55.
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Narration : Adonis Graham
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Lorsque je me suis réveillé ce matin,
Stormi dormait encore profondément à mes côtés,
Ce qui me fit tout de suite sourire.
Même endormie elle reste toujours aussi magnifique.
J'ai jeté un coup d'oeil sur l'horloge, et il était neuf heures.
En gros il est encore super tôt pour moi,
Surtout après la soirée de Saint-Valentin d'hier.
Après m'être étiré je reposais doucement ma tête sur le lit,
Tout en profitant de l'occasion pour la serrer un peu plus contre moi.
Elle s'est alors mise à gigoter doucement,
N'ouvrant pas les yeux pour autant.
Je décidais alors d'enfouir ma tête dans le creux de son cou,
Histoire de renifler son odeur que j'aime temps.
Ne retrouvant pas tout de suite le sommeil je cherchais comment m'occuper,
Et c'est ainsi que j'ai commencé à lui faire des petites papouilles sur la nuque.
En réponse à cela elle passait une de ses mains dans mes cheveux.
- Coucou... murmurais-je.
Stormi : Mmhh... hello. Quelle heure est-il ?
Elle avait dit cela d'une toute petite voix.
- Neuf heures à peine.
Stormi : Pourquoi t'es déjà debout ?
- Je ne sais pas trop, dis-je simplement. Je me suis levé d'un coup, et pour l'instant je n'arrive pas à me rendormir.
Stormi : C'est archi chiant ce genre de moment.
Je finissais par me redresser pour pouvoir lui faire face,
Et sa petite bouille à moitié endormie était à croquer.
- T'es trop mignonne au réveil bébé!
Stormi : Ma mère dit que je ressemble à un petit chaton...
- Personnellement je n'aime pas les chats, rétorquais-je. Mais d'après les gens c'est mignon donc elle doit avoir raison.
Stormi : Toi aussi t'es plutôt cute... mais t'as une petite tâche la bave juste là.
Elle posait son index sur la commissure de mes lèvres,
Et mort de honte je sautais presque du lit pour me rendre dans ma salle de bain.
Non seulement j'ai retiré cette tâche, mais je me suis aussi mis à me laver les dents jusqu'à ce qu'elle finisse par me rejoindre en rigolant.
Stormi : C'était juste de la bave tu sais, c'est naturel.
- Peut-être bien, concédais-je. Mais c'est loin d'être galant, et encore moins sexy.
Elle pouffait de rire,
Puis entourait ma taille de ses bras en adossant sa tête contre mon dos,
Tout en me regardant à travers le miroir face à nous.
Stormi: Baveux ou pas, tu reste le plus galant et le plus sexy à mes yeux mon coeur ! T'inquiète pas pour ça.
Je souriais en coin,
Tout en m'essuyant les lèvres après m'être rincé la bouche.
- T'as rebooté mon égo en deux secondes ! M'écriais-je en me tournant face à elle.
Je m'apprêtais à l'embrasser,
Mais elle me stoppa net.
- Quoi ? Demandais-je perplexe.
Stormi : Bah atteint que je me brosse les dents aussi, voyons ! Je dois avoir une haleine du tonnerre à l'heure qu'il est.
Elle attrapa aussitôt une brosse à dent propre,
Et je la regardais faire tout en entourant son bassin de mes mains,
Exactement dans la même position qu'elle il y'a peu.
Je m'amusais aussi à lui faire des chatouilles sur le ventre pour la taquiner,
Étant donné qu'elle portait un débardeur court pour dormir.
Ce que j'aimais le plus dans tout ça,
C'est le fait que ça n'avait pas vraiment l'air de la déranger,
Bien au contraire.
Lorsqu'elle a fini,
Je l'ai aussitôt porter en sac à patate pour la ramener au lit,
Entrant ainsi sous les couvertures avec elle.
Bah quoi ?
Il est tôt,
On fait la grâce matinée.
- Maintenant qu'on a tous les deux la bouche propre, ai-je le droit de t'embrasser Stormilove ? Interrogeais-je, tout en la fixant dans les yeux.
Stormi : Permission accordée !
Je ne me fis pas prier,
Et plaquait mes lèvres sur les siennes.
Au début notre baiser se voulait timide,
Mais nous avons tout de suite rendu la chose plus attrayante en l'approfondissant,
À tel point qu'elle a fini allongé et moi penché au dessus d'elle.
Lorsque je me suis mis à embrasser la peau de son cou,
Quelques petits soupirs s'échappait de ses lèvres,
Alors je lui ai fais un petit suçon, puis un autre.
Je ne vais pas vous mentir,
Tous ces petits câlins ne me laissaient pas indifférent.
Et je crois qu'elle non plus.
Sans cesser de l'embrasser,
Je baladais mes mains un peu partout sur soncours,
Jusqu'à ce qu'elle ne finisse leur trajet sur son ventre,
Puis que je les fasse lentement remonter de sorte à les glisser à l'intérieur de son débardeur.
Je l'ai senti frissonner à plusieurs reprises,
Avant qu'elle ne passe ses mains sur mon dos,
Vu que j'avais dormi torse nu.
Commençant à caresser sa poitrine,
J'ai pu sentir la pointe de ses tétons se durcir,
Ce qui prouvait qu'elle était aussi excité que moi.
Je remontais alors son débardeur pour mieux voir accès à ses seins,
Que je ne tardais pas à embrasser à tour de rôle aussi.
Je savais qu'elle aimait bien parce qu'elle gémissait timidement,
Et m'encourageait dans mes gestes en me caressant les cheveux.
Sa peau avait un goût sucré,
On pourrait même croire qu'elle utilise une lotion faite à partir de fruit mdr.
Je l'ai ensuite senti passer sa main droite sur mon torse,
Avant qu'elle ne se pose finalement sur mon bas de pyjama,
Chose qui me surpris beaucoup.
Stormi : Je vois que je te fais vraiment beaucoup d'effet...
Elle faisait allusion à mon érection,
Et c'est à ce moment précis que j'ai réalisé à quel point j'étais stimulé.
- Je plaide coupable, avouais-je un petit peu gêné.
À ma grande surprise,
Elle glissa sa main dans mon bas,
Tenant mon entrejambe du bout de ses doigts.
Je me raidit aussitôt.
- eh... tu... balbutiais-je. Faut me prévenir avant de faire un truc comme ça.
Elle pouffait de rire.
Stormi : Désolée ! C'est vrai que vous êtes hyper sensible de cette zone là...
Elle fit pression dessus.
On aurait dit qu'elle cherchait à assouvir sa curiosité en le scrutant.
Stormi : Tu sais, c'est la première fois que j'en touche un...
- Qu'est-ce que ça te fais ? Demandais-je en retour.
Stormi : J'en sais rien... je trouve ça étrange au toucher, mais pas déplaisant.
Elle se mit à faire des mouvements de bas en haut,
Et je me mordillais la lèvre en basculant la tête en arrière.
- En tout cas ce que moi je ressens c'est... clairement plaisant.
Stormi : J'imagine haha. Mais tu sais que je ne ferais rien avec toi aujourd'hui, n'est-ce pas?
- Je le sais bébé, ne t'en fais pas.
Stormi : C'est pas que je veux pas... c'est juste que je préfère qu'on attendre encore un petit peu.
- Je comprend bébé, assurais-je. J'attendrais que tu sois prête, tu n'as aucun soucis à te faire là dessus.
Elle me regardait timidement.
Stormi : Mais si tu veux... Je peux t'aider à calmer ça.
Sa main toujours poser sur mon sexe,
Je panais à garder mon souffle lorsqu'elle reprit ses mouvements.
- Et comment comptes tu faire ça ?
Stormi : Tu sais bien à quoi je fais allusion, petit malin !
- Tu es sûre que ça ne t'embête pas? Demandais-je d'un air sérieux. Je ne veux surtout pas que tu te sente forcée ou je ne sais quoi d'autre... c'est vraiment pas mon genre.
Stormi : Ne t'en fais pas babe, c'est moi qui te propose alors aucun soucis !
- Bon bah... je ne dirais surtout pas non, soufflais-je tout sourire.
Elle souriait en coin,
Avant de baisser mon bas.
Wow.
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Narration : Hakeem Jameel
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Il était environs 17 heures lors que des gens sont arrivés chez moi avec une grosse mal.
Ils l'ont ouverte dans mon hall,
Et à l'intérieur se trouvait trois grands tableaux d'art qu'ils déballaient l'un après l'autre.
Ma copine a vraiment assuré sur ce coup !
Ma mère et ma soeur descendirent les escaliers,
Visiblement surprise par l'agitation autour de nous.
Destiny : Je peux savoir ce qui se passe ici ?
Maman : Tu as encore dépensé des sommes colossales en oeuvres d'art, hein ?
- C'est un cadeau, répondis-je simplement.
Destiny : De qui ?
- Ce que tu peux être curieuse... rétorquais-je.
Destiny : Et je n'en ai pas honte. Ah tiens, il y'a une carte sur la malle.
Elle s'empressait de la prendre,
Puis de la lire à haute voix.
Quelle sale petite fouine !
Encore Joyeuse Saint Valentin mon poussin,
Et merci de toujours me rendre aussi heureuse.
Je t'aime.
Xoxo,
Chi.
Destiny : Ouh lala ! Ça pu l'amour par ici !
Maman : Van Gogh, Modigliani, De Vinci... c'est qu'elle doit vraiment t'aimer cette petite. Pas étonnant vu comment je t'ai parfaitement élevé. Cela dit, je trouve que c'est un cadeau très bien pensé. La digne fille de son père.
- J'ai cherché ce Van Gogh en vain partout l'été dernier, je me demande comment elle a réussit à l'obtenir si facilement aux enchères. J'ai hâte de tous les faire installer dans ma chambre !
Destiny : Tu devrais surtout les faire assurer avant. Je m'y connais pas en art mais je sais que ça doit couter hyper chers ces trucs là, alors ce serait bête qu'on te les vole.
Mdr pour une fois qu'elle a raison.
- Je vais le faire.
Maman : Et toi ? Qu'est-ce que tu lui as offert alors ? Parce que tu es mon fils... tu as intérêt à avoir mit la barre plus haute.
- Je lui ai offert des bijoux, des accessoires et une incroyable soirée sur le yacht de papa pendant laquelle elle a pu profiter d'un orchestre de renommé, d'un concert privé de Burna Boy, d'un buffet haut de gamme, de feux d'artifice et de ma merveilleuse présence.
Maman : Rien que Burna et ta "merveilleuse présente" ça top le tout! Bien joué fiston !
Elle me fit un clin d'oeil,
Avant de m'embrasser le front.
Maman : D'ailleurs en parlant de ta copine, tu devrais l'inviter à ma fête d'anniversaire la semaine prochaine !
- Tu va fêter ton anniversaire dans les Caraïbes maman, fis-je remarquer. C'est pas le genre d'invitation à faire une semaine avant le jour j.
Cette fois,
Ce fut à elle de hausser les épaules.
Maman : C'est une invitation, elle est libre de dire oui ou de dire non. Propose-lui quand même et si elle est d'accord tu me le fais savoir, afin que je prévienne ses parents moi-même. Elle peut même venir accompagné si elle veut, à condition que ce ne soit pas des gens bizarres.
Destiny : De toute façon on est tous en vacance depuis aujourd'hui, et puis il serait temps qu'elle passe un peu de temps avec ta famille à toi vu tout le temps que tu passe auprès de la sienne.
Elle m'a dit qu'elle avait quelques jours de vacances à partir de 18h aujourd'hui,
Donc si ça se trouve elle pourra faire le déplacement trois petits jours.
- Je vais lui proposer.
Maman : D'accord. Ta soeur et moi on allait faire un petit tour, tu veux venir avec nous ?
- Oh non ça va, refusais-je poliment. J'attend de la visite, et j'ai du rangement à faire là haut.
Destiny : De toute façon toi depuis qu'on est arrivé ici t'as rien envi de faire avec nous. En dehors de miss Kardashian t'as plus le temps personne.
Maman : Arrête de jalouser sur ton frère, quand tu auras un copain tu réagiras de la même façon.
- Ça risque pas d'arriver de si tôt crois-moi, répliquais-je d'un ton ferme. Et c'est une West je te signale
Ma soeur me tirait la langue.
Destiny : Primo c'est même pas tes affaires ! Secondo, Kardashian ou West c'est la même famille! Bon allez viens maman, on y va ! À plus frangito!
- Ça veut rien dire ce mot Tiny, je te l'ai déjà dis déjà dis un milliard de fois.
Destiny : Je m'en fiche, j'aime bien l'utiliser quand même.
Elles ont finit par partir,
Puis encore une fois mon téléphone se mit à sonner.
Je jetais un coup d'oeil sur l'écran et c'était encore le même numéro.
Quand j'étais en Europe j'ai recroiser mon ex vite fais mais sans plus,
Et depuis elle n'arrête pas de m'appeler ou d'essayer de me parler.
J'ai beau l'ignorer et lui dire que je suis en couple.
Elle continue de tenter dans le vide, et je commence à désespérer parce qu'à cette allure là je vais finir par changer de numéro.
Je vois clairement pas ce qu'elle me veut ni pourquoi elle force autant.
C'est la sonnerie de l'interphone qui me fit sortir de mes pensées,
Lorsque le gardien m'annonça que Saint était là.
Ça tombe bien qu'il ait enfin décidé de parler.
- Bonsoir, dis-je en ouvrant la porte. Entre.
Il ne se fit pas prier,
Et on se rendit dans mon jardin pour discuter.
J'en ai de mon côté profiter pour fumer de la chicha.
Saint : Je ne vais pas passer par quatre chemin, gros. Je te dois des excuses pour le comportement immature que j'ai eu à ton égard et je le reconnais. Mais ça ne change rien au fait que vous ayez quand même fait ça dans mon dos... sauf que là n'est plus là question. J'adore ma petite soeur et elle a l'air de beaucoup tenir à toi alors il n'y a rien d'autre que je puisse faire, ce même si ça ne me plait pas. Et au fond toi aussi t'es mon pote, je te connais et je sais que t'es un gars bien donc je vais prendre sur moi... et laisser les choses se faire.
Tout du long je l'avais écoute sans l'interrompre.
- Il t'a fallut mille ans pour réaliser ça ? Questionnais-je d'un ton taquin. Non je rigole bro, je suis content que tu ai retrouvé la raison. J'aime beaucoup ta soeur, et jamais je ne lui ferais le moindre mal. De toute façon tu sais qui je suis, où je vis...
Saint semblait me croire,
Mais il était tout de même encore un peu hésitant,
Chose que je peux comprendre.
Saint : Mais toi aussi de toutes les filles de mon entourage que tu as rencontré depuis ton retour, c'est ma soeur que tu as choisi ? Argh...
On voit bien qu'il a le seum le pauvre mdr.
Mais c'est la vie.
- Ta soeur est tombé sur quelqu'un qui la traitera toujours comme la princesse qu'elle est véritablement, déclarais-je. N'est-ce pas ce que tu veux pour elle ?
Saint : Bien sûre que si. Tu sais quoi ? Arrêtons de parler de tout ça, ça me met mal à l'aise mdr. On enterre la hache de guerre et on reprend sur de bonnes bases. Tant que vous faite pas trop les lover devant moi et que tu couche pas avec ma soeur, je suis partant.
Il me tendit sa main.
- Là je te reconnais! Avec plaisir bro, répondis-je en le tchéquant. Par contre pour la dernière chose... c'est mort.
Il fronçait les sourcils.
Saint : Attend... t'as couché avec elle ?! T'es sérieux ?
- Yep, mentais-je en me retenant de rire. Désolé de te l'apprendre comme ça mais tu l'avais énervé, elle avait besoin de se détendre... et c'est arrivé. Si ça peut te rassurer, je m'étais protégé et-
Il me coupait aussitôt en me poussant,
Et j'éclatais de rire.
- Calme toi mec c'était juste une blague, révélais-je. C'est pour avoir trop fait le fou, tu l'as mérité.
Il soupirait de soulagement.
Saint : Et j'ai failli tomber dedans comme un bleu moi aussi !
- Mais dans tous les cas, tu sais bien que si je suis en couple avec elle ça va forcément finir par arriver un jour ou l'autre.
Il ne répondit pas.
- Bref... reprenais-je d'un ton plus sérieux. On est de nouveau pote ou tu fais encore un peu la tête ?
Saint : Avec la pseudo crise cardiaque que t'as failli me faire avoir avec ta blague, je te pardonne seulement parce que t'es mon pote et que notre amitié me manque.
Je pouffais de rire.
Saint : Vas-y passe ta chicha. Vu comment t'es posé, autant rester un peu.
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