Chapitre 5
Cinq mois sont passés. La feuille d'inscription est envoyer et les répètes s'enchaînent.
« Je suis désolée, mais ce soir je ne pourrais pas faire la répète, annonce Faustine.
- Comment ça ?! Couine Charlie.
- Laureen m'a proposer de rester avec elle. Avec toutes ces répètes, j'ai besoin de prendre
l'air.
- Laureen ? Demande Esteban.
- Oui, répond Faustine, je vous signale que je n'ai pas que vous comme amis.
- Mais le concours est dans seulement 1 mois ! Riposte Charlie.
- 1 mois c'est pas la fin du monde, si ? On aura tout le temps nécessaire pour s'entraîner.
- Bon, cède Esteban, je crois que sa décision est déjà prise.
- Exactement, assure Faustine.
- Moi, je vais quand même répéter, annonce Charlie.
- Je t'accompagne, je lui propose.
- Je viens aussi, déclare Esteban.
C'est ainsi qu'a 9h tapante, mes amis et moi marchons vers la place de la bibliothèque.
L'atmosphère est tendu sans Faustine, mais il faut faire avec.
Quand nous arrivons, j'ouvre la porte et nous rentrons.
C'est Esteban qui voit le massacre en premier.
« Oh mon dieu ! Les gars venez voir ça ! Hurle t-il.
Charlie et moi nous précipitons a l'intérieur et manquons de nous évanouir.
La salle est saccagée, le piano est renversé, la batterie est défoncée, les tambours crevés, le micro est cassé et ma guitare, ma merveilleuse guitare a les cordes coupées. Ses autocollants sont enlevé et déchirer.
« Qui a fait ça ?!!! Je braille.
Mes amis sont tous aussi bouleversés. Ces instrument, ont les a payer avec notre argent de poche. Qui a bien pu faire ça ? La réponse me vient presque instantanément : Les Musiciens du Tonnerre !
Seulement, Charlie a trouvé quelque chose qui prouve que j'ai tort.
Il tient un collier en argent dans sa main, une étoile est a son extrémité . Cependant, ni Emma, ni Miya ne porte de bijoux. Qu'il soit de valeur ou non, elles détestent les breloques de ce genre. Et André et Thomas, ce sont des garçons après tout. Et les garçons ne porte pas de bijoux avec une mignonne petite étoile au bout.
Alors qui a fais ça ?! Et pourquoi ?!
« Il faut que je prévienne Faustine, je lance.
Je n'attends même pas de réponse de mes camarades. Je sort mon téléphone de ma poche a la va-vite et compose son numéro. Pourvu qu'elle est rechargé son portable !
Heureusement pour moi, elle décroche.
« Quoi encore ? C'est la première phrase qu'elle prononce.
- Nos instruments sont carrément saccagé, je hurle au combinée.
- Quoi ?! Je l'entend répondre.
- Oui !!! Il faut que tu vienne immédiatement ! Ta soirée shopping peux attendre !
- C'est pas du shopping, riposte t-elle.
- Je m'en fous ! Viens !
Faustine me raccroche au nez. Bon ou mauvais signe ? J'espère que s'est un bon. Il le faut en tout cas.
Je rejoins mes amis et la vu de ces pauvres instruments suffit a me faire monter les larmes aux yeux. Si nous n'avons pas d' instruments, c'est égal a nous disqualifier de la compétition.
Celui ou celle qui a commis ce désastre devait être courant des instruments personnels a ramener. Et il devais aussi savoir a qu'elle salle nous répétions.
Encore une fois, je ne vois qu'une solution : Les Musiciens du Tonnerre.
Pourtant, je sais qu'ils préfèrent se mesurer a nous en combat égal. Ils sont peut-être provocateurs et odieux mais ils ne sont pas lâches et hypocrites.
Des millions de questions s'abattent sur moi en même temps, néanmoins, je n'ai pas le temps de répondre a toutes car on toque a la porte.
Je bondit sur mes pieds et va ouvrir. C'est Faustine ! Qu'elle soulagement !
Ma joie est telle que je la prends dans mes bras. Je recule dés que je me rend comte de mon geste. Par contre, elle, semble amusée. Je la laisse entrer et elle me regarde avec un sourire taquin.
Ses beau cheveux sont retenu en queue de cheval haute et ses yeux brillent de... joie ? Je ne saurais le dire.
Nous rejoignons Charlie et Esteban et quand Faustine aperçoit le désastre elle reste interdite.
« Ah ! Tu es venus ! S'exclame Esteban.
Elle hoche la tête en silence.
- Qui a fait ça ? Demande t-elle incrédule.
- Celui a qui appartient cette chaîne, répond Charlie en lui montrant le collier.
Faustine le regarde et ouvre la bouche. Seulement, rien ne sort. Elle le prend délicatement et l'observe de plus près.
- Ce collier appartient a Laureen, finit-elle par annoncée, elle ne l'avait pas aujourd'hui
alors qu'elle ne l'enlève jamais. Je lui ai demandé si elle l'avait perdu, elle a parut gêné et m'a finalement répondu que la fermeture s'était cassée... Mais pourquoi a t-elle fait ça ?!
Une larme coule le long de sa joue mais elle l'essuie d'un revers de la main et jette la chaîne par terre. Le collier est propulsé contre le mur et retombe dans un cliquetis.
- Comment va t-ont faire pour participer maintenant ? Bafouille Faustine.
- C'est simple, commence Charlie, on ne participe pas. On va a la répète général a la
salle des fête et on leur explique qu'on nous a cassé notre matériels.
Lui même n'avait pas l'air convaincu de son propre discours.
- Ça ne peux se terminer comme ça ! Proteste Esteban.
- On est obliger, je lâche, il n'y a pas d'autre solution. On aura pas le temps de repayer
d'autre instruments.
Nous baissons tous la tête, déprimés et en colère. Seul Esteban refuse de comprendre que ça doit se terminer comme ça. Il tourne en rond dans la salle a la recherche d'une autre possibilité. Cependant, il n'y en pas. Pas la peine de réfléchir des heures a un problème qui ne se résout pas. C'est comme ça. The Crazy Team ne participera pas, point.
A la fin, nous décidons de rentrer chez nous pour prévenir nos proches de la mauvaise nouvelle. C'est triste comment ça finit, mais nous ne sommes pas responsable de ce qui s'est produit. Avant de retourner chez moi, je fais une petit détour vers un café ou je suis sur de la trouver. Effectivement, elle est la. Cheveux blonds, grands yeux bleus. Laureen.
Je m'approche d'elle a grands pas. Elle ne pas encore vu. Tant mieux.
Quand je suis assez près, je la prend par les épaules et la retourne d'un coup sec vers moi. Elle paraît surprise, normal.
Elle me regarde de ses grands yeux et me sourit.
« Alexandre ? Que vient-tu faire ici ?
- Tu le sais très bien, je siffle entre mes dents.
- Euh... Non. Qui y a t-il ?
Je lui tend sa chaîne que Charlie m'a confié avant de partir.
- Oh ! Tu as retrouvé mon collier porte-bonheur ! Merci !
- C'est tu ou je l'ai trouvé, je lui demande.
- Non, où ?
- Arrête de faire ton innocente ! Je tempête, tu le sais mieux que moi !
- Quoi ?! Non !
Mais trop tard, ses joues deviennent rouges comme des tomates et ses mains tremblent.
- C'est tu combien coûte les instruments que tu as si bien détruits ?
- Je ne vois pas de quoi tu parles, prétends t-elle.
- Pourquoi as-tu fais ça ?! Je lui demande de plus en plus agacé.
- A ton avis ? Dit-elle, mais cette fois, des larmes coulent en abondance sur ses joues.
- A mon avis ?! C'est a moi que tu demandes ça ?! Dit moi la vérité !
- C'est... c'est, renifle t-elle, a cause de Faustine.
- Faustine ! Qu'est ce qu'elle t'a fais bon sang ?!
- Tu ne vois peut-être pas, mais vous formé un vrai groupe soudés, vous faites de la
musique, vous riez... Vous êtes de vrai amis, vous au moins...
- Et en quoi ça te dérange ?! Je la coupe.
- Moi, depuis mes 6 ans, je suis seule ! La vie est trop nulle, je voulais réparée cette injustice !
- La réparée en rendant les gens aussi triste que toi ?! Honnêtement Laureen, tu me déçoit...
Laureen tourne la tête. Elle a honte. Et elle de quoi !
J'en ai assez entendu, ce qui est fait est fait. Je tourne les talons sans un regard en arrière.
Quand mes parents apprennent la nouvelle, ils sont aussi triste que moi. Mais bon... Charlie, Esteban, Faustine et moi iront quand même a la répète général. On pourra voir les concurrents que nous aurions pu affronter. Et surtout, voir de quoi est capable le groupe d'Emma. Mine de rien, nous ne les avons jamais entendu.
Néanmoins, je suis très en colère contre Laureen. Je n'aurais jamais cru pouvoir haïr autant quelqu'un. Mes amis et moi avions tellement travaillés ! Tout ça pour n'aboutir a rien a la fin... C'est désolant.
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