Chap 1 : Le retour
Main dans la main, les deux élus passèrent une des portes, mément à l'autre monde, a leur monde... Ils ne savaient pas combien de temps ils y avaient passé, ni combien leurs amis avaient changer car dans le pays des cités, le temps s'écoule différemment, il n'y a pas d'emprise et les deux jeunes élues, sont toujours en apparence les enfant qu'ils estait en y arrivent alors que maintenant ils savaient, ils savaient ce qu'ils y avaient à savoir.... enfin c'est ce qu'il croyait...
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Tao donnait des ordres à ses disciples de l'ordre du condor, se forcent à ne pas repenser à ses amis, sa famille qu'il n'avait pas revue depuis des dizaines d'années. Ses deux camarades dont il n'avait plus aucune nouvelle depuis qu'ils estaient partis seuls à la recherche de secret et lui le nacaal du groupe, il avait réussi à fonder son ordre, l'Ordre Du Condor, il en était fier mais se sentait extrêmement seuls.
Seul pas au sens premier du terme, il estaient bien entouré que ce soit par ses disciple et autres mais cella ne changeait rien au vide qu'il resentait au fond de son cœur depuis bientôt vingt ans, depuis que Lageurra et Mendoza avaient dû partir il ne sais où, l'abandonnent seul a Patala. Patala, village où il avait espéré être heureux avec la jolie Indali hélas il avait vue cette dernière épouse un autres homme et quitter le village.
Le naacal fut arracher à ses explications par le crie d'une de ses élèves, particulièrement brillante, Aurore. Tao se retourna, geste qu'il regretta quand il fût ébloui par une lumière dorée. La lumière se calma peut a peut et il distingua de silhouette familière qu'il pensait ne jamais revoir, il se precipita vers les deux ombre puis se stoppa net, en remarquant que ses deux amis avaient encore 13 et 14 ans.
Celui qui estait devenu adulte les regarda, se demandant comment c'estait possible tendis que les deux nouveaux arrivés regardaient l'homme assez longtemps avent de reconnaître leur ami de longue date.
"Combien de temps?" Lacha Zia s'en meme s'en rendre compte
La question flota quelque insulte dans un silence gêne, jusqu'à ce que la petite fille qui avait précédemment interrompu son professeur, demande au deux enfants.
" Vous estez Esteban et Zia?"
Ce que a quoi le jeune brun acquiesça. Un nouveau silence s'en suivit, les deux elues mains dans la main, estaient observés comme un nouveaux projet d'étude par les apprentis de Tao et par ce dernier comme un miracle. Zia et Esteban, eux ne prouvaient lâcher leur regard de Tao, hésitant entre disparate et le prendre dans leurs bras, interrogation qui fut veine car ce fût celui devenu adulte qui les prit dans ses bras après de longue minutes d'observation, tout en s'exclament :
"C'est formidable!"
Les trois amis lesserent coulés quelque larmes quand un tousotement les interrompit. Les trois héros levèrent la tête et découvrir un homme au cheveux gris d'une cinquantaine ou soixantaine années, Tao le reconnu immédiat puisqu'il vivait quelque peux au même endroit, Esteban et Zia; eux urent beaucoup plus de mal, finalement, Esteban coura et pris dans ses bras son père.
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A l'autre bout du globe, un homme et une femme se regardèrent amoureusement comme des adolescents pourtemps ils ne l'aitaient plus de puis bien longtemps, ils ne c'estaient même jamais connus à cette âge. Les deux amants c'estaient rencontré en Inde il y a vingt-cinq ans maintenant mais s'aimaient encore comme au premier jour.
L'homme se leva est s'approcha des bareau qui le retenait depuis quinze ans maintenant, il tendis la main au travers comme pour espérer toucher la main de sa belle enfermée depuis au moins autent de temps dans la cellule d'en face. La belle en question imita le geste de son âme sœur, quelque centimètres séparé leur mains, car telle estait leur cruelle punition : condamner jusca leurs fins à se voir, à se parler mais sans jamais pouvoir ne serait-ce se pendre la main.
Les deux duellistes avaient bien tenté de s'échapper mais les barreaux qui les retenaient avaient à chaque fois résisté, une cage dorés fait d'orichalque, sans serrure et sans porte d'entrée ni de sortie, enfin si mais la commande ne répondait qu'au son de la voix de leur geôlier, un homme qui en vingt-cinq ans n'avait pas changer d'un poile, toujours aussi méchant et toujours aussi jeune si on pouvait le caractériser ainsi. En vingt-cinq ans il n'avait pas pris une seul ride et aucun cheveux blanc ne venait sridé sa tignasse rousse.
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Ambroise de Sarle car telle estait son nom, avaient poursuivit ses recherches et ses projet fou durent les dernières décennies. Grace a l'expérience qu'il avaient mené jadis, dans le coeur de l'ancienne base olmeque, il avaient réussi à obtenir se qui ressemblait à si méprendre a la jeunesse éternelle mais l'alchimiste savaient que cette jeunesse n'estait que ralenti et qu'il finirait par mourir un jours et c'est pour cella qu'il avaient besoin de l'aide des enfants qui sellon lui devait avoir bien grandi depuis le temps.
Il retenait depuis quinze années le couple formé de la traîtresse et du capitaine, il les avaient fait capturer dans la cordillère des Andes par ses nouveaux sous-fifres, pour avoir des réponses sur ou se trouvait le trio d'énergumènes qui avaient découvert les sept cités, mais les deux amoureux c'estaient toujours tue quitte à supporter le supplice que leur ennemi avaient concocté spécialement pour eux.
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Esteban, regadait son père vieillit, son meuilleur ami devenu adulte, combien de temps avaient-ils passé dans ce monde parallèle? Se demandait le jeune élue sans pour autent posé la question de peur de la réponse.
Ce fut Zia qui la reposa, cette fois ci, bien conciente de ses paroles. Elle devait savoir, elle en avaient besoin. La réponse ne tarda pas, Tao lui répondit une lueurs triste dans les yeux.
"Vingt cinq ans, jours pour jours..."
Les deux élues se regardèrent incrédule, ils avaient donc louper vingt cinq années. La jeune fille pensa rapidement à ce qu'ils avaient bien put ratée d'important durent ce temps. La réponse qui s'imposa à elle estait trop de chose, réellement trop de choses.
"Ou est Mendoza ? Demanda Esteban
- Nul ne le sais Gamin." Fit une voix derrière eux.
Gaspar venait de pointer le bout de son nez à la porte, hésitent à entre dans la salle de classe. Zia le regarda et lui sourit, tout comme le fils du soleil. Ils estaient content de le revoir et l'ancien marin aussi meme si il ne l'avouraient sans aucun doute jamais...
" Comment ça "nul ne le sais"? Qu'est ce qui c'est passé durent notre absence?
- Trop de choses, beaucoup trop de choses qui pourtemps tiennent en quelques mots... Fit Tao las
- Comment ça? Demanda Zia intriguée
- Tout simplement, Zares est revenu, exactement comme avent, si ce n'est qu'il est plus fort..." Fini Tao liassent ses deux amis abasourdis.
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