda alors avec qui je ne voulais vraiment pas être.
Ma réponse fut très rapide et je lui indiquai : Sasuke en premier et 9 autres Hommes qui était tous bien battit et bien fait, mais dans leur regard, j'avais noté du désir et surtout qu'ils étaient sans pitié, surtout un autre homme qui avait un regard intense qui me fit frissonner de peur.
A première vue, cet homme devait être très violent avec ces maîtresses, comme Sasuke d'ailleurs...
J'en étais persuadé !!!
Mon père alla les inspecter et dit en souriant : Tu es vraiment très intelligente, ma fille !!!
Car à première vue, tu na choisi que des hommes de petite taille et je suis sûr que tu as déjà un plan en tête pour les tuer.
Les hommes que j'avais choisis rirent jaune, cette fois-ci.
- Et là, tu rejettes des hommes très beaux et très musclé plus grand que toi parce que tu sais très bien que tu ne pourras rien faire contre-eux !!!
Et il s'approcha de Sasuke un sourire en coin et celui-ci me regarda aussi avec un petit sourire.
Je commençais à blêmir, car j'étais rentré dans son piège, il c'était servi de moi pour pouvoir sélectionner les hommes et maintenant que j'avais fait le travail à sa place, sûr qu'il choisirait un homme que je déteste.
- Bon, ma décision est prise !!
Je choisis ces 10 hommes pour l'instant en tant que futur époux potentiel et pour les départager, j'organise des jeux de combat où ils se battront pour ta main et tous les autres vous pouvez soit rentrer chez vous ou rester pour les festivités, car ce soir vous verrez ma fille encore plus belle.
- Nonnnnn !!!! Hurlais-je...
En entendant son choix, car les 10 qu'il avait choisi était les pires choix pour moi, surtout Sasuke et l'autre homme qui me regardait avec envie.
Mon père et les 10 hommes se mirent à rire devant ma réaction et mon père demanda a deux de ces gardes de me ramener dans mes appartements ou des servantes m'attendait pour me préparer pour le soir ou je serais exhibé comme une chose.
Je me débâtis fortement quand les gardes m'attrapèrent sauvagement, mon père alors hurla en leur disant de faire attention et que j'étais très précieuse et de ne surtout pas me frapper.
Du coup, ils desserrèrent leur prise et je profitai alors pour leur asséner un coup violent et je me mis à fuir vers la porte sauf que je tombai sur quelque chose de dur, c'était le torse musclé de Sasuke et je pus respirer sa fragrance masculine et viril...
Je levai la tête et je le vis devant moi, imposant et majestueux m'empêchant de m'enfuir et je me dis qu'en plus d'être fort, il était encore plus rapide que moi.
Alors, je fronçai les sourcils lui montrant que je n'avais aucunement peur de lui et je lui balançai un coup de poing qu'il attrapa sans difficulté bien que j'y avais mis toute ma force et il me tira vers lui en me susurrant à l'oreille avec une voix grave et sensuel : Ne sois pas trop presser, ma Princesse rose, on fera connaissance plus tard !!!
Et avant que je ne réponde, il me donna un coup sec à la nuque et je tombai dans les bras de Morphée immédiatement.
Je me sentis soulever par un Samouraï et il m'emmenait vraisemblablement dans mes appartements.
Avant de sortir de la salle, j'entendis tout de même mon père féliciter Sasuke pour son savoir faire pour m'avoir maté et il lui dit : Qu'il était son choix numéro 1...
Je blêmis en entendant cela...
Et il lui dit : Je pense que je suis le gendre idéal pour vous surtout que je vais vous sauver la vie !
- Quoi ? Répondit mon père, surpris par les allégations du jeune homme.
Il lui dit : Tenez prenez cet antidote qu'elle avait à son cou, car son sabre était empoisonné...
Toute la salle fut estomaquée et j'entendis mon père boire rapidement la fiole !
Je pleurais de rage, car cet homme avait réussi à comprendre mon plan et il venait de sauver mon père.
Mais comment avait-il pu deviner ?
Il expliqua à mon père comment il l'avait deviné, mais étant trop loin je n'entendis rien, mais je sus que cet homme très beau était en plus très intelligent et très fort.
Mais surtout, il se fichait bien des sentiments des femmes...
Je perdis alors connaissance totalement en ayant une grande peur au fond de moi, me disant que j'étais perdu...
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