Chapitre 4 (dernier chapitre)
2 semaines. Ca fait déjà 2 semaines que l'on erre dans les rues du Japon de l'Est, recherchant désespérément Happy, le chat bleu pour certain et Happy l'Exceed envoyé par Edolas pour d'autres, nous faisons partis de la catégorie des autres. Ces derniers jours, nous avons évolué jusqu'à Rose Marie. Mais nous avons été surpris à voler de la nourriture, nous n'avions plus d'argent pour manger et pas de temps pour mendier.
- Eh ! Vous là ! Reposez ça tout de suite !
- Merde ! C'est des gardes !
- Lucy, on fait quoi ?
- A 3, on se met à courir.
- Ok !
- 1... 2... 3 !
On commença à s'enfuir, nous courions aussi vite que nos jambes pouvaient nous le permettre, mais ne connaissant pas la ville de Rose Marie aussi bien que les autres villes dans lesquelles nous étions passés, et malgré le fait que ce soit la ville natale d'Erza, on se retrouva dans une impasse.
- Vous êtes en état d'arrestation !
- Lucy, on va à l'offensive, Natsu et toi, vous devez escalader, retrouvez Happy !
- Grey ! Les gars !
- Vite Lucy ! On à pas de temps à perdre ! On reviendra les chercher plus tard !
- Ok !
Alors que je commençais à escalader, ma main se posa sur un bout de papier. J'attrapai le papier, pour remarquer qu'il s'agissait d'une lettre, une lettre qui m'était destinée. Une fois arrivés sur le toit de la maison que nous venions d'escalader, j'ouvris la lettre, sûrement étais-ce un autre indice de notre cher kidnappeur. Mais il n'y avait qu'une seule et une phrase sur la feuille jaunie qui était à l'intérieur de l'enveloppe ; "Tu reconnais mon écriture, Lucy ?" Mes yeux s'écarquillèrent, oui, je reconnaissais cette écriture, je ne la connaissais que trop bien.
- Ca va pas Lucy ?
- Si, si, ça va...
- Alors pourquoi tu fais cette tête ?
- Je sais où est Happy, les gardes, tout ça, ça faisait partie du plan de cet homme...
- Tu connais la personne qui à enlever Happy ?
- Je la connais même trop...
- Comment ça ?
- Pas le temps de t'expliquer, on retourne à Magnoria !
- Tu sais où cette personne habite ?
- Malheureusement, oui.
- On y va !
Nous marchâmes durant de longs jours, sans manger avec seulement un peu d'eau. On rriva finalement à Magnoria, devant cette immense bâtisse. En voyant la porte s'ouvrir, je compris qu'il nous attendait. Je sentis mon coeur se briser, puis l'instant d'après plus rein. C'est ce que ressentais. Rien, absolument rien.
- Nous vous attendions mademoiselle. m'informa une jeune femme se tenant devant la porte pour nous accueillir
- Ca je l'avait bien compris.
- Veuillez m'excuser, mais cet homme ne peut pas venir avec vous, monsieur ne veut voir que vous.
- Je n'entre pas s'il ne vient pas. Sinon, je risquerais de le tuer avant qu'il ne voit apparître dans son bureau.
- Très bien, mais vous serez seule autorisée à parler.
- Il vous le communique dans l'oreillette pas vrai ?
- C'est exact.
- Merci pour l'accueil.
- C'est normal voyons !
Je ne lui prêta plus attention et commença à monter les nombreuses marches de l'escalier qui me séparait du bureau de cet homme.
- Tu connais bien cet endroit ?
- On peut dire ça comme ça...
- C'est cette pièce ?
- Oui.
- Tu es sûre ?
- On ne peut plus sûre.
- Alors toque.
- Pas la peine.
Je ne pris pas le temps avec des formalités et j'ouvris la porte du bureau.
- Lucy ! Ne t'ai-je jamais appris à toquer ?
- Ne vous a-t-on jamais apprit à ne pas kidnapper les autres ?
- Petite insolente !
- Ne me parlez pas de la sorte !
- Tu t'es acheter de la force et du caractère à ce que je vois...
- Non, je n'ai rien acheter, j'ai simplement vendu mon intérêt envers vous.
- Comment oses-tu ?!
- Qu'importe.
- Je suis ton père, Lucy !
- Vous n'êtes et ne serez jamais mon père !
- Je te demande pardon ?!
- Mon ami et moi mourrons de faim, faites nous préparer quelque chose à manger, nous attendrons notre repas dans la salle à manger.
- Il en est hors de question Lucy ! Tu restes ici ! Visiblement, il faut que l'on parle.
- Je ne serai pas disposer à parler avec vous tant que je n'aurais pas manger.
- Très bien, dans ce cas, nous parlerons devant notre repas.
- Qu'il en soit ainsi.
Natsu et moi suivîmes mon père jusque dans la salle à manger, mais il se peut que mon comportement ait dépassé les bornes.
- Bien asseyez-vous tous les deux.
- Levez-vous de cette chaise.
- Je te demande pardon ?
- Vous n'êtes pas digne de vous assoir à la place de maman. C'est moi qui m'y assiérai.
- Très bien, alors...-
- Natsu ! Assieds-toi à ma gauche.
- C'est une plaisanterie j'espère ?
- Votre place est et a toujours été à ma droite, pourquoi cela changerait-t-il ?
- Très bien, je m'y assiérai.
- En même temps, je ne vous demande pa votre avis, vous n'avez pas d'autre choix.
- Excusez-moi messieurs, mademoiselle...
- Père ! Vous allez beaucoup trop loin !
- Lucy ! Calme-toi !
- Tais-toi Natsu !
- Je ne vois pas le problème, quel est-il ?
- Vous embauchez des enfants pour vous servir d'hommes et de femmes à tout faire !
- Mademoiselle, inutile de vous énervez vous savez, j'ai déjà 13 ans, ce n'est rien de travailler.
- 13 ans... C'est l'âge que j'avais quand j'ai fugué loin de vous.
- Tais-toi donc ! Personne n'a demande à une servante de nous raconter sa vie ! hurla mon père en giflant la jeune fille
- Comment osez-vous ?!
- Tu me parles sur un autre ton Lucy !
- Il en est hors de question ! Croyez-vous que maman approuverais ve que venez de faire ?!
- Tais-toi espèce de petite insolente !
- Et pour quoi faire ?! Pour vous regarder détruire la vie d'une enfant qui ne vous a rien demander ?! Ou bien pour m'avoir battue à sang après la mort de ma mère ?!
- Ca suffit Lucy !
- Suffire de quoi ?! De dire la vérité ? Ou peut-être prévoyez-vous de mentir en disant que tout ce que je dis est faux ?
- Lucy ! Tais-toi et rassieds-toi sur ta chaise !
- Mais dites-moi... Père ?
- Oui ?
- Quel est ce sentiment que je perçois dans votre regard ?
- De quoi parles-tu ?
- De la honte ? Du dégoût peut-être ? Se pourrait-t-il qu'il s'agisse de peur ? Admettez-le, père Je ne vous connais que trop bien
- Mademoiselle, s'il vous plaît...
- Père.
- Que me veux-tu encore ?
- Sortez deux minutes. Natsu et moi-même aimerions bien nous entretenir avec cette petite. En privé.
- Très bien.
Après plusieurs minutes à questionner l'enfant, j'appelai mon père. Lorsqu'il ouvrit la porte de la salle à manger, je l'assommai à l'aide d'un porte-bougies.
- Monsieur !
- Ne touche pas ce gros porc et emmène-nous là où est retenu prisonnier notre ami.
- Tout de suite !
*
- Voilà, nous y somme.
- Très bien, merci.
- Puis-je repartir ?
- Les gens d'ici te connaissent ? questionna Natsu
- Non, désolée.
- Alors tu peux partir.
- Merci, bon courage à tous les deux.
- Merci à toi. lui fis-je avec un grand sourire
- Entrons.
- Oui... Messieurs, permettez-moi de jeter un coup d'œil. C'est père qui m'envoie.
- Vous êtes de retour mademoiselle ?!
- Oui, je n'aurais jamais dû partir. Mais, je suis là maintenant.
- C'est tout à votre honneur, mais malheureusement, vous ne pouvez pas entrer sans autorisation écrite.
- J'en ai une.
- Montrez-la-moi.
- Bien sûr, tenez.
- C'est bien l'écriture de monsieur. Vous et votre ami pouvez entrer.
- Merci !
Après s'être éloignés de quelques mètres, je soupirai.
- Trop facile...
- Nan, t'es juste trop forte Lucy.
Sur ces mots, Natsu m'enlaça tendrement et se sentis le rouge me monter aux joues.
- Ca va ? T'es toute rouge.
- Oui, ça va, j'ai just un peu chaud.
- C'est vrai qu'il fait chaud ici. Une véritable fournaise.
- Tu as un adorât très développé non ?
- Oui.
- Alors, sers-toi-en pour localiser Happy.
- Happy ? Le petit chat bleu ?
- Oui, c'est ça... Grand frère.
- Grand frère ?!
- Longue histoire...
- C'est ton petit copain ?
- Nan, pas encore. lança Natsu
- Pardon ? Qu'est-ce qu'il raconte ?
- Je sais pas, même moi j'étais pas au courant.
- Je vois... C'est la cabine 112, voilà la clé.
- Merci frangin.
- De rien.
Nous nous ruâmes dans les immenses couloirs de la zone interdite au public, nous avons errer de longues minutes avant d'enfin trouver la cabine indiquée par mon frère. Je fis pénétrer la clé dans la serrure et tourna la clé, déverrouillant la porte.
- Qui... Qui est là ?... demanda une petite voix toute tremblante
- Happy ! C'est moi, Natsu !
- Natsu !... soupira-t-il de soulagement, commençant à pleurer
- Attend Natsu !
- Mais pourquoi ?!
- Il faut d'abord défaire ses liens.
Natsu s'approcha calmement du jeune Exceed et défît les liens qui le retenait prisonnier et l'enlaça. Quelques mois plus tard, presque tout était redevenu normal. J'étais partie chercher mes amis au commissariat de Rose Marie pendant que Natsu emmenait Happy se faire soigner par Wendy et Poluosica (jsp si ça s'écrit comme ça), mes amis n'étant pas près psychologiquement aux sermons auxquels ils auraient droit ont attendu plusieurs semaines avant de retourner à la guilde, j'ai participé à une interview diffusée en direct à la télé concernant l'incendie de mon manoir, durant l'interview, je n'ai dit que la vérité et j'ai détaillé tout ce qu'il s'était passé, y compris mon arrivée chez mon père, qui a été condamné à 15 ans de prison ferme, à 800 000 joyaux d'amande et au licenciement de tous ces domestiques ainsi que d'un dédommagement pour chacun d'eux. Suite à tout ça, j'ai été mise en examen et nous avons bons ensuite découvert que certains de mes invités comme le frère de Natsu avaient eu le temps de fuir au moment de l'incendie. En 3 mois, il s'en est passer des choses. Mais ai-je précisé qu'entre temps, les choses entre Natsu et moi avaient été officialisé et que, monsieur ayant des pulsions à longueur de temps a réussi à me faire tomber enceinte en un temps record ? Je crois que non.
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