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Narration : Reign Disick
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- Salut, dis-je lorsque la porte s'ouvrit sur elle.
Amber aussi semblait surprise de me voir,
Mais elle avait soudainement l'air soulagée.
Amber : Oh mon Dieu... enfin.
Elle s'écartait pour que je puisse entrer,
Chose que je fis.
Amber : Je suis vraiment contente que tu sois là, Reign. Je te jure que j'ai pas voulu que les choses se passe comme ça.
- Je sais, soufflais-je. De toute façon ce qui est fait est fait. On ne peut plus faire marche arrière.
Elle soupirait.
Amber : J'ai tellement peur... si seulement tu savais. J'ai mis beaucoup de temps a assimiler la nouvelle. Au départ je me suis dit que je pouvais le faire toute seule, mais c'était beaucoup trop de pression et tu méritais de savoir. Je te jure sur tout ce que j'ai de plus sacré que je ne t'ai jamais trompé, Reign. C'est ton fils.
- Je n'ai pas vraiment de doute à ce sujet, avouais-je. J'ai fini par me faire à l'idée et je vais assumer mon enfant quoiqu'il arrive. Tu n'es plus toute seule à présent. Je serais là pour toi à chaque instant. Compris ?
Elle hochait timidement la tête,
Avant de finalement se blottir dans mes bras.
Je répondis à son étreinte car je savais qu'elle en avait besoin.
Et puis...
Je pouvais sentir son ventre rond contre moi.
À ce moment là j'ai réalisé que c'était bien réelle.
Dans son ventre il y'a mon tout premier descendant.
Wow...
Je m'écartais lentement d'elle,
Afin de pouvoir la regarder dans les yeux.
- Est-ce que je peux ? Demandais-je hésitant.
Amber : Bien sûre.
Je me suis légèrement penché vers son ventre,
Avant de poser ma main droite dessus.
- C'est bizarre... confiais-je.
Amber : Je sais. Et crois-moi que je le ressens bien, moi.
Je pouffais de rire.
- Et tout se passe bien ? Questionnais-je d'un air intéressé. Ce n'est pas trop difficile ?
Amber : Les trois premiers mois l'étaient, mais maintenant ça va. Ne t'en fais pas. Le médecin dit que j'ai eu beaucoup de chance. J'aurais pu faire un déni de grossesse d'après lui.
Elle m'entrainant dans son salon,
Où elle me proposa de m'asseoir à ses côtés.
- L'essentiel c'est que tout aille mieux à présent. Et qu'est-ce que tu compte faire à présent?
Elle fronçait faiblement ses sourcils.
Amber : Comment ça ?
- À propos du bébé... du futur, expliquais-je. Tu vas rester vivre ici je suppose. Et dans quel clinique est-ce que tu vas accoucher ? Tu as déjà commencé à acheter des trucs ?
Amber : Oui je vais rester vivre ici, et pour l'instant je ne sais pas exactement où l'accouchement aura lieu. Je vais habiter un moment avec mes parents pour que ma mère puisse m'aider un peu avec le bébé au début, puis quand il sera plus grand je compte acheter une maison pour qu'on soit plus autonomes.
- Je vois, j'aime bien l'idée. Je pourrais t'aider à choisir la nurserie si tu veux. Et on pourrait suivre des cours de préparation à l'accouchement et tout ça... j'ai vu que c'était très bénéfique. Surtout pour les jeunes parents.
Amber : je suis partante. Merci de t'impliquer autant, tu m'enlève un poids des épaules. Je suis contente que tu ai accepté de faire parti de la vie de mon bébé. Je n'imaginais pas l'élever sans père.
- C'est aussi mon enfant, corrigeais-je. Alors c'est normal. Tu n'as pas à me remercier pour ça.
Je sortis quelque chose de la poche avant de ma chemise.
- Ma famille et moi on t'a fait un chèque pour te rembourser tout ce que tu as déjà payer jusque là.
Elle soupirait lentement.
Amber : Je n'en ai pas besoin, Reign. Je t'assure.
- J'insiste, appuyais-je tout en lui prenant les mais pour y poser le chèque. Prend le, s'il te plait.
Amber : Bien. Mais c'est seulement parce que c'est toi. Je garderais cet argent et je le mettrais dans le compte du petit une fois qu'il sera né.
Je souriais.
Je vais être papa...
C'est dingue.
- Est-ce que tu as déjà commencé à réfléchir à des prénoms ?
Amber : Pour être honnête, pas encore. En fait puisque c'est un garçon... je me suis dis que tu aimerais le choisir toi.
- C'est gentil. Ça me touche.
Amber : C'est autant ton fils que le mien. Tu n'as pas à me remercier pour ça.
- J'aime bien Ridder. En allemand c'est l 'équivalent du titre de noblesse de chevalier. Qu'est-ce que tu en pense ?
Amber : Ridder Disick ? Je trouve ça joli.
- Alors ce sera son prénom, déclarais-je. Ça te va s'il n'en a qu'un ?
Amber : Non, je suis d'accord. Je trouve même qu'avoir deux prénoms devient de plus en plus démodé haha.
- T'as vu ça!
Elle posait sa tête contre mon épaule.
- Mes parents veulent organiser un dîner avec les tiens et nous, lançais-je soudainement pour briser le soudain silence qui s'était installé depuis peu.
Amber : C'est une bonne idée. Je veux dire... il est temps.
- Mmh, marmonnais-je. Je vais m'arranger à ce que tout se passe bien. Ne t'en fais pas pour ça.
Amber : Comment va ton père sinon ? J'ai appris qu'il s'était volontairement rendu dans un centre de désintoxication, mais qu'il était finalement sorti au bout d'une journée après que quelqu'un ait fait fuite une photo de lui à l'intérieur.
Elle relevait légèrement la tête,
Afin de pouvoir me regarder dans les yeux.
- Je n'ai pas vraiment envi d'en parler, lui fis-je savoir poliment. Excuse-moi.
Amber : Je comprend, t'en fais pas. Sache juste que si jamais tu veux parler, je suis là. On n'est certes plus ensemble, mais on peut au moins rester amis pour le bébé.
- C'est exactement ce que je pensais. On doit faire des efforts pour que ça marche. Je ne veux surtout pas que nos désaccords aient un quelconque effet sur mon bébé.
Amber : Je trouve ça mignon.
- Quoi donc ?
Amber : La façon dont tu en parles. Il n'est même pas encore là, mais on voit déjà à quel point ça te tiens à coeur. Je suis persuadé que tu feras un papa extraordinaire Reign.
- C'est gentil Amber. Toi aussi tu seras une bonne mère. On fera de notre mieux.
Et je le pense vraiment.
Je veux que tout roule comme sur des roulettes.
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Narration : North West
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J'ai eu beaucoup de boulot aujourd'hui,
Et je suis complètement épuisée.
Je devais tourner une pub pour maman avec Skims,
Ensuite il a fallut que je travaille en studio avec Bilie Eilish parce que oui,
On va sortir une chanson ensemble.
Là je viens d'arriver devant chez nous.
Les voitures de Penelope sont toutes dans le garage,
Donc je présume qu'elle doit être là.
Il faut dire qu'elle est souvent à la maison depuis notre retour de vacances.
Enfin si on peut appeler ça ainsi...
- Je suis rentrée, hurlais-je depuis le hall en déposant mes clés de voiture sur un meuble.
Je n'entendis pas de réponse tout de suite,
Seulement le bruit de la télévision était assez audible,
Alors j'en ai déduis qu'elle se trouvait dans le salon.
Et bingo !
J'avais raison.
Elle était allongé sur le canapé devant Disney+.
Une grande fille comme ça mdr!
- Coucou, m'écriais-je en prenant place à ses côtés.
Penelope : Hey.
Elle diminua un peu le son de la télé l'aide de la télécommande.
- T'es restée à la maison toute la journée ? Questionnais-je.
Penelope : J'avais pas envi de sortir. Les paps me cassent la tête avec leurs questions stupides et je n'ai pas envi de finir à la une de la presse à scandale pour avoir perdu mon sang froid.
- Je comprend, chuchotais-je. C'est pas facile. Mais tu devrais pas te morfondre autant P. C'est pas ta faute s'il a fait ce qu'il a fait.
Penelope : Peut-être bien, mais j'aurais dû en parler dès que je l'ai surpris la première fois. Au lieu de ça je l'ai écouter me mentir et j'ai bêtement cru qu'il ne toucherait plus jamais à ça.
- Quand mon père a eu son addiction aux opioïde il y'a deux ans et demi, ma mère aussi s'est senti coupable de ne pas avoir pu empêcher qu'il suive un traitement imposant des drogues aussi fortes. Mais en fin de compte elle a réalisé qu'elle n'aurait rien pu faire de plus qu'être là pour lui. Et regarde ? Il a fini par se rendre compte lui-même du danger qu'il encourrait et il a volontairement arrêter de prendre des médicaments, racontais-je.
Penelope : C'est pas vraiment la même chose Nori. Ton père est devenu dépendant de drogue qu'on lui avait prescrites. Le mien prend de la cocaïne.
- Je n'en disconvient pas. Mais le fait qu'il ait fait l'effort de vouloir aller en désintox prouve qu'il est conscient de son problème et qu'il veut changer. C'est juste dommage que ces enflures aient sentis le besoin de le divulguer au public.
Penelope : Je commence vraiment à penser comme maman, tu sais ?
- À propos de quoi ?
Penelope : La célébrité, les médias... tout ça. Ça fait beaucoup quand même, tu ne trouves pas ? On est né là dedans, et ça fait bientôt 23 ans que je supporte ça. C'est épuisant. Je sais que nos parents ont signé pour tout ça, mais moi j'ai rien demandé. Et ça commence à me peser. Mon père ne peut même pas prendre soin de lui en paix. Tu réalise ? Je pense que je suis vraiment à bout. J'en peux plus de tout ça. De cette vie. C'est beaucoup trop de pression...
J'ai entendu dire que tata Kourtney allait quitter KUWTK,
Et maintenant je vois que P ne supporte plus la célébrité.
Franchement je les comprend parfaitement,
De plus c'est leur droit le plus légitime.
La vie qu'on mène est tout sauf facile,
Même si les gens ont l'air de croire qu'il y'a plus d'avantages que d'inconvénients.
- Honnêtement babe, commençais-je sérieusement en la regardant dans les yeux. Si tu pense que c'est la meilleure chose à faire pour toi, fais-le. Lorsque la santé mental commence à en prendre un coup, rien d'autre que le bien-être personnel ne compte. Quoique tu décide je serais toujours là pour toi P. C'est pas prêt de changer.
Elle souriait tristement,
Avant d'ouvrir ses bras pour pouvoir me faire un câlin.
Je répondis donc à son étreinte en la serrant un peu plus contre moi.
Penelope : Merci beaucoup Northie.
- Pourquoi tu me remercie exactement ? Interrogeais-je.
Penelope : parce que t'es toujours là pour moi quand j'ai besoin de toi. T'es la meilleure.
- Non. La meilleure c'est toi, assurais-je en lui faisant un clin d'oeil complice. Allez ne fais plus cette tête d'accord ? Ton père va s'en sortir. De toute façon il n'a pas le choix. Maintenant que l'histoire est arrivé aux oreilles de KJ et de toute la famille, ils le laisseront pas tomber de si tôt.
Penelope : J'espère que tu as raison.
- J'ai toujours raison, rétorquais-je.
Penelope : Euh non. Pas du tout.
- Sale rageuse va, plaisantais-je en lui tirant la langue.
Elle se mit à rire,
Ce qui me fit sourire.
Oh la rhyme de malade mdr.
Je rigole.
- Voilà, soufflais-je tout en passant mes doigts sur son visage pour évoquer son sourire. J'aime te voir comme ça.
Penelope : Ouais. T'es plutôt douée pour remonter le moral.
- Je suis douée en tout, fis-je remarquer.
Penelope : Extrapolation.
- Bref. J'ai pas envi que tu reste toute seule ce soir du coup ça te dit de venir dîner avec Caiden et moi ? Ensuite on va sortir un peu donc je vais proposer à Hayden, Ryan et les autres de venir aussi. LA by night quoi !
Elle semblait hésiter,
Mais je m'empressais de la persuader.
Penelope : Tu m'as fatigué haha. Je suis de la partie !
- Cool ! Hurlais-je folle de joie. Vu que tu viens faut monter te préparer, il est déjà 19 heures et Caiden passe à 20h30.
Penelope : Pourquoi vous dîner toujours aussi tard ?
- Parce que quand je dîne trop tôt j'ai de nouveau faim avant minuit, répondis-je simplement en me levant. À toute !
Je montais dans ma chambre,
Afin de pouvoir me préparer tranquillement en musique.
J'ai d'ailleurs pris une longue douche d'une demi-heure.
La base.
Je sortais de la salle de bain en peignoir,
Lorsque mon téléphone s'est mis à sonner,
Ce qui a coupé la musique.
C'était un appel de Caiden,
Donc j'ai tout de suite répondu.
Putain ne me dîtes pas qu'il est en avance.
********* Conversation Téléphonique *********
Moi : T'es vachement en avance bébé. Il doit me rester au moins trois quarts d'heures.
Caiden : Chérie, on va devoir annuler pour ce soir.
Moi : Quoi ? Pourquoi ?
Caiden : J'ai un contretemps bébé. Je suis désolée.
Moi : Tu te fiche de moi ? Si tu dois m'appeler pour annuler un truc prévu à l'avance, autant me donner une bonne raison.
Caiden : Je ne peux pas en parler au téléphone.
Moi : Sois tu m'explique pourquoi, sois tu-
Caiden : J'ai d'assisté à une scène dont je ne peux pas parler par téléphone. Je dois raccrocher là, mais je te jure que je te rappelle dès que possible pour t'expliquer mon coeur.
****** Fin de l'Appel *****
Il est sérieux ?
Il me raccroche au nez ?
Et puis c'est quoi cette histoire encore ?
J'aime pas ça.
Tant pis pour lui écoutez.
Avec P on va passer la soirée entre fille,
Mais monsieur a intérêt à me rappeler au plus tôt pour me dire ce qu'il en est.
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