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Ses yeux rouges me fixait et ses dents pointus était prête à me broyer. Mon cœur s'accélérait de plus en plus alors que je tentait de reculer, tandis qu'il s'approchait avec une lenteur de prédateur. Ce qu'il était sûrement. Il ne grognait pas, non, il riait. D'un rire de fou furieux qui m'à fais frissonner.

Le cœur battant comme jamais, j'ouvrais les yeux, en sueur et haletante.Ça n'était qu'un mauvais rêve, un rêve parmis d'autres. Ma chambre était plongée dans le noir complet et dans un silence peu rassurant, je n'entendais que ma respiration, la lumière du soleil commençait doucement à s'infiltrer à travers la fenêtre. Près de moi, je sentait une chaleur douce et rassurante. Théo dormait paisiblement, une main possesivement poser sur mon sein. Me gigotant dans tout les sens, je me tournai pour me blottir dans ses bras. Il grogna un peu, avant de me faciliter la tâche en ouvrant les bras pour me serrer fermement contre lui. Sa chaleur était rassurante; apaisante, c'était mon petit cocon douillet à moi dans le quel je me sentait plus que jamais en sécurité. La tête contre son torse, je respirai son parfum à n'en plus pouvoir en fermant les paupières pour essayer de me rendormir. Théo et moi ne nous étions pas séparé une seul nuit. Je le voulais près de moi, et il me voulait près de lui, et rien ne pouvais être mieux.

Des petits baisers me survolait le bassin, comme des petits papillons qui m'aurai effleurer, un chatouillement c'est ressentit dans mon bas ventre et j'ai sourie sans même ouvrir les yeux. Les baisers on continuer, toujours aussi tendre et doux, ils ce promenaient sur chaque parcelle de ma peau jusqu'à remonter vers mes clavicules. Sauf qu'à cette endroit précis, le baiser donner c'est fait plus humide et bientôt, Théo faisait glisser sa langue sur mon cou. J'ai frissonner, mais je ne voulais toujours pas ouvrir les yeux. Conscient que je ne dormais pas vraiment, Théo a pouffé et m'a pincer la cuisse doucement, me faisant sursauter et ouvrir les yeux.

«– Bonjour mon ange. A-t-il susurré d'une voix rauque tandis que son corps ce collait au mien.

J'aimais beaucoup me réveiller près de lui, il était très doux, et j'adorais sa voix rendu rauque par son sommeille. Et encore mieux, j'adorais ses cheveux , ils étaient en pagailles comme si on avait passer une nuit follement agiter et ça lui donnait un coter sexy à en mourir. J'ai passer une main dans ses cheveux , tandis qu'il m'embrassait le cou avidement,  tenant fermement mes hanches contre lui. Je sentait son poid sur moi et toute la chaleur de son corp ce mélangeait avec le mien, son désir était palpable. J'ai gémis en fermant les yeux, et je l'ai sentit sourire contre ma peau, mais je n'allais pas le laisser faire. Mon désir aussi ce réveillait au contact de ses lèvres experte, mais je n'était pas décider à le laisser faire tout de suite. Il était trop tôt pour nous mettre à faire les fous, même si Théo ne partageait pas du tout cette pensée. Je l'ai gentillement repousser, et il a grogné en ce remettant à sa place, sur le dos. Il a passer une main frustré dans ses cheveux emmêlés et sur son visage, sa respiration semblait déjà haletante et on aurait dit qu'il avait chaud. Allonger sur le dos, le torse dénudé , ne portant qu'un simple boxer désormais trop étroit pour lui , ses yeux était fiévreux et ils ce promenaient sur mon corps comme s'ils me léchaient. Théo était sexy comme un diable.

J'avais envie de lui sauter dessus et d'embrasser chaque parcelle de sa peau en lui laissant de grosses marque après chaque passage, mais je me retenais en me mordant la lèvre, je l' ai entendu grogner à mon geste mais je n'y prêtait aucune attention. Finalement, je me suis redresser, enfilant mon épais peignoir par dessus mon corps , mon ventre grognait lui aussi, il avait faim. Je me suis tourner vers Théo, toujours allonger sur le lit, les yeux toujours étincelant d'un éclat sauvage.

– On va déjeuner ? J'ai proposer d'une voix douce, il a fais un "non" de la tête. Tu n'a pas faim ?

Il s'est redresser, ses yeux plonger dans les miens comme s'il pouvait voir ce qui ce cachait à l'intérieur de moi, comme s'il pouvait lire mon âme. Un sourire en coin s'est dessiner sur ses lèvres, tandis qu'il s'est approcher de moi d'une démarche assurée. La sculpture de son corps m'a rendue folle et le détailler des yeux n'arrangeait en rien le feu qui ce propageait dans mon corps. Il a poser une main sur ma hanche et m'à brusquement coller à lui, son souffle me chatouillait la nuque agréablement.

– J'ai faim de toi. Il a murmuré d'une voix chaude a mon oreille.

J'ai frissonner des orteils à la tête, mais je l'ai une nouvelle fois repousser. D'où me venait cette force d'esprit qui contrariait mon corps et mes envies ? Aucune idée. Théo a grogner en levant les yeux au ciel.

– Temps pis ! Ai-je dis en haussant les épaules, lui tournant le dos.

Mais ses bras on bientôt entourer ma taille, me maintenant fermement contre lui, il a poser son menton dans le creux de mon épaule. Je l'ai laisser faire, souriante en levant les yeux au ciel d'un aire désespérer. J'allais ouvrir la bouche, mais il m'a devancer.

– Qu'est-ce qui t'arrive Luna ?

J'entendais l'inquiétude percer sa voix. Il s'inquiétait pour moi ? Mais pourquoi cette soudaine inquiétude ? Je fronçais des sourcils sans vraiment comprendre, posant mes mains sur ses avant-bras autour de moi.

– Que veux-tu dire ?

– Je te sent ailleurs ses derniers temps. Et il y a tout ses cauchemars.. A-t-il soufflé. Je t'entend gémir dans ton sommeille, tu gesticule, tu te débat , parfois tu crie et j'ai l'impression de ne rien pouvoir faire pour que tu aille mieux.

Lentement, je me suis tourner vers Théo, prenant son visage entre mes mains. Oui, mon Théo avait l'aire inquiet pour moi et je n'aimais pas ça. Il n'avais pas à s'inquiéter pour si peu. Il fallait qu'il comprenne que mes rêves n'était rien, pour la plupart, je ne m'en souvenait pas.

– Ce ne sont que des cauchemars Théo. Ai-je dis en caressant sa barbe légère. Rien que des cauchemars, tu ne devrait pas t'inquiéter pour moi.

Du bout des lèvres, j'ai déposer un baiser sur le bout de son nez et lui ai une nouvelle fois tourner le dos, prête à partir. Mais il m'a retenue une nouvelle fois, m'attrapant le poignet fermement pour que je me tourne.

– Assied toi. A-t-il dis.

J'ai haussé les sourcils, surprise, il me l'avait demander comme un ordre et ça m'étonnait assez. Il prenait ce sujet bien au serieux, alors que moi, je n'en avait que faire. Après tout, quand j'avais rencontrer Théo , j'avais fais un tas de cauchemars sur lui , qui aurait pû être prémonitoire, et pourtant Théo ne m'avait jamais rien fait. C'était plutôt Adrian qui avait finalement agis un peu plus tard, mes cauchemars c'était donc tromper de personne. Aujourd'hui pourtant, mes cauchemars ne concernait qu'Adrian et son rire de fou. Sentant un frisson d'effroi me traverser, je me suis frotter les épaules tandis que je prenait place sur le lit et que Théo enfilait un pantalon.

– Parle moi Luna. A-t-il dis une fois habiller et face à moi. Parle moi de t'es cauchemars, il y a forcément quelque chose qui te préoccupe ?

– Je ne sais pas Théo. Ai-je soupirer. La plupart de mes cauchemars concernent Adrian. Il a grogné à l'entente de ce nom. Mais c'est loin maintenant, il est mort ça ne devrait pas t'inquiéter autant.

Il s'est accroupis face à moi, prenant mes mains dans les siennes pour les serrer. Il a plonger son regard azur dans le mien, et je m'y suis noyer lentement, hypnotiser.

– Il ne nous arrivera plus rien, tu le sait ça ? Il m'a demander, embrassant mes mains d'un geste doux. Je serait toujours là pour veiller sur vous Luna, toujours. Je suis liée à toi, à jamais. Mais ça me perturbe de ne rien pouvoir faire alors que j'ai l'impression que tu souffre chaque nuit.

– Écoute. J'ai dis en me penchant vers lui. Je vais essayer de régler ce problème de terreur nocturne, promis. En attendant, contente toi de me rendre heureuse et ce sera pas mal.

Il a grimacer, mécontent de ma réponse.

– Et pour me rendre heureuse. Ai-je ajouté. Tu dois me laisser manger.

Un sourire s'est dessiner sur ses lèvres et il s'est redresser.

– Tu n'est qu'un estomac sur pattes ! A-t-il dis en déposant un baiser sur mon front avant de ce lever.

– Je sais !

Je me suis redresser, toute contente alors que Théo me regardait d'un œil moqueur , je suis sortit de la chambre. M'aventurant dans les couloirs, une délicieuse odeur me montait déjà aux narines et faisait rugir mon estomac. Mais je me suis arrêtée devant l'ancienne chambre de Théo. La petite porte en bois avait été re-décoré, dorénavant de jolies lettres de couleurs pastel formait le prénom ; Charlie. Autour de celui ci, de petites étoiles avait été accrochée aussi. J'ai doucement fais tourner la poignet de la porte pour l'ouvrir et entrer à l'intérieur. Ici aussi, tout avait été refais. Les murs étaient d'une jolie couleur crème, et j'adorais la couleur violet pastel des rideaux. Le plus délicatement que possible, je m'approchais du lit de bois blanc. Alors que je n'avais fais absolument aucun bruit, je fût surprise de voir l'extrémité d'une tête blonde montrer le bout de son nez.

– Bon'your ! Bon'your ! Bon'your ! S'est alors mis à répéter la petite voix aiguë et enthousiaste de ma fille qui sautillait sur place de me voir.

Le sourire au lèvres, je m'approchai pour la prendre dans mes bras , et elle s'est hâter de me donner un baiser qui claque sur la joue en m'enlacant le cou de ses petits bras. J'ai renifler son doux parfum de bébé tandis que je caressais ses cheveux blonds emmêler. Elle s'est en suite un peu écarter pour caresser mes joues, comme si elle me découvrait pour la première fois. J'avais l'habitude, c'était son petit rituel depuis qu'on avait réussis à la convaincre de dormir dans son propre lit. Je la regardait, attendris,  tandis qu'elle affichait un air concentrer, ses yeux bleus me regardait avec grande attention et j'avais envie de mordiller ses petites joues rebondies toutes rose et toute mignonne. Elle était si adorable , et si douce, un vrais rayon de soleil et de bonheur cette petite. Tout ce qui faisait ma plus grande fierté réuni en un petit être. Soudain, elle s'est arrêtée brusquement, les yeux brillant d'étoiles, elle a sourie et j'ai compris que cela ne signifiait qu'une chose. Elle a ouvert en grand ses bras avant de battre des jambes.

– Papa ! A-t-elle crié.

En me tournant, j'ai remarquer que Théo ce tenais là,  dans l'encadrement de la porte , à nous observer silencieusement. Un doux sourire c'est dessiner sur ses belles lèvres et il s'est approcher. C'était fichus, dorénavant je savait que Charlie n'avait d'yeux que pour lui.

– Viens là petite merveille. A-t-il dis en me l'arrachant des bras, j'ai grimacé d'un air outré. Montre à maman qui tu préfère !

Il m'a lancé un regard taquin, tandis que Charlie s'accrochait à son cou.

– Tu retourne avec elle ? Il a demander en me montrant d'un signe de la tête.

Charlie m'a regarder quelques instants, hésitante, réfléchis, puis elle c'est tourner vers Théo en secouant vivement la tête des deux coter , il a pouffer doucement.

– Je te l'avais bien dis. A-t-il dis en haussant les épaules. C'est ma fille ! »

Et il y croyait sérieusement, comme si elle allait le préférer à moi. C'était tout de même moi qui l'avait porter et mis au monde , pas lui. Il n'empêche que Charlie était très accroché à son père. Comme elle l'avait fais avec moi, Charlie s'est mis à lui caresser le visage, comme si elle le découvrait pour la toute première fois. Puis elle s'est mis à entamer une conversation, dans un langage qui était connue par elle seule. Théo ce contentait d'hocher la tête et de lui poser quelques questions enfantil, lui donnant parfois quelques bisous partout qui l'a faisait rire aux éclats. Nous sommes descendus tout les trois dans la cuisine, ou Nona préparait le petit déjeuner.

Aussi étonnant que cela puisse être, ou pas, Nona n'avait jamais voulu ce séparer de nous. Son seul désire était que nous restions vivre ici, sous son toit. Nous avions pourtant essayer de la convaincre qu'ils nous fallait notre chez nous, notre intimité, mais quand elle a su que Charlie allait arriver, alors elle a insisté. Je ne m'en plaigniait pas, c'était plutôt Théo qui désirait s'éloigner un peu.

En relevant la tête de mon bol de chocolat, j'observai distraitement Nona et Théo ce chamailler tandis que Charlie les regardait d'un aire hilare.

Après tout, on était pas bien là ?


Hey , j'espère que ce chapitre vous a plu !  J'ai adoré l'écrire en tout cas !😻❤️ ( Et oui, j'ai pas résister à un Happy end tout beau tout rose !)

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