Chapitre 19
"As-tu déjà aperçu la couleur de la douleur ?"
Fit la voix du garçon masqué, attrapant l'homme par les cheveux, lui tirant la tête en arrière. L'homme en question ouvrit les yeux, tentant de se rappeler ce qui lui était arrivé. Voyant qu'il était assis et enchaîné solidement sur une vieille chaise en bois, le cœur de l'homme s'accéléra battant la chamade dans sa poitrine tandis qu'il gigotait dans tous les sens en tentant de se libérer. Tout lui revenait, l'enquête, le bruit dans sa chambre, l'apparition soudaine du masqué derrière lui, et le moment où il s'était fait endormir de force.
- Ça ne sert à rien de trop forcer, tu vas juste t'épuiser inutilement. Garde tes forces pour crier plutôt, tu vas en avoir besoin.
Fit le masqué d'un air joueur et enjoué contrastant avec le crime morbide qu'il allait commettre. Cigarette à la bouche, le garçon attrapa de longues aiguilles, tout en tirant une latte toxique, crachant la fumée au visage du policier tandis qu'il approchait les aiguilles des ongles de l'homme. Il commença alors à enfoncer profondément l'aiguille entre l'ongle et la peau de l'homme, provoquant d'horribles cris stridents qui feraient pâlir n'importe qui. Mais cette horrible mélodie ne semblait pas déplaire le masqué, qui continua avec les autres ongles de l'homme. Puis il répéta l'opération avec les ongles de pieds de l'homme.
Le métal froid entrant en contact avec le corps chaud de l'officier, les tissus de la peau qui se déchiraient au fur et à mesure que l'aiguille s'enfonçait dans la chair, le tout sous des cris incessants. Tandis que le sang coulait, le garçon sifflait une mélodie assez rythmique et joyeuse. Quand il eut fini d'enfoncer les aiguilles, le garçon attrapa une pince et saisit l'un des ongles de la main de l'homme.
- Je t'en supplie... Arrête... Je peux pas supporter ça, j'ai rien fait qui mérite ça...
-EXACTEMENT ! On n'a rien demandé et un jour bim ! Tu te manges douleur sur douleur ! Tu fais partie de ce système c'est bien assez pour être mon jouet. Mais je te préviens... Je n'ai jamais vraiment pris soin de mes jouets.
Sur ces mots, le garçon arracha lentement très lentement l'ongle de l'homme. Ce dernier bougeait dans tous les sens, se tordant de douleur en hurlant, tandis que l'ongle finit par se séparer de son doigt douloureusement. Le brun répéta l'opération avec tous les autres de doigts, puis les doigts de pieds.
Fumant tranquillement sa cigarette le masqué attrapa alors une scie à métaux et l'approcha de l'index de l'homme qui hurlait toujours en se débattant. Il appuyait la lame de la scie au bout du doigt, et commença un lent mouvement de va-et-vient. Le policier continuait de se tordre de douleur, hurlant à s'en déchirer les cordes vocales.
- T'es qu'une sous-merde. Une grosse sous merde !
Répéta l'adolescent, coupant le doigt par tranches comme si son doigt n'était qu'un vulgaire saucisson. Il fit alors la même chose avec le reste des doigts de sa main gauche. Le masqué regarda alors sa victime qui commençait à perdre conscience. Il lui mit alors une claque.
- Eh réveille-toi, j'ai à peine commencé ! Pauvre sous-merde va. En plus j'ai été moins hard que dans le Masked x Reader. Enfin... Je crois ?
Le tortionnaire s'accroupit et saisit le pied de l'homme, puis il retourna complètement ce dernier sous un craquement sinistre. Les yeux du policier se sont alors ouverts en grand tandis qu'un gémissement de douleur s'était échappé de ses lèvres. Le masqué ricana et tendit simplement sa main vers un plateau en métal rouillé où étaient disposés des instruments de tortures et autres objets divers destinés à la chirurgie. Un petit scalpel qui était disposé dessus prit alors son envol jusqu'à se retrouver entre les mains du tueur. Ce dernier approcha la lame et commença à l'enfoncer délicatement dans la peau de l'homme. Puis, il commença à entailler soigneusement sa peau, commençant à la base de la tête au niveau du cou, descendant lentement au niveau des épaules. Il dirigea ensuite la lame jusqu'à l'avant-bras de l'homme. Le petit bout de métal aiguisé semblait presque glisser tant le geste était maîtrisé et régulier. Il continua comme cela jusqu'à avoir fait tout le tour du torse, sous les complaintes de l'homme qui ne cessait d'implorer sa pitié.
Le tueur attrapa alors la peau et l'arracha comme un vulgaire emballage. Derrière son masque, les lèvres du garçon se tordaient en un sourire presque pervers, un sourire malsain que seul un fou pouvait orner.
- On peut dire que là tu te mets à nu.
Plaisanta le jeune adolescent, d'un air fier de sa blague de mauvais goût. Ce dernier s'éloigna alors de sa victime, se dirigeant vers le plateau. Il attrapa quatre objets et en mis deux dans sa poche avant de se retourner. Les deux objets restant dans sa main étaient deux seringues. L'une avait une couleur jaunâtre, l'autre était d'un rouge étrange et fluorescent. Il posa la seringue rouge au sol et approcha la pointe de celle contenant le liquide jaunâtre d'une artère de l'homme. Il y planta l'aiguille, et y fit couler le liquide.
- Adrénaline tu connais ? Sinon tu vas me claquer entre les doigts et j'ai pas encore fini de jouer tu vois. Parce que je sais que tu as découvert qui j'étais via ton enquête, non pas que ça vous serve à grand-chose mais ça me dérange qu'on fouille dans mes affaires, et le gentil garçon instable que j'étais est mort. Alors... Je vais t'apprendre à te mêler de tes oignons.
Il sortit alors du sel et du jus de citron qu'il versa sur la fine couche de peau qu'il restait à l'homme et sur toutes ses blessures. Bien entendu cette action eut pour effet de le brûler presque instantanément. Le garçon attrapa une sorte de marteau, et lui brisa les os un à un sous les complaintes de l'homme.
- Bon t'es pas très amusant comme victime toi tu ne cries pas beaucoup et tu me supplies moins que tous ces fragiles que j'ai l'habitude de torturer.
Le garçon écrasa alors sa cigarette dans l'œil de l'homme sous un énième gémissement de douleur de ce dernier. Il attrapa une pince et commença à ôter les dents de l'homme une à une.
- La petite souris va être obligée de me donner au moins cent euros avec ça !
Dit-il une fois fini. Le masqué posa alors sa pince et fit venir à lui son instrument de torture favori, une batte de baseball, entourée de fil barbelé rouillé. Il fit alors difficilement entrer le bout de cette dernière dans la bouche de l'homme, et commença à la faire inlassablement tourner sur elle-même, lui déchirant les gencives et les joues de l'intérieur. Pour la retirer il tira alors d'un coup sec sur sa batte. Il la posa au sol et attrapa la seringue au liquide rouge, injectant alors le produit dans ses veines.
- Je pensais pas tomber sur un truc aussi fou à la zone 51. Ils ont tenté de m'arrêter mais bon, c'est si faible les fusils d'assaut quand tu ne peux pas toucher la personne. Ce liquide est étonnant, on a beau te décapiter ou t'arracher le cœur, avec ça tu vivras quand même 30 minutes. J'en ai chouré toute une réserve. Maintenant je vais passer au défouloir.
Dit-il avant de poignarder l'homme à plusieurs reprises, comme un boxeur frapperait dans un punching-ball. Le sang venait gicler sur le garçon et très vite son masque blanc fut souillé par l'hémoglobine. Il déshabilla alors complètement l'homme et approcha sa batte de baseball de l'orifice anal de l'homme.
– Pour une femme, se faire violer y'a rien de pire nan ? Bah on va voir ce que ça fait chez un homme de se faire enculer par une batte de baseball qui te déchire l'intérieur.
Dit-il en enfonçant l'objet d'un seul coup, le rentrant jusqu'à la moitié. L'homme hurlait à s'en briser la voix, sentant son intérieur se déchirer à cause du barbelé qui perçait et griffait ses parois. Le garçon fit alors des mouvements de va-et-vient brusques et violents, en faisant tourner frénétiquement la batte sur elle-même. Cela dura cinq minutes. Les cinq minutes les plus longues de la vie du policier qui n'en pouvait plus, mais qui ne pouvait pas s'évanouir à cause du produit que lui avait administré le masqué. Le garçon retira l'objet, fier de lui tandis que du sang coulait abondamment du trou déformé et ouvert. Il restait même des morceaux de chair sur le barbelé.
– Bon bah... Je suis bon pour m'en faire une nouvelle. T'en dis quoi de ma torture ? Au fait, tu sais ce que j'ai dit au mec qui m'a foncé dessus en voiture ? "Je suis le cauchemar de mon pire cauchemar" parce qu'il m'a sorti qu'il était mon pire cauchemar. Tu te rends compte ? Ce clown serait mon pire cauchemar, je suis en plein rêve. Mais maintenant JE suis le cauchemar de ton pire cauchemar. Tu as peur de quelque chose mais cette chose elle-même a peur de moi. Alors demande-toi de qui tu devrais vraiment avoir peur.
- S'il te plaît... Tue-moi. Je n'en peux plus, arrête ce supplice.
Le garçon attrapa une paire de ciseaux et d'un geste vif, il coupa le sexe et les testicules de l'homme. Il attrapa ensuite le membre ramolli de l'homme ainsi que ses bourses, et les enfonça dans la bouche de sa victime. Il était insatisfait, il voulait en faire plus mais il n'avait plus que vingt-cinq minutes à vivre pour l'homme. Une voix étrange se fit alors entendre à nouveau, sortant de la bouche du masqué, la même voix démoniaque que lorsqu'il avait ordonné à son beau-père de s'écarter de son chemin.
~ Maintenant je vais te ramener chez toi et tu vas gentiment raconter mes exploits sur internet en prenant soin copier coller pour faire ton dernier rapport à la police.
Le regard de l'enquêteur devint vide. Il hocha machinalement la tête, tandis qu'il se releva malgré ses blessures. Le garçon se téléporta alors avec lui chez l'homme, avant de disparaître complètement. La victime se mit alors directement au travail.
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