05. Research

🎙️ Song : Justin Bieber - Down To Earth 🎶

Aloha tout le monde !

Voici une partie Katsuki Bakugo.

Mais, ne vous attendez pas à le voir réellement apparaitre.

Ce n'est que le début !

Les textes italiques proviennent de Wikipedia pour vous expliquer le concepts que je voulais aborder.

Bonne lecture à tous !

Plus ULTRA

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(12 pages et 5617 mots)

Katsuki BAKUGO

« L'amour d'une famille, le centre autour duquel tout gravite et tout brille. » 

Victor Hugo

            Ce fut en 1557, que l'évêque Robert Reid de la cathédrale St Magnus d'Orkney eut rédigé un testament contenant une dotation de 8 000 merks -pièce d'argent écossaise en circulation fin XVIe et XVIIe siècle- pour construire un collège à Édimbourg.

            La vision de Reid était exceptionnelle pour son temps, alors qu'il eut comprit l'enseignement de la rhétorique et de la poésie, aux côtés de sujets plus traditionnels tels que la philosophie.

            Cependant, durant presque 25 ans en raison de la révolution religieuse ayant conduit au Parlement de la Réforme de 1560, le legs -transmission de patrimoine par testament- eut été retardé. Ce fut dont à la fin des années 1570 et aux efforts du conseil municipal d'Edimbourg, du premier ministre James Lawson, et du Lord Provost William Little que les plans fussent relancés.

            L'université qui ouvrit ses portes aux étudiants le 14 octobre 1583, avec une fréquentation de 80 à 90 personnes fut nommé Tounis College (Town's College). Bien sur, à l'époque le collège couvrait en matière d'étude principalement les arts libéraux et la divinité.

            Durant le 18e et 19e siècle l'université continua de se développer en fondant sa première faculté de droit en 1707, une faculté des arts en 1708 et une faculté de médecine en 1726.

            Malheureusement, au début du 20e siècle et surtout durant la Première Guerre mondiale, les bâtiments des sciences et de la médecine eussent souffert d'un manque de réparations ou de mises à niveau, qui s'eut retrouvé exacerbé par un afflux d'étudiants après la fin de la guerre.

            En 1919, l'agrandissement de l'université eut commencé après l'acquisition de terrain de West Mains Farm au sud de la ville pour le développement d'un nouveau campus satellite spécialisé dans les sciences.

            Le 6 juillet 1920, cela avait été le roi George V qui eut posé les fondations du premier nouveau bâtiment (maintenant appelé Joseph Black Building), abritant dorénavant le Département de chimie.

            La mission qu'on lui eut confiée était très simple et d'ordinaire très facile pour les personnes venant de l'organisation One For All. Du moins, c'était ce que Kirishima Eijiro avait pensé en lisant le dossier de mission qu'on lui avait affecté au tout début, avant de devoir ce voir être envoyer sur le continent Écossais dans le but de trouver un enfant dont il ne connaissait en aucune façon l'existence, jusqu'à ce que son chef de groupe ne sorte de l'ombre un bon matin orageux.

            Ce géant de six pieds neuf pouces (6"9), aux cheveux mi-long décolorer de rouge coiffé en une couette basse et muni de dents de requins, aux muscles saillants caché par une chemise blanche sous une grande blouse de laboratoire blanche, fut plus caricaturer pour les missions de terrain.

            Celles où l'on devait se retrouver les fesses posée et assise derrière un bureau rempli d'éprouvettes, d'ordinateur et de dossiers d'analyse ne fut en aucune façon faite pour lui contrairement à d'autre personne de son équipe.

            Comment son meilleur ami eut-il pu le placé dans un laboratoire d'analyse du pôle médical de l'université d'Edimbourg ? Cela le dépassait et l'ennuyait profondément.

            Kirishima Eijiro était un alpha qui aimait et vénérait presque l'adrénaline. Le fait qu'il puisse se retrouver avec des odeurs omegans dans des éprouvettes à devoir analyser ses échantillons ne lui plaisait pas beaucoup.

            Bien qu'il se mît à broyer du noir en maudissant son frère d'arme, ses oreilles captèrent au loin le bruit du chariot de courrier et cela ne lui apportait -parfois- rien de bon. Le jeune géant se souvint malgré tout, avoir aperçu celui qui déposait les enveloppes et cartons contenant toutes les éprouvettes prête pour les analyses.

            Ce fut un jeune garçon fit son entré dans l'espace de travail lumineux et entouré de blanc des murs au plafond. Eijiro se demandait encore comment il avait pu réussir à ne pas perdre la face dans cet endroit.

            Des petits comme de gros colis furent positionnés en pairs devant les analystes ainsi que des enveloppes en tous genre. Les hommes et les femmes en blouses n'accordaient aucun regard au jeune garçon trop concentré dans leur propre travail pour ne serait-ce remercier celui qui leur apportait ce qu'il leur fallait.

            Quand le coursier arriva au niveau du géant roux avec un visage renfrogné en marmonnant dans sa barbe que les intellos furent tous coincés et ne savaient pas être poli, Eijiro ne put s'empêcher d'afficher un sourire amusé face au gamin.

            Kirishima remarqua des petits comme de gros colis se faire placer devant ses yeux alors qu'ils commencèrent à s'ouvrir en grand. Et bien malgré son regard posté sur les boites en face de lui, le géant lâcha quand même un grand « merci » au jeune garçon qui paru surpris mais qui offrit un petit sourire de remerciement.

            Les odeurs emmêler qui s'échappaient des lettres ne plaisaient vraiment pas au grand alpha. Son nez sensible se froissa aux parfums fort qu'il pouvait sentir, alors qu'il traitait d'idiot chaque personne qui s'amusait à faire des tests ADN dans le simple de fait de soit savoir s'ils sont de la même famille, soit pour connaître ses origines.

            Bien sûr, cela pourrait tout aussi bien être de simplement test cliniques réalisé sous ordonnance par des laborantins pour des prises sanguins de patient. Mais malgré tout, les odeurs sentaient mauvais et donnait la nausée au géant en blouse blanche.

            Eijiro maudissait réellement son meilleur ami et chef de groupe de l'avoir placer dans un endroit clos. Les recherches d'analyses furent plus le domaine de prédilection de leur partenaire et amie Yaoyorozu Momo.

            Et plus il regardait sa charge de travail qui augmentait à cause des petits cartons sur sa paillasse, plus son énergie diminuait. Mais il devait rester positif ; c'était pour son frère d'arme.

"Rendre service de tout son pouvoir, de toutes ses forces, il n'est pas de plus noble tâche sur la terre." Sophocle

            Certaines des odeurs se dégageant des enveloppes provenaient d'oméga. Kirishima en reconnaissait les senteurs douces et sucrés qui furent complètement différente des odeurs neutres des bêta et beaucoup trop épicé ou prononcé pour celle des alphas.

            En y réfléchissant, le gentil géant se demandait si son chef ne l'eut pas mis en laboratoire dans le but de trouver une odeur particulière. Bien qu'il ne sût pas réellement laquelle chercher.

Et surtout, pourquoi ne pas avoir placer Todoroki Shoto -lui aussi un alpha- sur ce terrain ? L'homme au visage stoïque pouvait tout aussi bien renifler l'air et manier les éprouvettes.

            Le jeune scientifique -proclamer à son insu- soupira de défaite en se disant mentalement qu'il se vengera de son ami au moment opportun.

Tandis que son regard carmin se reposa sur les diverses enveloppes en face de lui. Kirishima imagina quelque statistique ; 99% de ce courrier demandaient une plus grande analyse médicale pousser -du moins pour ce qui est des maladies cancéreuses ou immunitaires-.

            Les 1% restant furent simplement des tests ADN. Il reconnaissait l'odeur du sang, de la nappe ou alors de la salive. C'était dégoûtant.

            Malgré tout, le jeune homme se retenait -tout en retenant son alpha intérieur- pour ne pas perdre la tête face aux phéromones oméga.

            Kirishima regretterait presque de ne pas être qu'un simple bêta comme 95% des scientifiques dans le bâtiment d'études où il pouvait se trouver.

            Dans la dynamique ABO, le sexe secondaire le plus fort -alpha- veuille sur le sexe secondaire le plus faible -oméga-. Malgré les quelques changements qu'il pouvait y avoir eu dans les cours de l'histoire, un alpha n'était rien sans un oméga quoi qu'on puisse en dire.

            Et c'était le comble pour un dominant de sentir le sang ou l'odeur de détresse provenant d'un dominé ; cela pouvait les rendre sauvage.

            Fort heureusement, l'entraînement que le géant eu reçu depuis son jeune âge -et bien avant sa présentation officielle en Alpha- lui permettrait de bien contrôler ses instincts primaires.

            Eijiro remarqua tous les autres scientifiques commencé leur travail en silence. Était-il réellement le seul à ne pas avoir commencer ? Bien sur aucun autres de ses hommes ou femmes ne faisaient ce pour quoi il fut présent enter ses quatre murs.

            Soupirant tout en se faisant craquer la nuque avant de rouler des épaules, le jeune homme se décida de commencer ce pour quoi il fut envoyé dans l'Université d'Édimbourg en premier lieu.

            Son but n'était autre de trouver le fils de All Might alias Toshinori Yagi. Mais comme l'aurait pensé son meilleur ami, l'enfant ne pourrait en aucun cas porter le même nom que l'ange lui-même. Mais alors, comment ce nommerait-il ?

            C'était là le but de sa mission ; découvrir qui il était vraiment.

            A chaque enveloppe qu'il attrapait pour ses analyses, Kirishima regardait le nom, prénom et adresse fournis par les envoyeurs. Quelques unes furent celle d'entreprise dans le but de brouiller légèrement les pistes de recherche.

            L'homme commençait petit à petit à perdre espoir en tendant la main vers un autre colis. Au début il ne tombait sur rien d'intéressant, seulement des patients devant faire un peu moins de gourmandises sucrées pour réduit une cause de diabète, avant de sentir sous sa main droit le dernier courrier de sa liste. Aurait-il plus de chance avec cette dernière analyse ?

            Eijiro lança la dernière éprouvette de sang en mode automatique dans le robot spécialisé pour la détection. La fatigue se fit sentir sur ses épaules, alors qu'il plaçait ses mains sur son visage en inspirant profondément tout en penchant sa tête en arrière, priant les divinités de lui donner un résultat positif.

            Ce moment se produisant entre l'entrer des correspondances sanguines et l'envoie sur l'ordinateur portable placer devant lui en attendant des réponses fut extrêmement long, très très long. Il n'eut pas vu le temps exact de chargement, ce fut ce petit bruit, ce simple son lui annonçant cette putain de correspondance qu'il pouvait attendre depuis quelques heures, qui le fit sauter de son siège.

            « - Oh...shit ! J'ai une correspondance ! » Le géant ne pouvait pas cacher son enthousiasme de sa découverte.

Comprenez-le, après moins de cinq ans à être dans une branche médicale et sous couvertures à l'université d'Edimbourg, le voilà avec le résultat qu'il attendait par dessus tout.

« - Izuku Midoriya, tu nous auras donné beaucoup de fils à retordre, gamin. »

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Police Scotland -portant le nom gaélique écossais de Poileas Alba-, détient légalement le nom de Service de police d'Écosse des forces de police nationale d'Écosse. Il ne fut créé en 2013, après une grande fusion de huit forces de police régionales Écossaise, impliquant des services spécialisés de la Scottish Police Services Authority, dont la Scottish Crime and Drug Enforcement Agency.

            Et bien qu'elle n'eût pas officiellement absorbée la fusion, cela a également entraîné la dissolution de l'Association of Chief Police Officers in Scotland.

            The Police Scotland est la deuxième plus grande force de police du Royaume-Uni (après le Metropolitan Police Service) en termes de nombre d'agents, et de loin la plus grande force de police territoriale en termes de zone géographique de responsabilité.

            Le chef de police -un grand homme respecté- doit jurer fidélité et responsabilité devant la Scottish Police Authority. La force est ainsi inspectée par l'Inspection de la police de Sa Majesté.

            L'Écosse est également surveillée par la police du ministère de La Défense, la police britannique des transports et la police nucléaire civile dans leurs juridictions respectives.

            Le Metropolitan Police Service et la National Crime Agency ont également une certaine compétence en Écosse. En ce qui concerne la police métropolitaine, cela est dû à ses responsabilités nationales en matière de protection de la famille royale et d'autres personnes protégées, telles que le Premier ministre et ses responsabilités nationales en matière de lutte contre le terrorisme.

            Avant la fusion des divers services de police, et après un long processus de consultation, le gouvernement écossais a confirmé le 8 septembre 2011 qu'un service de police unique serait créé en Écosse.

            Le gouvernement écossais déclara que « la réforme protégera les services de police de première ligne dans les communautés en créant des officiers supérieurs locaux désignés pour chaque zone du conseil avec l'obligation légale de travailler avec les conseils pour façonner les services locaux. L'établissement d'un service unique vise à assurer un accès plus égal aux des services et une expertise nationaux et spécialisés tels que les grandes équipes d'enquête et les équipes d'armes à feu, quand et où ils sont nécessaires."

            Ce projet de loi sur la réforme de la police et des pompiers (Écosse) eut été publié en janvier 2012 et c'est retrouvé approuvé le 27 juin 2012 après examen au Parlement écossais. Le projet de loi reçu la sanction royale en tant que loi de 2012 sur la réforme de la police et des incendies (Écosse).

            En septembre 2012, le constable en chef de la police de Strathclyde fut annoncé comme le futur premier constable en chef de la police écossaise. Il a prêté serment le 1er octobre 2012.

            À l'approche de la date de formation, il a été largement rapporté que le nouveau chef de la police et la police écossaise étaient en désaccord sur le contrôle du personnel des coulisses.

            Police Scotland devint officielle le jour du 1er avril 2013 en vertu de la loi de 2012 sur la réforme de la police et des incendies (Écosse), fusionnant les forces de police suivantes en Écosse :

·         Police du centre de l'Écosse

·         Police de Dumfries et Galloway

·         Police de Fife

·         Police des Grampiens

·         Police du Lothian et des frontières

·         Police du Nord

·         Police de Strathclyde

·         Police de Tayside

            Cette fusion eut comprit également l'autorité écossaise des services de police, à savoir la Scottish Crime and Drug Enforcement Agency.

            Shoto Todoroki eut pour mission depuis près de cinq ans maintenant, d'investir le poste de police d'Edimbourg sous la demande et sur ordre de son chef de groupe colérique.

            Cela était bien évidemment une couverture, mais d'un autre côté avoir un père chef de la police de Scotland avait certain avantage pour le jeune homme en mission.

            De plus, la nouvelle déclarant qu'un jeune rookie eut été formé, engagé et poster à un poste avec ordinateur eut bientôt fait le tour du poste de police.

            Quelques femmes avaient qualifié le petit nouveau de très beau jeune homme, de grande taille (6"0) et assez musclé -voir bien bâti- pour son âge.

            Mais ce qui eut choqué les autres policiers sur le jeune officier recruté, n'était autre que ses cheveux. Bien qu'abordant une chevelure assez longue, légèrement rasé à l'arrière de sa tête laissant son cou dégagé, Shoto Todoroki abordait deux couleurs sur sa tête : du blanc à sa droite et du rouge cramoisi à sa gauche.

            Il lui arrivait de coiffer sa frange, qu'il lui arrivait parfois de garder soit séparée en deux soit d'être coiffé avec une petite pince discrète, dans le but d'éclaircir sa vision.

            Les agents féminins du poste de police chuchotaient sur le physique du jeune officier et particulièrement -du moins après la réelle couleur de cheveux du jeune homme- pour la malformation des yeux du dernier Todoroki lui donnant une hétérochromie iridium. Soit faire apparaître l'iris de son œil gauche turquoise, alors que son œil droit fut d'un gris foncé. La forme de ses yeux fut assez mince et réservée.

            Ce qui pouvait encore choquer le commissariat en entier quand le jeune officier parcourait les locaux pour diverses raisons, fut la grande cicatrice de brûle sur le côté gauche de son visage s'étendant de la ligne de ses cheveux jusqu'à mi-hauteur de sa joue, que pouvait aborder le jeune Todoroki.

            Seule la famille Todoroki pouvait savoir que cet accident puisse remonter à l'enfance du jeune homme, n'empêchant pas le fait que cette marque le rendait -malgré lui- assez mystérieux.

            Un mug fumant fut placé sur le bureau rempli de dossier d'enquête et de plainte civil, alors que le jeune homme tapait sur le clavier de son ordinateur personnel dans le but de pouvoir trouver les informations qu'on lui eut demandé.

            L'uniforme standard dont était vêtu le jeune Todoroki, se composerait d'un T-shirts noir permettant l'évacuation de l'humidité avec POLICE SCOTLAND brodé sur les manches et d'un pantalon cargo noir.

            Par moment, des micro polaires noires peuvent également être émises avec des blousiers étanches à haute visibilité. Les housses de gilets de carrosserie noires et à haute visibilité détiennent des points de fixation pour les équipements, sont également de série.

            Hors du commissariat, les officiers ont obligation de porter des couverts d'officiers se composent traditionnellement de casquettes à pic pour les hommes/femmes alphas et de chapeaux de style melon pour les femmes omégas. Ces chapeaux étaient bagués avec du tartan Sillitoe - un motif de dés à carreaux noirs et blancs-.

            Le modèle des chapeaux, eut été adopté pour la première fois à l'usage de la police en 1932 par Sir Percy Sillitoe, gendarme en chef de la police de la ville de Glasgow.

            Grâce à une annonce du ministère réalisé en septembre 2019, il avait été annoncé que les officiers pouvaient désormais être en mesure de porter des casquettes de baseball pour rendre les uniformes plus neutres en termes de genre -ABO y comprit-.

            Dans l'équipement se trouvait aussi des capuchons renforcés noirs avec des flashs de tartan Sillitoe des deux côtés avec "POLICE" cousu en blanc à l'avant et qui furent déjà portés par des agents spécialisés, comme l'unité des armes à feu et celle des maîtres-chiens de chiens.

            Quelque chose déroutait souvent les autres membres du corps de défense d'Edimbourg quand ils voyaient le jeune Todoroki. A savoir un uniforme de police impeccable et ne comptant aucunes tâches ni aucunes imperfections sur le tissu.

            Les malformations physiques présente et visible faisait que le jeune homme fut souvent victime d'intimidation et de brimades de la part des autres, le traitant comme une bête de foire.

            Toute l'enfance de Shoto Todoroki passer entre les murs de l'agence OFA, lui avait appris à contenir ses émotions tout en recevant moult entraînement et éducation pour être un bon élément au sein de l'organisme.

            Shoto savait parfaitement que son père le défendait et ce depuis son enfance, ainsi pour plus de protection Enji Todoroki eut envoyer son dernier fils dans cette grande structure spécialisé pour les défaillants.

            Les défaillants, ce fut un mot que le plus jeune des Todoroki n'eut jamais réellement compris avant de se le faire expliquer par un gamin sauvage, bruyant et intelligent. Bon sang, le mi-rouge devait dépasser de deux ou trois ans ce gamin qui n'avait que dix ans à l'époque.

            Encore maintenant, Shoto était exaspéré que ce même gamin bruyant puisse avoir plusieurs longueurs d'avance sur lui, qui fut quand même bien plus âgé. Être le chef du groupe de recherche que le directeur Aizawa Shota a créé dans le but de chercher le fils de l'ange All Might, était un exemple type.

            Bon sang, Shoto n'avait aucune idée d'où il devait chercher en premier lieu. Le jeune officier n'avait pas beaucoup d'information. D'une, son chef de groupe eut donné des descriptions à la suite de souvenirs d'enfant, et de deux le directeur n'eut aucune envie de lâcher des dossiers aussi confidentiels qu'important.

            Sur l'écran de son ordinateur portable, le logiciel spécialisé dans la recherche de portrait robot fut ouvert alors qu'il lançait pour la énième fois une demande de recherche.

            Un soupir las s'échappa des lèvres du jeune agent alors qu'il regardait les divers noms et photos de femmes survenu avec les faibles informations de descriptions que le dernier Todoroki eut reçu de la part d'un enfant sauvage.

            Bien qu'il eût perfectionné avec l'aide de son savoir en codage le logiciel de reconnaissance, Shoto se demandait dans tous les cas si son chef avait eu une idée du nombre de femmes aux cheveux noir et d'un mètre soixante-quinze vivant au Royaume-Unis.

            Un énième soupir las alors qu'il passait sa main droite sur son visage avant de la déplacer sur sa nuque, bougeant la tête ainsi de gauche à droite afin de pouvoir détendre ses muscles endoloris.

            Dans ses dernières recherches, Shoto avait décider de prendre un plus grand rayon incluant l'Angleterre, l'Ecosse et l'Irlande dans le lot -il ne voulait pas prendre de risque-, mais cela n'eut pas vraiment eu l'effet qu'il aurait de l'avoir.

            Toutes ses recherches donnèrent une sorte de mal de tête au jeune Todoroki qui ne demandait qu'à finir cette mission au plus vite, dans le but de pouvoir retourner à OFA pour organiser la suite de la mission.

Dix minutes furent passé avant qu'il ne puisse recevoir un message sur son cellulaire de la part de son collègue et ami Kirishima Eijiro. Sa jambe droite cessa de tressauter, cela eut été un geste qu'il n'avait nullement remarqué.

« - Peux-tu faire une recherche avec le nom Izuku Midoriya, dans ton logiciel de recherche ? » Shoto eut lu le message à voix haute avec un froncement de sourcil à la demande de son collègue.

Haussant des épaules se disant qu'il n'avait rien à perdre et inspirant fortement le mi-rouge se décida sans se défaire de son petit froncement de sourcils, d'effectuer la recherche proposée par son ami en espérant avoir une plus grande chance dans ses recherches.

Un chargement commença en douceur. Shoto attrapa sa tasse devenue tiède -voir froide- de thé tout en s'adossant contre son siège de bureau. Cela commençait à le fatiguer bien qu'il puisse cacher ses émotions plus facilement que le jeune Bakugo Katsuki.

Le bruit du résultat de chargement de ses recherches le sortit de ses pensées. Finissant sa boisson, le mi-rouge jeta un œil à la personne qui s'affichait sur son écran ; individu de sexe masculin, des cheveux ressemblant à un nuage bouclé de couleur vert et possédant de magnifiques yeux de jade.

« - Izuku Midoriya. » Le jeune Todoroki s'autorisa d'afficher un petit sourire de victoire face à sa découverte. Il ne perdit pas de temps à envoyer sa découverte à sa collègue Yaoyorozu Momo, pour la suite de la mission. « C'est à ton tour, Momo. »

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Ce fut au XIIe siècle qu'apparaissait pour la première fois le terme d'enquesteur, -un commissaire du Roi chargé de surveiller l'administration des baillis et des sénéchaux-.

            Mais ce ne fut que le XIXe siècle qui apporta la naissance des agences privées, -telles qu'elles existent encore aujourd'hui-, et d'un bureau des renseignements universels rendu possible par un ancien bagnard -devenu chef de la police de la sureté-, puis reconverti en imprimeur -ce fut lui qui inventa le papier infalsifiable-, pour devenir à la suite « agent de renseignements ».

            Le nom de cet homme fut Eugène-François Vidocq, un Français ayant résidé à rue Neuve Saint Eustache à Paris en France.

            Bien que l'on puisse penser du contraire, la France fut le berceau de cette profession accompagnant la création d'une première grande agence multidisciplinaire. En juin 2006, eut été créé le premier diplôme d'État au monde portant une grande une valeur internationale -grâce aux nouvelles normes européennes L.M.D- et des équivalences avec l'enseignement général.

            En 1850 la profession fut exportée aux États-Unis accompagné d'une création de l'Agence Pinkerton. Ce fut un ancien tonnelier et révolutionnaire écossais qui assura la sécurité du président des États-Unis Abraham Lincoln.

            C'était pendant la guerre civil que Pinkerton eut remplit les fonctions de chef de l'Union des services de renseignements et déjoua une tentative d'assassinat contre le Président Lincoln.

            Elle eut longtemps été « tolérée » en France — et seulement visée pour l'ensemble du territoire national, par une loi datant de la guerre dont l'objet était à l'origine d'en interdire l'accès aux juifs —, cela devint finalement reconnue et réglementée en 2003.

            Cette profession fut devenue de par le monde, admise, ignorée, tolérée ou interdite selon la législation du pays où elle était considérée, suivie de son aptitude à respecter les Droits de la Défense, les libertés individuelles et la liberté du commerce et de l'industrie.

            Dans d'autres circonstances la profession se voit soit interdite -dans le cadre de secret national par exemple-, soit assimilée à une police auxiliaire -ce qui pourrait les faire confondre avec un officier de l'ordre public-.

            Certains États pour suivre cette profession favoriserait une règlementation abrogée. Cela paraitrait paradoxal surtout à une époque où l'exercice de cette activité puisse s'avérer sensible, tant pour les libertés individuelles -par exemple une violation de la vie privée-, que pour les intérêts fondamentaux de la Nation -le risque d'espionnage peut être énorme- si la profession venait à être exercée par des individus peu scrupuleux.

            L'autorisation d'exercer doit être délivrée pour cinq ans et peut être -selon les autorités national- renouvelée pour des périodes de dix ans.

            Pour les États-Unis, cette règlementation se retrouve à être varier selon les États : certains n'imposent aucune autorisation (Alabama, Alaska, Colorado, Idaho, Mississippi, Missouri, Dakota du Sud), d'autres exigent que des conditions d'honorabilité soient contrôlées par le département de la Justice et le FBI, d'avoir une expérience de 3 ans ou 6 000 heures dans l'investigation -où l'espionnage, ne nous voilons pas la face-, posséder une formation basée sur la Police scientifique, avoir un droit pénal, une grande connaissance de la justice ainsi que de la criminologie.

            Certaines conditions étant contrôlées par un examen : tel puisse être le cas de la Californie ou la profession est contrôlée par le bureau de la sécurité et des services d'enquête de l'État.

            En France -n'oublions pas qu'elle fut la mère de cette activité -, la profession de détective privé peut désormais disposer du statut authentique la classant ainsi dans les professions libérales, l'associant avec à une profession de sécurité tout en la plaçant sous le contrôle des autorités administratives avec la délivrance d'un agrément de l'État.

            Sur le siège conducteur d'un Oldsmobile Toronado de 1966 d'une jolie couleur aubergine brillant de fierté, la brunette se renfrogna volontairement en pensant à ses cours sur le métier de Détective Privé.

            Et savoir que leurs rivaux Franco-phones puissent être à l'origine de la création de ce magnifique métier, ne lui plaisait pas des masses.

            N'allez pas croire que la belle et opulente Yaoyorozu Momo dont les cheveux furent d'un joli noir ébène, longs et attachés en queue de cheval haute. Et où une de ses longues mèches lui retombant sur le côté droit de son visage et ses yeux possédant une unique couleur d'un gris foncé, puisse détester les Français et la France.

            Durant les formations tout terrain des agents OFA, les enfants atteignant la quinzaine se devaient de suivre un stage de performance avec la branche française de l'organisation.

            Momo savait parlait plusieurs langues afin de ne pas mettre mal à l'aise l'interlocuteur en face d'elle. Ce fut la même chose pour la langue française et surtout avec son binôme Mina Ashido.

            Ce ne fut qu'une simple et amicale rivalité qui eut pu naître entre le Royaume-Unis et la France, aussi bien en qualités des agents de OFA que des missions qu'on eût effectuées.

            La jolie brunette soupira avant de détourner les yeux du plafond de sa voiture pour fixer ses iris grises sur le siège passager à ses côtés. Son ordinateur portable affichait deux fenêtres ; la première montrait le schéma ADN, le sexe et le sexe secondaire de la personne rechercher envoyé par Kirishima Eijiro. La seconde fenêtre fut celle du portrait robot apparu sur le logiciel de son collègue Todoroki Shoto.

            Le rôle final de Yaoyorozu -après qu'elle eut reçu les résultats ADN du géant roux et de la photo de l'individu réceptionné grâce au mi-rouge- ne fut autre que de pêcher exactement où ce trouvait leur cible à savoir Izuku Midoriya.

            Édimbourg ayant une superficie de 25 900ha et une population s'élevant à 488 050 habitants, chercher une seule personne dans cette fourmilière revenait à sortir l'expression « trouver une aiguille dans une meule de foin ».

Pour la brunette cela était comme un jeu d'enfant -tout comme ses autres collègues, mais ils eussent décidé de la laisser pencher la balance à son avantage-, avec l'aide de la photo sur son ordinateur Yaoyorozu eut pu se connecter aux caméras de surveillance installer un peu partout de la périphérie de la ville.

Une souris ne pourrait échapper aux yeux de lynx de la belle femme en mission. Surtout si chaque informations et renseignements débusqués par ses camarades et elle-même partaient tout droit jusqu'à leur chef de groupe et de missions capricieux et grincheux.

            Katsuki Bakugo cherchait à résoudre cette enquête depuis près de cinq ans, en sortant de sa mémoire de simple souvenir d'enfant entre aperçu par la fenêtre d'une chambre à l'étage de l'agence OFA.

Momo n'était âgé que de 13 ans à l'époque -le même âge que Todoroki Shoto- quand elle eut fait la rencontre du petit garçon qui n'avait que six ans à ce moment-ci de ses souvenirs. La jeune femme sortait de la salle d'entraînement avec un groupe de bêta dans lequel on l'eut affecté.

Et pour une raison qui avait échappé à la jeune fille qu'elle eut été à l'époque, le petit garçon avait reçu le surnom « d'enfant sauvage » de la part de tous les adultes de l'organisation OFA.

La jeune fille en avait souri avec amusement sur le moment trouvant que le petit blond fut plus mignon que sauvage, avant d'avoir pu avoir la surprise de voir le même garçon s'énerver sauvagement contre le directeur Aizawa Shota pour le motif d'une simple interdiction de bibliothèque.

            Bakugo Katsuki avait non seulement un défaillant puissant de type explosion -un type rare que personne n'eut réellement vu en action-, mais aussi une intelligence à en faire damner les scientifiques du monde entier -un QI équivalent à 195-. Une chose curieuse aussi que Momo n'eut lu que dans des livres, était que le blondinet était Prime alpha -une personne sur cent pouvant être un prime ; oméga comme alpha-.

            La demoiselle remarqua un mouvement à la périphérie de son œil gauche, cela attira son attention lui faisant tourner la tête vers la destination. Étrangement, elle aurait juré avoir aperçu un flou vert anis et de rouge pomme marché le long de la route.

            Aurait-elle rêvé ? Elle n'eut pas bougé de sa position depuis qu'elle avait reçu les correspondances de Shoto et Eijiro. C'était exactement l'adresse qu'elle avait pu trouver avec l'aide des caméras d'Edimbourg.

            Momo attrapa l'appareil photo relié à son ordinateur portable par un long câble lui permettant de recevoir directement des clichés sur grand écran. Sa premier la photo fut celle du cottage en pierre entourer de sa clôture verdoyante accompagné de belle rose rouge et rose.

            La jeune Yaoyorozu trouva le paysage des fleurs extrêmement magnifique. Bien que la question de savoir qui les rend aussi belle lui effleurait l'esprit, sa mission ne fut autre que de trouver le jeune Izuku Midoriya.

            La jolie femme remarqua une petite silhouette vêtue d'un gros sweat vert aux rayures rouge se diriger vers le cottage, elle n'avait donc pas rêvé ce flou qu'elle eut pu remarquer quelque minutes plus tôt. La capuche du vêtement cachait le visage de la personne, mais Momo ne s'empêcha pas de prendre une série de cliché.

            La frêle personne s'approchait de la porte d'entré de la maisonnette, quand celle-ci s'ouvrit sur une grande femme aux cheveux noirs et aux yeux bleu affichant un doux sourire face à son interlocuteur.

            Malgré les tonnes de photos qu'elle puisse prendre, Yaoyorozu laissa un grognement de mécontentement -pas aussi puissant ni aussi audible que celui d'un alpha- s'échapper de sa gorge. Impossible de pouvoir apercevoir le visage de la petite silhouette qui fut de dos face à l'objectif.

            Cela ne bloqua pas la jeune femme qui continua de mitrailler le duo commençant à bouger petit à petit sous son objectif ; un bisou sur la joue, une caresse et un câlin, tout passait sous le regard de la jolie brunette.

Au moment de son énième cliché, l'agent OFA remarqua la petite silhouette se tourner vers le côté droit du jardin pour regarder un rosier placer dans un pot que la demoiselle n'eut pas remarqué. Momo vit alors la jolie frimousse d'ange aux joues de bébés accompagné d'un grand regard vert de jade curieux, encadrer de magnifiques cheveux bouclés d'un vert forêt libérée de la capuche du sweat qui les retenaient prisonnier.

Étrangement, un frison d'excitation parcouru la colonne vertébrale de la jeune détective. Individu de sexe masculin, second sexe omega. Trait de visage fin, de petite taille au moins un mètre soixante-six, des hanches larges parfaite pour enfanter de bon chiot.

Après cinq ans de recherche où elle et son groupe alpha -Kirishima et Todoroki- furent sur le terrain à rechercher ce magnifique petit oméga au joli petit nez mutin, la mission voyant enfin une fin.

            « - Enfin, nous l'avons trouvé. » Un grand sourire fier s'afficha sur les frais matures de la jolie femme, alors que sur son écran d'ordinateur apparaissait la photo du jeune garçon. « Espérons que Katsuki fera bon usage de toutes ses informations. »

Cela ne surprendra pas le groupe si leur chef Bakugo Katsuki décidait de passer à l'action pour récupérer le petit oméga et fils de l'ancien ange.     

            Le gamin de six ans eut attendu près de quinze ans pour retrouver cet enfant perdu. Si la brune ne se retrouvait pas aussi fatiguée qu'elle puisse être -à son humble avis- ses deux collègues masculins, elle aurait suggéré une sorte de bande annonce de films.

« - C'est à ton tour, chef. Ne fais pas tout foirer. » Son doigt appuyant sur le bouton envoyer où toutes les pièces jointes irait directement dans la boite mail du grand alpha. Maintenant, sa prochaine mission fut de se reposer pour un bon moment.

A suivre



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Hey, you !

Comme vous avez pu le voir, cette partie de Katsuki Bakugo fut tourné avec les trois points de vue de ses collègues.

Et c'est normal !

Il y aura souvent des petits moments où les personnages secondaires seront mis en avant ; Exemple ? Denki Kaminari avec Izuku, et Eijiro Kirishima, Shoto Todoroki et Momo Yaoyorozu avec Katsuki.

J'espère que cette partie vous à plu.

Merci à vous et à bientôt pour le prochain chapitre !

PLUS ULTRA !

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