Des fois je me dis que j'apprécierais beaucoup revenir parce que vous me manquez.

Ils sont passés où les "ma belle soeur", les "lili" ou Juste les "ma petite boîte de ju de fruits" je devrais pas penser à ça, non je devrais pas parce que ça me détruit sur place.

Y'a pas un monstre qui a décider un jour de se cacher sous mon lit afin de me terroriser la nuit, non, je suis mon unique démon. C'est moi qui me suis infligée tout ça.

J'admets que quand je suis partie je voulais pas que vous me laissiez partir, mais en a peine une semaine vous m'avez oubliée, à croire que je n'étais pas une personne si importante que ça. Personne ne sait ce qu'il veut dans ce monde. À croire que nous sommes tous pareils. Si je dis que personne ne sait ce que chacun veut c'est tout simplement parce que quand je décide de faire surface Juste sur les réseaux sociaux, je n'ai pas demander à vous parler ni rien, et la vous venez aimer, commenter et quand ce sont des publications tristes...

il y a les messages privés qui arrivent. Ces messages privés qui disent tous la même chose. "Je serais toujours la pour toi" ou tu étais pendant tout le moi de janvier et de février? Ou étais tu quand j'avais le plus besoin de toi? Ou étais tu quand je pleurais en silence? Ou étais tu quand je saignais sans rien dire? Ou étais tu quand je hurlais mes raisons d'aller mal? Non. Tu as fait le sourd. Tu as décider de rester silencieux face à tout mes appels à l'aide. Tu t'es voilé la face devant mon cruel besoin de toi alors ne vient pas me dire une fois que la tempête se calme que tu seras la. Tu sais pourquoi? Non tu le sais pas.. Quand tu redonne signe de vie c'est comme si un tsunami venait m'engloutir et je me bat dans la tempête afin de garder la tête hors de l'eau.

Je me bats pour rester en vie et tu as désirer d'ignorer ma détresse. Comme tu voudras. Mais ne compte pas sur moi pour rester encore longtemps. Je ne veux plus me battre contre une tempête qui ne peut que l'emporter. Je n'ai plus la force de lutter. Alors si jamais un jour tu décide d'ouvrir les yeux. Dis toi que c'est trop tard. Parce que j'en ai fini.

01/03/17