Chapitre 8 : le Kazan et l'Harikēn
Bonjour, alors je n'ai pas l'habitude de raconter une histoire donc soyer indulgent. Au faite, je m'appelle Teido et je vais vous dire ce qu'il cest passé après que jai gelé Sunaarashi.
- Euh, ben ça va ?
- Pardon ! Tu me pose cette question alors que tu ma gelé sur place.
- Degré zéro.
- Hein ?
Le regard interrogateur quelle me lança. Je vit ses yeux magnifiques, couleur gris perle, je croit que jai rougit car elle a tourné le regard.
- Cest mon deuxième pouvoir, celui avec lequel je me bat et le feu bien sûr.
Au fil du temps je la vit commencé à trembler et ses lèvres étaient devenue bleu. Je donc prit un décision logique, même si risqué pour moi, je la libérait petit à petit de la glace dans laquelle elle était piégée.
Elle me regarda profondément, comme si elle voyait mes pensée. Je me mit en position de défense, eu cas ou elle me saute dessus mais visiblement rien.
Elle me jeta un regard avant de s'exprimer.
- Tu crois vraiment que je vais attaquer alors que ta glace ma engourdie les jambes. Alors tu rêve, même mes ailes ne bougent plus que veut tu que je fasse.
- Euh...
Je me rapprochait d'elle. Elle eux un mouvement de recule mais s'abstint daller plus loin car, je le vit, elle serait les dent, elle ne pouvait plus bouger pour l'instant.
Son regard se posa sur moi avant de se détourner. Elle s'avait ce que j'avais en tête.
Je m'approcha encore jusqu'à me dire que j'étais assez près et j'allumais une flamme.
Oh oh du calme je n'allait pas la tuer.
Je m'aprochait encore jusqu'à sentir souffle sur mon coup. Elle était plus petite et maigre que moi. Ça se voyait au premier coup d'oeil.
J'aprochait des branche et j'y mit feu. Elle se rapprocha comme elle put de se feu je l'enveloppait de ma cape. Et je m'éloignais d'elle à nouveau. Mais elle me retint, elle se leva péniblement et me demanda
- Pourquoi tu fait ça ?
- Parce que... je... euh...
Sans attendre ma réponse elle m'embrassa. Je tomba à la renverse, elle tomba avec moi.
Cetait le signe que j'attendais. Elle m'aimait donc elle aussi.
Je la prit dans mes bras. Elle eux un faible sursaut mais ne recula pas. Petit à petit elle s'éloignait de moi pour se remettre près du feu. Ces yeux gris devenaient jaune presque d'une teinte similaire à mes yeux. Une couleur orange se fondit alors dans son regard.
Elle sortit un objet assez long dune petite besaces. Une flûtes de couleur pâle, plus pâle encore que sont visage.
Elle commença à jouer un air.
Cette air était doux et calme. Ont entendait plus que le bruissement des feuille qui dansait sur la musique. Une volute de fumée se forma autour d'elle je comprit que c'était du vent. Avec, elle éteignit le feu.
Elle arrêta et me regarda profondément. Elle se mit à jouer une mélodie bien différente, plus triste je dirait. Mais pourquoi jouer cette musique maintenant. Une vague de tristesse émanait de Sunaarashi. Je ressentit presque ce quelle ressentait elle.
Elle s'arrêta et me fixa longuement puis, en silence, elle rangea sa flûtes et me regarda à nouveau.
Je compris alors une chose importante qu'elle avait voulu me dire à travers la musique.
- Tu a déjà joué cette air à quelqu'un n'est-ce pas ?
- Oui mais cette personne ma trahis et quand on trahi le sceau de l'amour. On souffre pour l'éternité.
- Le sceau de l'amour ?
- Une sceau magique que nous seule pouvons reprendre. Je le joue quand je suis triste ou que je me rappelle de quelqu'un.
- Attend je crois avoir lu ça quelque part. Notre clan c'est toujours demander pourquoi vous faisiez les cérémonies de mariage ou encore pourquoi vous étiez là à des funérailles qui ne sont pas les votre. J'en conclue que...
- Oui, nous somme les seul à pouvoir briser le sceau ou les seul à pouvoir le mettre en place. Mais à ne pas si méprendre, nous n'avons pas tous les mêmes mélodies.
- Oui je m'en doute.
- Comment ça tu t'en doute. Elle me regardait outré.
- Eh ben, quand jai été bannie je suis venue ici directement sachant que l'eau ne m'accepterait pas et que la foudre et la terre ne sont pas de bonne humeur pendant la guerre.
- Dacord et donc ?
- En vous observant de loin jai remarqué que vous jouer tous d'un instrument, mais même si il sont similaires, parfois différant, aucune mélodie nest pareil.
- Exactement car pour nous copier c'est trahir.
- Je comprends.
Elle me regardait fixement. Je remarquait quelle n'avait plus le lèvres bleu. J'étais rassurée pour elle.
Un peu plus tard je la ramenait à l'hôpital. Elle me dit quelle se debroullerait avec le médecin mais quelle voulait me voir la nuit prochaine.
Je me demande ce qu'elle prépare ●¿● ?
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