ANAË

J'étais assoupie sur le volant de ma vielle voiture -une vielle Renault des années 1980- une seule douleur,ce mal crânien qui tambouriner dans ma tête.Mon visage d'une pâleur semblable à un cadavre et mon haleine un mélange d'alcool et de cigarettes.Je me rappeler juste être aller à une fête.
Sur la banquette arrière dont le cuir se lacéré,mon sac tomber à moitié par terre,à l'intérieur mon téléphone sonner.j'attrapa mon petit objet tactile qui continuer de sonner.

-Oui,oui j'arrive ! Dit-je comme si je parlais à ma mère.

-Allô, la police de winderburg à l'appareil,c'est bien Anaë ?Demanda une voix d'homme assez grave.

-Oui c'est bien moi mais....Je nue pas le temps de finir qu'il me repondi.

-Rentrer à votre domicile.dit-il plutôt Seraing.

j'arrive. dit-je sèchement ou plutôt désespère.

Je demarra le moteur de cette Renault qui mettait toujours un peu de temp à se mettre en route.
J'arrêta la voiture â côté de celle de ma mère.
Des filets jaune entouré notre maison américaine.
Un agent plutôt jeune je dirais la trentaine, Barbu et grand s'approcha de moi.
Il m'attrapa par mes poignets veineux et me poussa sur une chaise.Il m'expliqua.

-Hier soir ou plutôt ce matin très tôt votre famille fût assassiné à coût de couteaux....

-Huhuhuhiiheee !! J'éclatie en sanglots tandis que lui continuer à m'expliquer.

-Vous êtes notre premier suspect,vous êtes donc,le 12 février 2015 à 13h,mise en garde à vue.dit-il d'un ton si calme qu'on aurait pu croire qu'il parlait à son gosse.

-Quoi !!? Mais impossible...Mais non...Vous pouvez pas...Mais pourquoi !!crie-ai-je.

Je pleurais tellement que mon visage devint rouge,mes yeux eux étaient globuleux,cerné de Violet et bleu.Je n'avais plus de force,d'énergie.J'etait fatiguée,sans mot.Il me passa les menottes et m'emmena dans sa caisse de police dont les sirène bruyante réveillé toute la ville.

La voiture démarra à l'avant deux hommes un plutôt petit et Costeau et l'autre était le grand barbu.Une grille nous séparer,je sanglotais recroquevillé sur moi même.Ma peau était pâle couverte de bleu violet et vert.

Le véhicule rouler calmement,je pouvais apercevoir les champs de blé qui mourait au fil du temps.Ils s'arrêtèrent devant ce grand bâtiment.
Le barbu me pris par ces petits collier en fer  et m'emmena dans une pièce d'interrogation. Je fût assise sur une chaise en fer, devant moi une table et de l'autre côté un homme portant un costard cravate et des lunettes noir.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top