Jour de la répétition générale. Mes amis et moi attendons de pouvoir discutez avec le directeur. Nous sommes assis sur des chaises rouges en ferrailles. A côtés de nous, un autre groupe attend. Cependant, eux, participent.
« Bonjour, nous salut celle qui me semble être la batteuse de son groupe, je m'appelle Marion.
Elle a de jolie lunettes noir et des cheveux bruns ondulés qui retombent en cascade sur ses épaules.
- Bonjour, marmonne Charlie.
- Vous allez jouer qu'elle chanson ? Demande t-elle.
- Nous ne participons pas, rembarre Faustine qui n'a visiblement pas envie que la
discussion continu.
Marion paraît surprise mais poursuit tout de même.
« Pourquoi êtes vous la si vous ne participez pas ?
- Ça ne te regarde pas, fulmine Faustine.
- Allez ! Dites ! Ça doit pas être si grave !
- Que ce qu'elle n'a pas compris dans ça ne te regardes pas ? Gronde Faustine.
- Vous êtes les enfants du directeur ? Demande encore Marion.
- Ouai, c'est exactement ça ! Crache Faustine, et si tu nous adresse encore la parole, on
te disqualifie, toi et ton groupe !
Derrière ses lunettes, les yeux de Marion s'agrandissent de stupeur, mais elle comprend bien vite le super humour de Faustine.
- Je crois que nous sommes partis sur de mauvaises bases, déclare t-elle, reprenons
tout depuis le début. Bonjour ! Je m'appelle Marion et vous ?
- Je suis Charlie.
- Je m'appelle Esteban.
- Je m'appelle Alexandre.
Faustine marmonne des phrases incompréhensibles mais annonce malgré elle :
- Je m'appelle Faustine.
- Ah ! Ravis de faire votre connaissance ! Alors ? Vous voulez bien me dire pourquoi vous
ne participez pas ?
Après mur réflexion, c'est Esteban qui si colle.
- Nos instruments ont été ruinés... avoue t-il, comme nous n'avons plus d'
instruments, nous sommes destinés a ne pas participer. Nous attendons de pouvoir nous entretenir avec le directeur pour lui annoncer la mauvaise nouvelle.
- Attendez deux minutes ! Fanfaronne Marion.
Elle se détourne de nous pour regarder ses amis et leur dit des mots que je ne n'arrive pas a comprendre.
Enfin, elle se retourne vers nous et nous souris a pleine dents. On pourrais compter le nombre de bagues dont elle dispose.
- Avec mon groupe, nous voulons bien vous prêter nos instruments, dit-elle fièrement.
- Quoi ?!!! Hurle Charlie. C'est plus beau jour de ma vie !
Faustine n'est pas moins étonnée. Ses yeux reflète une telle stupéfaction que j'en rit.
Esteban non plus n'est pas épargné. Ses mains tremblent et un franc sourire se dessine sur son visage.
Comme le dit si bien Charlie ; C'est le plus beau jour de ma vie !

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Salut tout le monde ! Je publierais le dernier chapitre vers mi - avril