𝙲𝚑𝚊𝚙𝚒𝚝𝚛𝚎 51


PDV Velia

Je me suis assez bien remit de ma blessure, malgré tout je ressens encore beaucoup de fatigue et j'ai mal par instant. Cela fait plus d'une semaine et demi que je suis chez ma sœur. Elle m'a dit que je peux aller où bon me semble semble tant que je me repose. Bronte m'a accompagné à Eternalia.

Nous marchons tout deux en direction du palais

- Velia, tu es sure que ça va aller?

- Oui... je pense.

- Velia je pense que tu serais plus en sécurité à Gloria qu'ici à Eternalia, ton frère veut ta mort et la notre à nous tous... Je ne veux pas qu'il te fasse du mal et surtout pas à notre bébé...

- Bronte... partout où j'irais il serait capable de me retrouver... ça ne change rien au chose. Et le conseil à besoin de nous tous maintenant. Je ne peux pas abandonner...

- Je sais Velia, mais t'a sécurité est encore plus importante. Et personne ne connait Gloria à part ma famille et nous deux... Puis n'oublie pas que Kenric est revenu parmi nous.

Il a peut être raison finalement.

- De toute façon maintenant que nous sommes ici... allons y, nous verrons ça tout à l'heure.

Il acquiesce. Nous entrons dans le palais, il y a beaucoup plus de gobelins qui montent la garde.

- Velia ! s'exclame Oralie elle vint vers moi et me pris dans ses bras, je lui rendis son geste.

- Comment vas tu ?

- mieux, merci.

- Alors tu vas avoir un bébé ? me demande t'elle avec un grand sourire, elle prit mes mains.

- oui ! lui souriais je en retour.

- Ravis de te revoir Velia. Dit Kenric en arrivant vers nous.

- De même Kenric. lui répondis je.

- Velia, tu ne devrais peut être pas revenir à Eternalia, Kay est toujours dans la nature. Et il t'en veut plus qu' à n'importe qui.

- Je le sais Kenric... mais maintenant que je suis ici.

- C'est marrant de voir Bronte devenir père ! déclare Kenric en changeant de ce sujet. c'est tellement inattendu en fait !

- Je serai un très bon père figure toi ! réplique Bronte.

- On vous laisse vous disputer ! déclare Oralie en m'emmenant avec elle.

- Bronte a l'air si heureux de devenir père. dis je.

- Il l'est Velia, autant que Kenric quand il a rencontré sa fille. Si tu veux mon avis se sera un véritable père poule.

- ne lui donne pas de bonne idée Ora !

- Ce serait drôle !

- c'est vrai...

- tu sembles soucieuse Velia, que se passe t'il ?

- J'ai peur de perdre l'enfant... avec tous les problèmes que j'ai...

-ça va bien se passer Velia ! et... attend comment ça tous les problèmes que tu as ? tu ne m'as rien dit ! qu'est ce que tu as ?

-j'ai ... j'ai un problème cardiaque... Je l'ai depuis toute petite, j'ai fa eu mourir à plusieurs reprise, je le pensais fini mais avec tout ce qui c'est passé, tout le stress, toute la pression que j'ai c'est revenu à nouveau. Ma blessure n'a pas arrangé ma santé.

- Je suis là Velia si tu as besoin de moi.

- Merci Oralie. J'ai tellement peur de le décevoir.

- Tu ne le décevras pas, ne t'inquiète pas. Il t'aime plus que tout. Il serait capable de mourir pour toi.

De mourir pour moi... Je ne l'espère pas... Il m'a promis qu'il ne ferai rien de stupide.

- Beonte ! reposes moi toute de suite si tu veux pas te retrouver avec des cheveux roses demain matin ! cri Kenric. On se retourne tourne toutes les deux.

Bronte maintient par télékinésie Kenric dans les airs.

- essaye pour voir, je te juge que tu vas le regretter ! répond Bronte.

- Reposes moi !

- Laisse moi réfléchir ? non.

- Qu'est ce qui se passe ici ? demande Emery en arrivant suivit de Zarina et Terik.

Bronte relâche Kenric qui s'écrase alors au sol. Nous pouffons de rire toutes les deux.

- C'est pas drôle !

- Velia tu es de retour, dit Zarina. Comment te sens tu ?

- mieux je dois dire.

- Velia a besoin de beaucoup de repos ! ordre de Lady Kylia. Déclare Bronte. Kenric se redresse.

- Le mieux serait que tu sois en sécurité ailleurs le temps qu'on le retrouve.

- Je sais Terik. tu es la troisième personne à me le dire.

- mieux vaut le dire une troisième fois alors ! je souris.

- Je sais absolument où elle sera en sécurité ! intervint de nouveau Bronte.

-Où ? demande Emery.

- Mais je vais pas vous le dire, peu de personne doivent savoir.

- C'est vrai sinon où serait la sécurité.


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