Chapitre 1.


Vous êtes vous déjà sentit comme sale en vous ?
Vous êtes vous déjà regardé dans le miroir et n'avez pu qu'apercevoir la noirceur de vos yeux ?
Avez vous déjà fait continuellement des cauchemar pendant une année entière ?
Avez vous déjà pensez à vous faire interner de votre plein gré dans un hôpital psychiatrique ?
Vous êtes vous déjà demandé ce que vous faites en ce monde ?
Avez vous déjà pensez au suicide ?
Avez vous déjà confondu la réalité de l'irréel ?

Si toutes les réponses à ses questions sont " oui " c'est que vous avez vécu un moment traumatisant, très traumatisant...
Et que survivre n'était pas tant un cadeau que cela. Vous vous êtes battu pour vivre et vous vous battrez bien uns seconde fois mais pour mourir cette fois ci. Vous avez probablement vécu le pire mais à présent la vie vous paraît aussi terne qu'une toile peinte en noir. Il n'y a aucune joie, aucune couleur, aucun plaisir, toutes les bonnes choses que peuvent offrir la vie s'assombrissent rien qu'à la seule pensée de ce souvenir si proche et si lointain à la fois, Votre plus grande crainte c'est que ces souvenirs deviennent une terrible réalité... La vôtre.
Quand ces souvenirs ressurgissent qu'à la seule vu d'un homme brun ou d'une baignoire c'est que votre état est critique. Comme le mien.

Une femme que je vois deux fois par semaines pendant deux heures et qui se fait appelé psychiatre m'à conseillé de tenir un journal où j'écrirais toutes les horreurs que j'ai vécu. J'ai trouvé cette idée d'autant plus stupide que j'ai du la raconter une bonne vingtaine de fois, ça ne fera que ressurgir les souvenirs qui ressurgissent déjà tout seul... Mais à bien y penser, je n'avais plus rien à perdre. J'ai toujours ces cauchemars, ces terreurs nocturnes, ces crises d'angoisse.... Alors si écrire le moment qui a briser ma vie et qui revient en boucle dans ma tête l'éradiquera une bonne fois pour toute, je ne dis pas non.

Je ne vais me présenter, du moins, il n'est pas nécessaire que je fasse une présentation approfondie de mon personnage car celui ci a disparut laissant place à la douleur, la peur, le néant...

Comme je vous l'ai fait comprendre j'ai vécu l'horreur. L'horreur comme vous n'en n'aurez jamais pu l'imaginer. Et tout ça à cause d'un défi, enfin, je continuerai sans cesse de l'accuser, de remettre la faute sur celui-ci alors que si nous n'avions pas été aussi fainéants, je ne serai pas ici à écrire dans un cahier pour m'alléger d'un poids.
Toujours est il que je me suis fait avoir par un seul défi, défi qui paraissait simple et bénéfique. L'apat du gain m'à eu comme un enfant devant un clown lui tendant un ballon : deux secondes après son corp finissait raide mort perdu a jamais dans les égouts.

Nous nous sommes tous déjà fait avoir au moins dans sa vie. Si ce n'est pas le cas, prépare vous car ce jour arrivera tôt ou tard. Et parfois plus tôt que tard. On peut se faire avoir par tout et n'importe quoi comme pour quelque chose de plus grave. Je suppose que cela dépend de la stupidité de la victime.

J'avais alors vingt-et-un ans lorsque c'est arrivé lorsque ce jeu débuta.
A cette âge là on a tout à gagner et rien à perdre... du moins c'est ce que l'on croit.
J'avais un groupe d'ami avec nous étions tous très proche. Il n'y en avais clairement pas un pour rattraper l'autre. Nous avions tous le même mode de vie instable...
Tout les week-end nous nous réunissons autour d'un verre dans un pub pour décompresser le stresse accumulé durant la semaine. On on s'organisait des soirées à " sensations fortes " où nous jouions à certains jeu comme ouidja par exemple.
Oui, on aimait les sensations fortes... plus pour se venter qu'autre choses je suppose, car une fois seul, dans la rue, nous faisons bien attention à tout ce qui nous entour, au moindre bruit suspect et chaque superstition ridicule devant les potes prennent un réel sens une fois seul.

Mais ça, jamais on ne l'avouait, et si l'un de mes amis avait, e malheur de se confier et de nous dire qu'il trouvait que tout ça lui semblait réel, nous le traitions tout haut de froussard et tout bas nous étions rassurer de ne pas être les seuls dans cette galère.

A cette époque, nous avions tout essayé : les maisons au horreurs, labyrinthe horrifique, maisons au mirroir, expériences paranormals... nous étions passé par tout.

Chaque week-end, l'un de nous devait trouver une expérience ou un endroit à visiter. Et un week-end, ce fut mon tour.
Je me mis alors à chercher frénétiquement durant toute la semaine l'endroit idéal.
J'ai alors pensé au dark Web puis j'ai pensé que c'était peut-etre un peu extrême.
Si seulement j'aurais su.
A force de chercher, j'ai entendu parlé du jeu : The blood game.

Et tout à commencé...

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