30🍬Teenage fantasm
« Sérieusement, il faut que tu arrêtes de manger des cochonneries comme ça. Je sais que c'est de ma faute que tu aimes autant les nouilles instantanées mais tu dois te forcer à manger de vrai repas complet sinon tu vas avoir des carences. Je vais t'inscrire au fameux système de livraison de repas étudiant de l'Académie. Tu n'auras plus d'excuse. »
Roy passe une main dans mes cheveux blonds décoiffés par le vent alors que nous pénétrons dans le Crazy Chicks. À cette heure-ci et un lundi soir, le Diner n'est composé que d'adultes travaillant en ville et de quelques professeurs que je n'ai qu'aperçus sur le campus.
« Citrus ! On est là ! »
À l'exception de mes amis Pop et Wild qui ont répondu présents à l'invitation à diner avec mon tuteur.
Roy salue mes amis chaleureusement et vice versa alors que je m'empresse de me jeter sur la carte des plats, prêt à profiter de son argent pour me péter le bide ce soir.
— Alors ? Pourquoi est-ce que vous êtes amis avec Citrus ? Par pulsion malsaine ?
— Roy !
— Je l'aime déjà, murmure Pop en faisant un grand sourire.
— Pour moi, commence Wild, c'est à cause d'elle. Jamais je n'aurais approché un mec si acide de mon propre chef !
— Citrus m'intriguait et je voulais qu'il devienne mon sujet d'étude sociologique... Et c'est un parfait sujet ! Puis de jour en jour, c'est devenu un très bon ami, inattendu mais meilleur que je puisse avoir.
Je suis touché par les mots de Popcorn et suis obligé de me cacher derrière mon menu pour que mon rougissement ne se fasse par repérer... en vain. Le sourire de Roy en me jetant un coup d'œil va jusqu'à ses oreilles tellement il est heureux pour moi.
— Je suis vraiment content de vous rencontrer et je vous remercie de prendre soin de mon petit citron.
— La honte, bordel...
— Prenez tout ce que vous voulez, je vous paie tout ! Et racontez-moi le plus de choses possible !
— T'as tellement de chance d'avoir un tuteur pareil, Citrus. Allez, on sort les dossiers !
C'est étrange mais j'ai l'impression d'assister à une rencontre parent/prof.
Pendant tout le repas, les plats plus gras les uns des autres défilent sur notre table en formica blanc. Pop et Wild n'ont aucune race et raconte tout ce que j'ai fait depuis mon arrivée : le harcèlement, le groupe de musique, les sessions de jeu, les révisions, les contrôles déjà foirés, les soirées avec alcool, les rapprochements et surtout mes relations « amoureuses ».
— Tu as grandi en si peu de temps, Citrus.
— Ça te donne envie de chialer ? Sérieux les potes, vous n'étiez pas obligé de parler de TOUT !
— Le baiser avec Cotton, c'était une obligation.
Je fusille Wild du regard, lui et ses sourcils qu'ils montent et s'abaissent d'un air vicieux, attendant que j'avoue enfin mes projets concernant Cotton.
Sauf qu'avec toutes les informations de ces derniers jours, je suis toujours paumé et mon esprit est clairement obnubilé par une autre personne.
Un homme avec qui j'aimerais parler de notre passé commun, comprendre comment on en était arrivé à ce stade et découvrir la vérité sur cette relation « secrète ».
— Ça me gêne de parler de « ça » alors que Roy est ici.
— Tu veux me cacher quoi, mon garçon ? Je me doute bien que tu ne comptes pas rester vierge toute ta vie. J'espère que tu n'oublieras pas de te protéger, c'est important.
— Pitié, tuez-moi... La honte internationale... De toute façon Cotton veut que tout ça reste « secret ». Elle n'a pas le temps d'avoir un petit-ami et encore moins de s'afficher avec un mec à la réputation aussi sale que la mienne.
— Aie aie aie, intervient Pop en secouant sa cuillère couverte de glace, ça ne sent pas bon !
— J'avoue, poursuit Wild, une meuf qui veut garder une relation secrète, ça commence mal. Elle n'assume pas d'être avec toi alors que nous, on s'en mange tous les jours d'être tes p- AIE ! 'Me frappe pas, wesh ! Tout ce que je dis c'est que ce n'est pas ouf pour une première relation, je trouve.
— Ça va encore plus troubler ton jus de citron !
— Je suis d'accord avec tes amis, ajoute Roy en croisant les bras sur la table. Tu as besoin de stabilité et de relations saines. Psychologiquement, être un petit-ami caché pour toi, ce n'est pas bon. Tu dois lui en parler à cette fille si elle te plait vraiment.
— Mouais... J'irais la voir dans la semaine et j'aviserais.
— À part si tu as quelqu'un d'autre dans le collimateur ? Dans ce cas-là, ne te presse pas à te mettre en « couple » juste pour perdre ton pucelage.
Je fronce les sourcils, fixant mon dessous de verre et les restes de mon dessert, ne sachant quoi répondre.
Oui, elle m'intéresse mais pas maintenant. Pas aussi vite. Enfin je crois. Je n'en sais rien.
Putain, c'est chiant d'être un adolescent indécis. Depuis quand les relations amoureuses prennent autant de place dans ma tête que des problèmes de maths que je n'arrive pas à résoudre ?
« Et sinon, Citrus a eu des crises ? Je veux que vous soyez sincère avec moi. »
La question de Roy a totalement changé le sujet mais également l'ambiance autour de la table. Mes amis sont un peu gênés alors que j'en veux à mon tuteur de leur poser cette question.
Pop se contente de hocher la tête affirmativement alors que Wild détourne le regard. Roy se contente de soupirer avant de me regarder de ce fameux air que je déteste chez lui : un air de pitié.
« C'est bon, je vais bien. Je n'ai pas eu de crise depuis... un moment. »
C'est faux.
J'ai ressenti l'ancien Citrus prendre le pouvoir en embrassant Cotton. S'il n'avait pas pris le dessus, je ne l'aurais jamais embrassé tout simplement parce que je n'aurais pas eu l'audace et aussi...
Parce que j'avais Red en face de moi.
— Si tes amis sont là pour t'aider, ça me rassure. Mais si ça se reproduit, que l'un de vous m'appelle.
— D'accord monsieur, répondent en cœur mes potes.
— Citrus, ne fais pas cette tête.
— C'est toi qui as commencé.
— Je pense à toi et je ne veux que ton bonheur. Mais on reparlera de tout ça quand tu viendras me voir. De ça et de tout ce qui perturbe ton esprit se compliquant la vie pour rien.
Génial, j'ai hâte. Hâte de me faire disséquer par Roy se mettant en mode psychologue et troquant son rôle de « père » pour celui du chercheur.
Finalement, la venue de Red pour les vacances peut très bien tomber et m'éviter ça.
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Inspire, expire. Ce n'est que de l'eau. Qu'un cours de sport.
Tu vas plonger, secourir un mannequin à quelques mètres sous l'eau et faire quelques brasses. C'est tout. Pas de quoi mourir.
...Et ça devant la moitié de ta classe ainsi que d'autres élèves de dernières années qui non seulement veulent ta peau mais également se servir de chacune de tes peurs pour te faire un peu plus souffrir.
Yes, nickel.
Je sursaute en entendant la porte du casier à côté du mien se fermer violemment. Me retrouvant nez à nez avec le torse nu de Red. Ses doigts viennent enfermer ses dernières mèches rouges dans son bonnet de bain alors que ses lunettes vertes pendent à son cou.
Heureusement qu'il porte ces accessoires obligatoires pour le cours de piscine sinon, rien qu'avec son short de bain rouge, il ferait défaillir les âmes sensibles.
La mienne compris...
Putain, arrête de penser à ça. Red est un mec, et moi...
« Tu ne sais pas ce que tu veux. »
Un nouveau sursaut en entendant sa voix alors qu'il me dévisage, moi, toujours habillé de mon t-shirt manche longue et de mon survêtement de sport. Ma paire de lunettes et un bonnet dans la main.
— T'as pas besoin de mettre un bonnet, reprend-il en étirant ses bras musclés, tes cheveux ne sont pas assez longs. Y'a que moi dans tout notre groupe avec les autres filles qui est obligé.
— Ça a l'air de bien te faire chier.
— T'as pas idée. Tout me fait chier en ce moment de toute façon.
Un simple coup d'œil et je prends la pique pour moi. Je referme mon casier de la même façon et suis le groupe en direction de la piscine intérieure du gymnase.
Une piscine olympique servant à de nombreuses compétitions et entrainement pour des nageurs de haut niveau, avec de grandes vitres donnant sur une terrasse fleurie et piscine extérieure utilisée en été.
Des gradins sont de part et d'autre du grand bassin et comme je m'y attendais, il est rempli d'élèves mais surtout de filles en maillots de bain en train de glousser et de baver devant les torses musclés des sportifs dans l'eau.
Je repère Pina et sa petite bande de majorettes, pointant du doigt leurs camarades de classe jusqu'à ce qu'au loin une voix masculine m'interpelle et me demande de venir le rejoindre.
Wild, dans toute sa splendeur, fait également baver les filles alors qu'il n'est qu'assis de façon nonchalante. Il passe une main dans ses cheveux avant de me tendre son poing pour le saluer.
— J'ai l'impression que la majorité des mecs de l'Académie se doivent d'être bien foutus pour compenser un truc, genre, leur manque de personnalité.
— Tu m'attaques de plein fouet là ? T'es sérieux ? J'vais te pousser dans l'eau, tu vas rien comprendre.
— C'est de ta faute si tu t'es senti visé. Je n'ai jamais dit que je parlais de toi.
— Attends, je suis bien foutu. Tu me regardes. Bien sûr que je fais le lien.
Je lève les yeux au ciel et m'apprête à frapper la tête de Wild lorsque le sifflet du professeur de sport résonne. Je vois Red au loin mettre ses lunettes et plonger au deuxième coup avec d'autres garçons. Les filles pas loin de nous gloussent en le voyant sortir de l'eau et je sens que Wild va faire un commentaire mais se ravise en entendant la voix de notre professeur :
« CITRUS LIME ! Viens me voir, maintenant ! »
Inspire, expire, ne sois pas acide.
— Eh mec, m'interpelle Wild alors que je me lève, si y'a un souci, je suis là. Et si quelqu'un se fout de ta gueule, je suis prêt à les démonter.
— Même si c'est des filles ?
— Démonter des filles, sah quelle belle perspect- aie ! Je déconnais !
Après mon coup de poing sur l'épaule de mon pote, je file rejoindre le professeur qui me dévisage sévèrement de la tête aux pieds.
Il m'explique brièvement ce que j'ai manqué des cours de natation depuis la rentrée et souhaite évaluer mes capacités avec une série de longueurs. J'acquiesce en me retenant de faire une remarque sur son haleine ayant diablement besoin d'un bonbon à la menthe et regarde le bord de la piscine lorsque je vois un attroupement de garçons de nos deux classes nous rejoindre.
— M'sieur ! S'qu'on pourrait faire la course contre l'citron ?
— Tu devrais prendre des cours pour apprendre à parler correctement Mel, mais oui, ce sera un bon challenge. Mettez-vous en place. Et Citrus, dépêche-toi de te déshabiller.
— Y'a plus rapide comme méthode, m'sieur !
Le dénommé Mel aka Melon, un nouveau sportif de la bande à Punch mais étant dans ma classe et ne m'ayant jamais adressé la parole, me fait un grand sourire et m'invite à les rejoindre vers les plongeoirs.
Je me méfie légèrement même si habituellement, il ne fait pas partie de mes harceleurs, lorsque ce dernier vient me frapper le dos alors que je commence à enlever mon jogging.
— Eh mec, tu connais mon nom de famille ?
— Euh ouais, pourquoi ?
— C'est quoi ?
— Water pour « Water Melon ». Et alors ?
— Ça veut dire quoi, à ton avis ?
— Tu me prends pour un c-
Je n'ai pas le temps de finir ma phrase qu'un air vicieux a remplacé sa sympathie et que ses mains me poussent dans la piscine derrière moi alors que je suis encore habillé.
La tête sous l'eau, j'ouvre les yeux quittent à les défoncer avec le chlore, et lève la tête vers la surface.
Je pourrais très bien rester là et ne pas affronter leurs mesquineries et moqueries. J'ai été entrainé à l'apnée donc rester une éternité sous l'eau ne me dérangerait pas.
Soudain, une main traverse la surface et se tend vers moi pour m'aider à remonter, aide que j'accepte avant d'être « secouru » par Wild alors que les rires se font entendre depuis le bord mais également les tribunes.
« Pop m'avait dit de veiller sur toi parce qu'elle est dans le groupe de basket mais elle ne m'a pas interdit de leur péter la gueule donc... Un seul mot et je tabasse ce Mel pour toi. »
Je frotte mes paupières et secoue la tête pour retenir un Wild déjà bien énervé qu'on s'en soit prit aussi lâchement à son pote.
Ce con de Mel et ses potes sportifs continuent à se foutre de moi comme les filles dans les gradins mais le professeur de sport les fait tous taire d'un coup de sifflet. Nous sommant d'arrêter nos gamineries et de se mettre en place sur les plongeoirs pour la course.
Je pousse un énième soupir et sors les lunettes de piscine déjà mouillées de mon jogging avant de tapoter l'épaule de Wild :
— T'inquiète, mec. Ils ont tendance à me sous-estimer mais avec ce coup-là, je ne compte vraiment pas me retenir.
— Tu vas faire quoi ?
— Qu'est-ce qui est facile à briser chez un sportif ? Son égo. Montre-lui que quelqu'un de « plus faible » que lui peut en réalité être plus performant et il ragera tellement que ça suffira comme humiliation à vie.
— J'aime ce nouveau Citrus face à moi ! s'exclame-t-il. On dirait que tu te fais de plus en plus influencer par Red et c'est kiffant !
Je tique et me tourne instinctivement vers la droite où je vois Red m'observer alors qu'il sort de l'eau, les gouttes dégoulinants de son torse nu. C'est bizarre de le voir avec aussi peu de fringue qu'hors de notre douche commune.
Enfin... bref.
Nos regards se croisent alors qu'il retire son bonnet et secoue ses cheveux rouges. Même si nous sommes loin, je sens qu'il me défie du regard, comme s'il attendait ce moment où je serais prêt à combattre cette gêne de mon corps face à tous ces imbéciles.
Eh bien ce regard ajouté à la « blague » de trop de Mel, ça me provoque suffisamment pour faire tomber le reste de vêtement sur mon corps.
Je prends une grande inspiration, chasse mon envie de me cacher dans un trou, et retire mon t-shirt manche longue trempé avant de le balancer à côté de Wild déjà assis et sifflant face à mon corps habillé que d'un simple short de bain vert menthe.
Les sourcils froncés et une nouvelle détermination dans le regard, je marche d'un pas assuré jusqu'à l'opposé du bassin pour me mettre en position de départ pour la course. Pas un regard pour les gens dans les tribunes mais je sais que mon corps fait son effet car tout le monde s'est tut.
Ce silence me panique un peu mais lorsque je croise la route de Red, un simple clin d'œil de sa part me fait non seulement oublier cette gêne mais également agiter mon pouls.
J'arrive sur mon plongeoir et m'étire alors que les regards de mes adversaires sont braqués sur moi. Je jette un coup d'œil à Melon et ses grands yeux me détaillant au centimètre près avant qu'il ne passe de la surprise à un air menaçant.
Il veut gagner mais le pauvre... Il n'aurait pas dû presser le citron.
Il n'a aucune idée de ce dont je suis capable.
Le prof de sport souffle dans son sifflet pour annoncer le départ et je plonge comme j'ai appris à le faire dans ma piscine de laboratoire. Je me sens agréablement bien dans l'eau et j'adore sentir mes bras la trancher avec mon crawl à mesure que je nage frénétiquement en ligne droite.
Je ne relève que peu de fois la tête hors de l'eau et me concentre sur le muret en carrelage à l'opposé avant de le toucher de ma main et de me retourner en une roulade aquatique pour repartir à pleine puissance en plusieurs battements de jambes.
C'est à ce moment-là que je rencontre mes adversaires nageant toujours dans l'autre sens.
J'ai énormément d'avance sur eux et ils doivent déjà bouillir.
Mais même en sécurité, j'accélère. On m'a appris à toujours repousser mes limites physiques, à avoir les meilleurs résultats et même avec ça, ça ne « lui » suffisait pas.
Alors je continue, quitte à être à bout de souffle. Ici, je sais que je les bats tous et que cet instant est comme prendre une revanche sur tout ce que l'on m'a fait subir depuis des semaines.
Ouais, j'ai le corps d'une expérience de laboratoire, marqué par les cicatrices et tatoué comme un rat. Mais ce corps, il a été forgé exprès pour foutre la misère à des gars comme vous. Je suis suffisamment musclé où il faut et j'ai une endurance à faire pâlir.
Eh oui, ce regain de confiance en moi me fait même me vanter. J'ai l'impression que Wild a raison, je m'inspire de plus en plus de l'homme troublant mes sentiments.
Après les trois longueurs imposées, je remonte à la surface et pousse sur mes bras pour sortir de l'eau avant de relâcher ma tête en arrière et de passer mes mains dans mes cheveux. Mes lunettes de bain retiré, je vois encore mes adversaires épuisés à la traîne mais également le prof de sport qui court en claquette vers moi l'air affolé.
Oh putain, qu'est-ce que j'ai fait ?
« Citrus ! » s'exclame-t-il en me tirant pour me relever, « Rejoins l'équipe de natation de l'Académie ! Tu aurais toutes tes chances pour entrer en équipe nationale et participer dans quelques années au J-O ! »
Qu'est-ce que le fuck ?
Il agite son chronomètre face à moi alors que mes adversaires touchent enfin l'arrivée, énervés et me dévisageant comme si j'étais l'homme à abattre.
Lorsque je prends enfin conscience des bruits venant des tribunes : des applaudissements et des sifflements.
Les mecs restés dans les gradins me félicitent pour ma performance, d'autres sont encore abasourdis, mais c'est la réaction de toutes les filles présentes qui est surprenante...
Et comme l'avait prédit Popcorn.
Elles me pointent du doigt, me prennent en photo et semblent baver devant moi.
Oua. Passer du dégout à l'admiration, c'est très déroutant.
Alors il suffit juste qu'un homme se mette torse nu et montre ses capacités physiques pour toutes les faire tomber ? C'est si simple que ça ?
Ben putain, les teenage-movies avaient bien raison.
Votre rendez-vous du jeudi avec un Citrus tout trempé 🤭 Qu'avez-vous pensé de ce chapitre ?
De la rencontre et discussion entre Roy et les amis de Citrus ? De l'esprit encore troublé et le coeur qui balance de notre citron ?
Du moment à la piscine quand il a décidé de ne pas se laisser faire ? Que pensez-vous qu'il va arriver par la suite ?
Je n'ai plus de chapitre d'avance pour cette histoire, j'ai pris du retard avec l'écriture d'autres trucs donc euh... ben priez pour avoir la suite jeudi prochain ! 😅 Pour vous tenir au courant, n'hésitez pas à me suivre sur Instagram, je mettrais quelques infos en story si je suis à la traine 🥺
🍬N'hésitez pas à me donner votre avis en commentaire et à voter pour ce chapitre s'il vous a plu ! Ça m'apporte énormément ! On se retrouve (peut-être) jeudi prochain pour la suite !🍬
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