chapitre^13^ Un coupable ?
PDV Thérésa :
- quoi....?
Bellamy : Ne fait pas l'idiote.
- je n'ai rien fait !
Je me redressa et le repoussa, j'épouste mes vêtements pleins de terre et regarde mon "agresseur". Je compris qu'il était très sérieux, il l'était tout le temps d'ailleurs, je pris plusieurs minutes a assimilé ce qu'il m'avait dit plus tôt. Je passa a côté de lui en ne manquant pas de le bousculé. Je l'entendis juré, mais l'ignora, le laissant s'énerver seul.
Je marcha rapidement jusqu'au vaisseau et monta directement a l'étage, mon regard arpenta la petit pièce, qui était totalement vide. Je fronça les sourcils, seul la nourriture que lui avait apporté Octavia était posé sur le sol, juste a l'emplacement du Natif quand il était enchaîné.
Dites moi que c'est pas vraie....Je passa une main sur mon visage et redescend, je sortis et partie instactivement a la recherche de mon amie irresponsable et totalement stupide. J'etais énervé, énervé contre elle, car elle n'a pas mesuré les dangers. Et a cause d'elle, son frère et ses petits chiens seront obligé de le retrouver et de l'égorgé.
Je me retourna en sentant un regard brûlant sur ma nuque. Je vit Bellamy me fixer intensément, et voilà qu'il me haïssait encore plus désormais. Il était persuadé que c'était de ma faute et que je l'avais libéré. Je ne soutiens pas son regard mais cela ne l'empêcha pas de revenir me chercher des problèmes.
Bellamy : Je peux savoir où tu vas traîtresse.
-Va te faire foutre, je t'ai dis que j'avais rien fais.
Bellamy : Ah oui ? Alors qui l'a fait !
-Ta petite soeur adoré ! Peu être que si tu l'as surveillé d'avantage au lieu de commander tes petits sous-fifres. Elle ne ferait pas toutes ses conneries !
Bellamy : Tu mens, ce n'est pas elle...
- C'est vraiment ce que tu penses ? Ou tu essaies juste de te convaincre du contraire.
J'essaya de capturer son regard mais celui ci était fuyant, je soupira et laissa mes bras tombés le long de mon corps. Je regarda autour de moi et vit que les chasseurs se préparés, munit de leurs torches enflammées.
-Laisse moi y aller, laisse-moi le temps de te prouver que ce n'est pas un danger pour nous.
Bellamy : on l'a capturé, tu crois vraiment qu'il va nous accueillir les bras ouverts ?!
-J'essaie de réparé les conneries que tu as faites ! Alors cesse de juger toutes les décisions que je prends.
Bellamy : Mes conneries ? Encore une fois tu t'acharne sur moi alors que je n'étais pas seul a l'attaquer.
- C'est toi qui donne les ordres n'est-ce pas ?
Bellamy : oui.
- Alors tu es responsable de tous ça.
Je tourna les talons et alla dans ma tente de fortune, je mis une peau de biche en guise de manteau, et pris plusieurs couteaux que je cacha dans les poches de mon pantalon. J'hésita a prendre une torche puis me dis qu'il fallait mieux ne pas attiré l'attention sur moi. Je sortir de mon petit chez-moi, et , rejoignis les portes du campement.
Je passa le pas des portes et continua mon chemin, je savais que les chasseurs étaient partis peu après moi, car la lueur des flammes éclairé une bonne partie de la forêt. Je décida de ne pas resté sur le chantier que nos allés et retours avaient créé.
Alors, je tourna a gauche et me fit encombré par la noirceur, m'enfonçant un peu plus a chaque pas que j'effectuais. J'essaya d'être la plus discrète possible mais je ne pu empêcher les brindilles de casser sous mon poids, je grimaça et m'arrêta net.
J'écouta, m'assurant que personnes n'étaient autour de moi, a me surveiller. Après plusieurs minutes de silence je repris mon chemin, en marchant sur la pointe des pieds. Après avoir marché un kilomètre sans n'avoir rien vu, je décide d'essayé leurs techniques, en étant comme eux, je pourrais me fondre dans la masse et les démasqués.
Alors, je m'approcha d'un grand arbre, et m'y accrocha, je vérifia qu'il y aurait des appuis pour mes pieds, et ce fut le cas. Je commenca a monter, lentement, mais en m'assurant de ne pas tomber. Je n'etais même pas monter a plus de 5 mètres du sol que quelque chose m'agrippe la jambe et tira dessus, mes mains glissèrent sur le bois humides et je fut obligé de lâcher prise. Je m'écrase au sol et roule sur le dos, étant consciente que je n'étais pas tomber par simple manque d'attention.
Des mains empoignes la fourrure posé sur mes épaules et me fit violement me redressé, je donna des coups de poings dans le vide, trop paniqué pour réfléchir a ce que je devais faire, je devais survivre voilà ce que ma tête me disait. Soudain, je ne sentis plus leurs emprises sur moi, alors je me calma et observa attentivement aux alentours. Je ne vis rien, et cela m'agacais au plus haut point, ils étaient lâches.
Je m'acroupi et me cacha derrière l'arbre qui était a mes côtés, je sortis mes couteaux et attendit que quelque chose se passe. Mais la personne qui m'avait attaqué ne se montra pas, alors je fut contrainte de partir a sa recherche, convaincue qu'il était toujours dans les parages.
Moi: Vous avez peur ? Vous êtes des trouillard ? C'est pourtant pas ce que je croyais quand vous avez attaqué mon ami !
Seul le silence me répondit, mais je savais qu'il m'écoutait et qu'il me regardait. Je tourna sur moi même, essayant de les remarqués mais la noirceur m'en empêcha. J'eu a peine le temps d'esquiver le coup de poing qui devait s'enfoncer dans mes côtes, son poing m'effleura et je fit un bond en arrière. Immédiatement je contre attaque, balançant mon pieds qui atteri dans son abdomen, il eut un mouvement de recule dû au choc mais se reprit vite.
Je savais qu'il s'agissait d'un homme, par sa carrure et sa taille, alors que je le détaillé, il en profita pour me faire un croche pied. Je me retrouva au sol....encore une fois, et il se mit a califourchon sur moi, je me débat et voulu placé mes couteaux sous sa gorge, mais, il me désarma et les Jetta a plusieurs mètres de nous.
Je lui donna un coup de poing dans le nez et un filet de sang s'en échappa, mais il ne me lâcha pas pour autant. Je grogna de rage et bougea dans tout les sens, soudain, une masse s'écrasa sur mon agresseur et le poussa loin de moi, je me releva instantanément et regarda la scène, bouche bée.
Quelqu'un se battait contre mon assaillant et il eut très facilement le dessus, il prit sa tête et la frappa violement contre un tronc d'arbre. Mon assaillant fut assommé et s'effondra au sol, j'observa la personne venu a ma rescousse, il s'approchait lentement de moi, comme ci il avait peur de m'effrayer. Il se posta face a moi, en voyant que je ne tentai ni de m'enfuir ni de l'attaquer.
?: Je t'ai déjà vu faire mieux en terme de combat.
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