Chapitre 3 : Course poursuite !
Partie Raka :
Karla :
Toi ?!!! TU CONNAÎTRAIS PAS UN CERTAIN KURAKA ?!
Raka :
Lorsque la louve alpha prononça ce nom. Ma sœur et moi restons interdit.
{ Elle connaît mon père ?! Comment peut-elle le connaître ?! }
Maria :
- Raka !!! J'ai peur !!! Comment cette louve balafrer peut connaître le nom de papa ?!
Raka :
- La ferme Maria !!!!
Je m'étais subitement tourner vers elle afin, qu'elle garde le silence. Tendit qu'un rire sénile, me fasse reporter mon intention vers Karla, qui s'est mise à approchez dangereusement de nôtre position, réduisant à chaques secondes le peu de distance qui, nous séparaient d'elle ainsi que des autres loups, continuent de nous encerclés.
Karla :
- Vous voulez savoir comment, je connais vôtre père ?! C'est lui qui, m'a laissé cette MARQUE !!!!!!
Maria ainsi que moi-même, continuons de reculer avant de se retrouver soudainement dos au mûr. Un rocher nous empêche de reculer d'avantage pour notre plus grand désespoir.
- Inutile d'essayer de fuir...Vous êtes fait comme des rats !!! MWAHAHAHAHA !!!!
Je me suis mit soudainement à trembler de peur, restant collé contre ma sœur. Tendit que la louve bave à l'idée de nous sauter dessus à la moindre occasion pour nous déchiqueté.
- Leur père à eu la chance de passer entre nos griffes !!!! Mais ces majestés n'auront pas cette chance !!!! À L'ATTAQUE !!!!! ÉGORGÉS LES !!!!
Maria :
- NOOOOOOOOOOOOOOOON !!!!!!!
Raka :
- COURS ET NE T'ARRÊTE SURTOUT PAS !!!
Je me faufila entre les pattes des loups, prenant mes jambes à mon cou, aux côtés de ma sœur. Les loups à nos trousses, nous continuons de fuir pour sauver nos vies, sur cette terre aride et hostile. Nous courrons depuis un certain temps, sans savoir où nous allons réellement. Tout les chemins semblaient se ressembler pour, le plus grand désespoir de ma sœur, qui commençait sérieusement à manquer de souffle, tout comme moi.
Raka :
- TU PENSE QU'ILS NOUS SUIVENT TOUJOURS ?
Maria :
- Euh....ATTEND !
Maria reporte son regard derrière, elle voyant une meute de loup à nous trousse. Lorsqu'elle ravala sa salive avant de reporter son regard affolé vers moi. Je ne tarda pas à connaître la réponse. Mais, je voulais absolument l'entendre de sa bouche.
- TU VEUX VRAIMENT LE SAVOIR ? HEY BIEN OUI, ILS SONT TOUJOURS À NOS TROUSSES !
Raka :
- TU VEUX LA BONNE OÙ LA MAUVAISE NOUVELLE ?!!!
Maria :
- LA BONNE IMBÉCILE !!!! FAIT VITE...CAR JE VAIS PAS POUVOIR TENIR CETTE ALLURE TRÈS LONGTEMPS...
RAKA :
- LA BONNE NOUVELLE...C'EST QUE, NOUS AVONS POTENTIELLEMENT TROUVER UN ABRI...
MARIA :
- ET C'EST QUOI LA MAUVAISE NOUVELLE ?!!!
RAKA :
- LA MAUVAISE...C'EST QU'IL VA FALLOIR SAUTER !!!! REGARDE DEVANT TOI !!!
Maria :
À peine j'avais prononcé cette phrase. Je vis ma sœur regarder l'horizon, essayant de maintenir l'écart entre la meute de Karla et nous. Maria m'adresser un regard paniqué en voyant un ravin préciser au loin. Tendit que, mon idée commença à germer dans l'esprit de ma sœur pour échapper une fois pour toute à cette meute de loup.
- MAIS T'ES COMPLÈTEMENT MALADE ?!!!!
Raka :
- TU PRÉFÈRE MON IDÉE OÙ FINIR DÉVORER VIVANTE ?!!! DÉPÊCHE TOI DE CHOISIR !!!!
Maria :
Ma sœur, réfléchis quelques instants avant d'entendre les mâchoires d'un loup claquée dans le vide. Ce qui eu l'effet de ôter toute hésitation. Tendit que, la distance entre le ravin et nous continue de diminuer.
- J'ESPÈRE QUE, TU SAIS CE QUE, TU FAIS !!!!!
Partie Karla :
- MANIEZ-VOUS DE RATTRAPÉ CES BOULES DE POILS !!!!! JE VEUX GOÛTER LA CHAIRE DE SANG ROYAL !
??? :
- Mais ?!!! Ils se dirigent droit en direction du ravin !
Karla :
- ILS N'AURONT JAMAIS LE CRANT DE SAUTER DANS LE VIDE !!!! C'EST NÔTRE CHANCE !!!! À L'ATTAQUE !!!!
Partie Raka :
- PRÊTE ?!!!!
Maria reporte brièvement son regard derrière elle, voyant bon nombre de loups, la bave dégoulinante de leurs mâchoires, ne demandent qu'à les déguster jusqu'à l'os. Lorsqu'elle me lance un regard approbateur. Il n'y avait à présent plus aucune raison d'hésiter.
Maria :
- PRÊTE !!!!
Raka :
- P...PARFAIT !!!! À MON SIGNALE !!!!
L'heure était arrivée ! L'heure où nos vies allaient soit se clôturer, soit se poursuivre sur ces terres arides.
- 1 !!!!!
Je pouvais entendre mon cœur battre contre la poitrine. L'autre du côté du ravins semblait être à notre portée.
- 2 !!!!!
Mais qui s'est ce qu'il pourrait nous arrivée, une fois que, nous serons de l'autre côté de cette étendue où un vide sans fin, s'étendait juste devant nos yeux.
- 3 !!!!! SAUTE !!!!
Maria ainsi que moi-même, nous prenons notre élan pour s'élancer dans le vide. J'ignore par quel miracle mais, nous sommes parvenue à nous accroché à la surface rocheuse grâce à nos griffes, à présent, il nous restait plus qu'à grimper pour arriver au sommet de la falaise.
- G...Grimpe ! Dépêche toi !
Maria :
- O...Oui ! J'essaie !!!
Maria grimpa comme, elle le pouvait, s'accrochant au surface "accessible grâce aux nombreux creux, que comptait la surface rocheuse. Il lui fallut un peu de temps pour parvenir, jusqu'au sommet.
- Dépêche toi Raka !!!! Vite !!!! Vite !!!
Raka :
- J...J'essaie !!!!
L'escalade fût, bien compliqué, certains endroits étaient fissurer, signe de la fragilité de la structure. J'avais beau me hisser, de toute mes forces, la peur de sentir la roche sous mes pattes arrière, lâcher prise, me prenait littéralement aux tripes. Mes sens furent tous en état d'alerte, lorsque, j'entendis plusieurs craquements retentir à mes oreilles. Malgré, la patte que, me tendait ma sœur, ce fût encore, plus compliqué, lorsque, je sentie le sol, ce dérobé sous mes pattes.
- M...MARIA !!!! AU SECOURS !!!!
Maria :
- RAKA !!!! TA PATTE !!!! JE T'EN PRIE !!!! DONNE LÀ MOI !!!!
Raka :
La peur avait pris possession de mon esprit, sans parler de l'adrénaline. Je tend ma patte, en direction de ma sœur, malgré que, le "sol" continue de se fissurer sous mon propre poids.
- J...JE N'ARRIVE PAS À L'ATTEINDRE !!!!
À peine que, j'avais prononcé ces mots que, le sol céda sous mon poids, me faisant glisser le long de la falaise avant de me faire tomber dans le vide.
Maria :
- RAKAAAAAAAAAAA !!!!!!
Je pouvais entendre, Maria hurler mon nom, mais c'était trop tard. Je me sentais tomber avant de finir ma course dans le noir absolue. La dernière chose que, j'ai entendu, c'était mon nom s'éloigner au fur et à mesure de ma chute, jusqu'à ce que, le silence le plus complet finisse par m'envelopper dans le creux de ces bras chaleureux et à la fois glacée.
Fin.
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