𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟏𝟗 : 𝐿𝑒 𝑇𝑎𝑏𝑙𝑒𝑎𝑢 𝐻𝑎𝑛𝑡𝑒́

           La fatigue commence se lire dans mes yeux, je le sais car Dean me met sa veste sur moi. C'est souvent un signe dans ce moment-là.  Toute la route faite ces dernier temps m'a beaucoup épuisé comme si j'avais couru un marathon. J'ai vraiment du mal   à reprendre mes force c'est temps-ci. Le manque chair humaine et vraiment bien présent.  Je fini par m'endormir en ayant un sommeil assez agiter durant ce dernier, je rêve, pas un rêve de personne ordinaire non un rêve de Banshee.  Avec uje personne mort dans un lit dans une maison très  étrange. Cette maison je  ne la sens pas du tout.  

Dans le salon d'une résidence, un homme tient une peinture d'une famille qu'il place au dessus de la cheminée, tandis que sa femme, regarde donc la peinture qui est composée d'un père regardant sa fille qui tient une poupée. La mère est assise avec ses deux garçons à ses côtés. Sur la table de la peinture, il y a un rasoir.

- Et, ça y est. Le voilà accroché à sa place. Dit l'homme

- J'arrive toujours pas à croire qu'on ait pu acheter ça. Dit sa femme riant.

- C'était une vente de charité, ne l'oublie pas.

- Regarde-le. Quand on le détaille, je trouve que... qu'il fait peur.

- Rassure-toi. Il déplace lentement sa main sur son dos tandis qu'elle rit. Je veillerai sur toi.

- Mais, peut-être que c'est toi qui est en danger, ici. Ils s'embrassent passionnément. On sera mieux là-haut.

- Laisse-moi deux minutes pour tout fermer. Ils s'embrassent à nouveau. Non, seulement une minute.

Elle rit et se dirige vers les escaliers. IL reste et éteint les lumières. Tandis qu'il est retourné, le père de la peinture bouge légèrement la tête. La femme monte les escaliers et la tête du père bouge à nouveau. Le mari marche vers la porte d'entrée. Tandis qu'il la verrouille, il sent une présence dans l'air et regarde autour de lui, mal à l'aise. Ne voyant personne, il éteint le reste des lumières. La femme sort de la salle de bain, vêtue d'une chemise de nuit et d'une robe de chambre. Elle entre dans sa chambre avec une petite bougie dans sa main. Elle retire sa robe et pose la bougie sur la table de nuit. Dans le salon,Le mari fait le code du système d'alarme de la porte d'entrée . Quelqu'un monte les escaliers lentement. Dans la chambre, la femme se met dans le lit.

- Mark Dépêche-toi ! Sinon, je vais commencer sans toi. Dit-elle

Dans le salon, ce Mark se dirige vers les escaliers. Tandis qu'il passe devant la peinture, le rasoir sur la table a disparu. Dans la chambre, la porte s'ouvre et l'ombre de quelqu'un entre. La flamme de la bougie s'éteint. Markmonte les escaliers, il entre dans la chambre et retire sa chemise et son pantalon.

- Mais, je n'y vois rien. Tu veux pas allumer ? Dit-il

Il s'apprête à l'embrasser, mais s'arrête.

- Mais, c'est mouillé.

Il allume une lampe proche et voit sa main pleine de sang.

- Anne ?

Anne est allongée dans le lit, la gorge tranchée. Elle et le lit sont complètement recouverts de sang.

- Anne ! Anne !

Il recule brusquement et fait tomber la lampe. Il tombe alors au sol. Une ombre s'approche de lui. Mark l'aperçoit et se met à crier. 

Je me reveille en hurlant en Banshee et Sam me prends vite contre lui. 

- Chut c'est fini ce n'est rien. Me dit-il. 

Je le sert en respirant doucement. Il carrese mes cheveux et je reprends doucement mon calme je me rends compte qu'on est garé sur un  parking de bar. 

- Dean est à l'intérieur il prends de quoi manger.  

- J'ai pas faim. 

- Thay si tu dois manger. 

- Pourquoi ? Ca va je vais pas mourrir , je suis imortelle. 

- Parce que ta  peau se deseche et que si tu  peux  mourir justement. 

Je soupire doucement et finis par ceder, je sors doucement de la voiture et vais derrière afin de m'assoir sur le coffre. Je profite de la  brise de  nuit, Sam  me rejoint et me regarde. 

- J'ai trouvé une affaire qui peut être pour nous.  Me dit le Winchester

- Je t'ecoute. Dis-je. 

-  Mark et Anne Telesca de New Paltz dans l'état de New York ont été tous les deux trouvés sans vie chez eux il y a quelques jours. 

- Ils ont était retrouvé la gorge tranché c'est ça ? 

- Oui, c'est ce que tu as vu ? 

- Oui c'est ce que j'ai vu. C'est bien une affaire pour nous. 

Je le regarde et ferme les yeux une seconde ensuite. Bon sang ce que s'est compliqué  touds ces pouvoir, j'ai l'impression de plus pou voir gégé quoi ce sois. J'ai fais une pause durant une affaire et ça m'a fait vraiment du bien. 

- Sam, dit moi ton père parle  de quelque chose du style dans son journal ? 

- Oui,  il a note là trois meurtres qui se sont passés dans le même coin de l'état. Il indique quelques notes sur une page. Le premier, c'est écrit là, en 1912. Le deuxième en 1945. Et, le troisième en 1970. Même manière d'agir que pour les Telesca. La gorge tranchée et tout était fermé de l'intérieur.

- Donc il faut qu'on aille là  bas, tu  fais un debrief a ton frère pendant que ? 

- Que tu mange , Oui evidement. 

Je sourit doucement et vois Dean sortir du Bar je  rentre a ma vitesse vampirique prends une personne donc je sens son coté mauvais et je l'emène derrière afin de lui voir son sang, suite a ça, je me tranqforme et marque tous chez lui, je laisse aucune trance comme tout bon coyote. Je d redeviens humaine, je  nettoie et retourne a la voiture avec les garçon, je regard mon dessserchement, qui cette fois est au ventre, disparaitre.  Je remonte das ma voiture sous le regard des garçons. 

- Donc on y va a cette maison ? Dis-je. 

- Oui, tiens.  Me dit Dean. 

Il me donne un hamburger avec des frite. Je  les  prends et mange après l'avoir embrasser, toujours bien equilibré viande Humaine et nouriture humaine important.  

***

Après une nuit a surveiller la maison  Sam  et moi nous revenons, Dean dors toujours et Sam le reveille en klaxionnant ce qui  le fait surveauté et moi rire. 

- C'est pas drole vous deux là !

- Bon,  le scanner électromagnétique n'a rien donné dans la maison. Il y a rien. Dit Sam.  J'ai lu l'histoire de la maison et rien non plus de ce coté là, ni fantôme, ni violence, ni crime. Il n'y a rien de spécial sur les Telesca eux-mêmes, d'ailleurs.

 - Ça vient pas des personnes, ni de l'endroit, alors... Peut-être de son contenu. Un objet maudit ou quelque chose, non ?

- J'ai vu un tableau dans ma vision mais comme t'a dis Sam y a rien, c'est vide. Dis-je. 

- Ou sont les affaires ?  

Sam mregarde un sourir  en coin et Dean me regarde ensuite, il comprends et je passe du coté conducteur.  Je conduis donc et me gare parmis des voiture de luxe, c'est brai que j'ai l'impression qu'on fait un peut tache. Je sorte de la voiture avec les garçkn et nous allons vers une salle de vente. Je respire doucement et  essaye de repérer le tableau en question mais rien, tous ces humains me perturbe trop. Un homme viens vers nous tans dis que dean mange. 

- Vous désirez quelque chose, messieurs , mademoiselle ?

- Non, vraiment desolé monsieur, on ne voulais pas vous importuner. Je suis Thalia Connors, voici Dean Mon  mari et Sam son frère, on tiens une galerie d'art et nous voulion jetter un ptit coup d 'oeil. 

- Je suis Daniel Blake. Ceci est ma salle de vente. Nous organisons une exposition privée aujourd'hui, et je ne crois pas vous avoir vu sur la liste des invités.

- On n'allait pas rester. On jette juste un dernier petit coup d'œil. Dit Dean. 

Un serveur passe et il allais prendre une coupe mais je grogne il se tiens plus tranquille.

- On s'en va. dit SAm. 

 Nous tournos et les tallon puis passons a une autre  partie.  Dans cette autre partie de la salle des ventes, nous continuons à regarder par-ci, par-là. Après quelques minutes, ils remarquent une peinture de la maison des Telesca. Nous nous aprochons de cette de cette dernière et commence à l'observer. 

- C'est cette peinture que j'ai vu.  Dis-je.

J'approche doucement ma mains du tableau  puis j'entends une voix derrière moi : 

- Bel exemple de primitif américain, n'est-ce-pas ? 

Je respire doucement, c'est une femme. Je  me retourne tout comme les  garçons. 

- Je dirais que c'est plus proche de Grant Wood que de Grandma Moses. Dit Sam. Mais, vous le saviez. Vous avez voulu voir si, moi aussi, je...

- Je l'avoue. Ce n'est pas très gentil et je m'en excuse. Dit la femme. Je suis Sarah Blake.

Je  la regarde et regarde Sam, ho un jeu de seduction, ils se serent la main. Je tourne la tête vers mon  mari et le voilà encore entrain de manger.  

- Et moi Sam, voici mon frère Dean et sa femme Thalia. 

- Vous voulez une pars de tarte ? 

- non merci c'est gentil. Dis-je. 

Elle regarde a nouveau Sam. 

-Puis-je vous être utile à quelque chose ? Dit-elle. 

- Oui, c'est très gentil. et bien que pouvez-vous nous dire sur l'héritage des Telesca ?  Dit Sam.

- Il n'y a rien de bien intéressant et je ne vois pas pourquoi on vend ça aussi vite. Mais, je crois que papa a raison. Le sensationnel amène toujours des curieux. Les riches en premier.

- Il est possible de voir les provenances ? Demandais-je.

Sarah est sur le point de parler, mais elle est interrompue par son père, qui arrive derrière elle. POn y etait peesque, et je peux pas toucher ce fichu tablea a moins de l'achter afin de voir ce qu'il contient mais on a pas les moyen. 

- Il n'en est malheureusement pas question. Dit le père.

- Pourquoi ? Demande Sam.

- Vous n'êtes pas invités. Et, je crois qu'il est temps de partir.

- On se le fera pas répéter deux fois. Dit Dean. 

- C'est pourtant le cas.

- C'est bon, ça va. On ne veut aucun problème. On s'en va. Dit sam. 

Je secoue la tête et sort avec les garçons grognant. On se dirige vers la voiture et on monte dedans afin d'aller  dans un motel. 

- Bordel j'aurai pu toucher cette toil pour savoir ce que c'était son histoire mais j'ai même pas vu !

- Thay  calme toi, déjà est ce que tu as ressentis quelque chose.   Me dit Sam. 

- Oui evidement que oui. J'ai ressentis une  grosse pars sombre de ce tableau. 

 Les garçons se regardent et me regarde, on  devais en savoir plus sur ce tableau. Nous arrivons ensuite vers le motel, et vous sorto,s les sac avant de s'intaller dans une chambre decoré comme dans les annnée 70.  On s'insalle  donc , une fois mes affaire finie de debaler, je m'assois sur le lit et regarde les garçons. 

- Donc ce qu'il faut faire c'est troubé la provenance de tableau, Sam tu vas donc nous aider. 

- Pourquoi moi ? 

- Parce que c'est toi qui lui a tapé dans l'oeil. 

Dean et moi nous rions et donnons son tel a Sam pour qu'il l'appel. Après cet appel Sam est donc partie avec Sarah afin de faire un rendez-vous, j'ai l'impression que c'est parfait pour ce petit Winchester. Je m'installe sur le lit de Sam et regarde le Bestiaire de ma famille, du moins  jusqu'a ce que  Dean me le retire des mains.  Je ris doucement et le tire contre moi avant de l'embrasser. Nous faisons lamour aussi sauvagement que d'habitude. Je  lui laisse des marque, il me laisse des marque, on en de truit presque le lit.  nous recommençons ensuite sous la douche, nous allons ensuite nous couché. 

     Le reveil fut tranquille, comme le petit dejeuné, Sam et moi on fait des recherche tans dis que que Dean equise un couteau. Les garçons parlent du rendez  vous de Sam avec Sarah, cette dernière lui a bien donner tout les papier qu'il noud fallais. 

- J'ai trouvé quelque chose. dit Sam. 

Dean s'approche de lui pour regarder ses recherche, je fais de même et Sam lui tend les provenances.

- Portrait d'Isaiah Merchant et sa famille, peint en 1910. Dit Dean.

- Et, compare les noms de ses possesseurs avec les noms de l'agenda de papa. Dit Sam.

Dean s'assied à coté de moi avec les documents, il regarde ensuite le premier nom.

- D'abord vendu à Peter Simms en 1912. Déclare l'ainé.

Sam indique quelque chose dans le journal de John. Je regarde le nom et lit avant de regarder mon mari.

- Peter Simms s'est tué en 1912. Dit Dean.

Il regarde les autres papiers.

- C'est pareil en 1945. Dis-je sans même regarder.

Il lit le dernier nom alors que Sam me regarde.

- Et, c'est pareil en 1970. Dit Dean.

- Ensuite, il est rangé et donné à vendre à une vente de charité le mois dernier. C'est là que les Telesca se le procure. Alors, à votre avis, il est hanté ou maudit ? Dit Sam. Thalia tu en pense quoi toi qu'il l'a vu  ? 

- Je peux pas dire Sam, je ne l'ai pas toucher mais j'ai ressenti quelque chose de puissant près de lui et dans mon rêve. Dis-je.

- De toute façon, sa dernière heure a sonné. Dit Dean. 

Je respire doucement, c'est bien ce que je pensais, un tableau  viant. Maudis ou Hanté c'est la question, de toute façon on doit s'en de barassé au plus vite. On se prépare donc pour  aller le chercher se tableau. Une fois qu'il fait nuit, nous sortons de l'hotel pour aller dans la salle des ventes.  Nous escalado,ns le portail afin de rentré, Sam desactive le système d'alarmes et le desamorces ce qui nous permets d'entré dans cette salle.  Nous entrons dans la salle des ventes, Sam et Dean regardent autour d'eux, lampe de poche en main. Tout d'abord, ils n'aperçoivent pas la peinture. Dean illumine avec sa lumière l'étage et je voit le tableau. Je me dépêche de monter les escaliers avec les garçons. . Une fois en haut, Dean sort son couteau et découpe le contour de la toile, pour l'enlever du cadre, suite a ça nous partons donc. Nous alons vers une autre salle et la peinture est au sol, Dean sort de quoi la bruler.

- C'est d'une laideur ! Le monde de l'art devrait nous remercier. Dit Dean.

Il lâche l'allumette sur la peinture et Sam et Dean la regardent prendre feu, je les regarde pas tellement convaincu que ça est marché, surtout que je vois quelque chose d'étrange quand elle brule. NOus rentrons ensuite au Motel afin de nous reposer.

Après une douche alors que Sam et moi on discute, Dean sort de la salle de bain paniqué. Je le regarde tous comme Sam on fronçant les sourcils.

- On a un problème. Je trouve plus mon portefeuille. Dit Dean.

- En quoi c'est mon problème ? Dit Sam. 

- J'ai du le faire tomber là-bas cette nuit. 

- Non, tu te fiches de moi ? Dis-je en même temps que Sam. 

- Non, pas du tout. Il y a mes empreintes, ma carte d'identité, ma fausse carte, je veux dire, mais il faut la trouver avant que quelqu'un le fasse. Aller depechez vous !

Nous secons la tête et on le suis donc de nouveau dans cette salle des vents, je ressent quelque chose d'étrange lorsqu'on rentré, le parfum de Sarah déjà, puis cette noirceur que le tableau dégage. Pendant que les garçons cherche le portefeuil, je me dirige doucement vers le Tableau.

- Bordel. Dis-je.

Je descend vite et vois Sarah juste devant Sam, Dean s'est eclipsé afin de me chercher, je pense.

- Alors... Dit Sam Nerveux.

- C'était très agréable, hier soir. Dit-elle.

- Oui. Oui. Oui, c'est vrai

- Et, rien ne nous interdit de recommencer.

- Vous voyez, j'en serais enchanté, oui, c'est vrai. Mais, Dean a encore raconté des histoires. Il faut vraiment qu'on s'en aille aujourd'hui.

- Ah ! Oh. C'est vraiment dommage.

J'essaye de faire signe a Sam de regarde le tableau que quelqu'un emmène.

- Mais, c'est pas vrai ! Dit Sam.

- Quoi ? Dit Sarah.

- Euh... Ce tableau... Il est étonnant.

- Euh... En fait, il est assez monstrueux. Mais, c'est vrai qu'on peut dire qu'il est étonnant dans un sens.

- Sarah, que savez-vous précisément sur lui ?

- Très peu de choses. Juste que j'ai une peur bleue en le voyant. On l'avait vendu aux Telesca au cours d'une vente de charité le jour où ils sont morts.

- Oui. Et, vous allez le vendre à quelqu'un d'autre ?

- Ah, non. Je ne pense pas. Pas à la suite d'un tel drame. Et, il n'est pas en très bonne état.

- Ecoutez. Gardez-le surtout. Gardez-le. Personne ne doit l'acheter.

- Pourquoi ça ? Ne me racontez pas que vous vous intéressez à ça.

- Non, non, non, non. Pas du tout. J'ai pas l'intention de l'acheter. Je dois vous laisser. Je suis très pressé. Mais, je vous promets de vous faire signe. Oui, je reviendrai vous voir tout à l'heure.

- Attendez une seconde, vous l'allez pas nous quitter ce soir alors ?

- Non, je crois que non. A tout à l'heure.

Sam s'en va et je le suis a ma vitesse vampirique. Je les rejoint dans la voiture.

- Bon, il a pas bruler je le savais qu'un truc allais pas avec ce tableau. Dis-je.

- Et toi si tu le brule avec tes pouvoir ? Dit Sam.

- Ca fera pareil, bon on ais que les tableau hantée subissent l'influence des personnages qu'on peut voir sur les tableaux.

- Exactement, Alors, il ne reste qu'à vite découvrir ce qui se rapporte à cette repoussante famille et à ses repoussants parent Dit Dean. 

Nous partons donc vers la Bibliothèque de la ville afin d'en savoir un peu plus sur tout ça. Nous rentrons donc et un vieux monsieur a lunette nous prends en charge. 

 Vous avez bien dit la famille de Isaiah Merchant ? Dit-il.

- Oui, c'est exact. Dit Sam.

- Je vous ai sorti toutes les informations et les coupures de journaux. Vous êtes passionnés par ces meurtres ?

- C'est ça. Et, par tous les autres. Dit Dean.

- Bon... Regardez.

Il nous montre la une d'un vieux journal. Le titre dit 'Le père massacre sa famille, et se suicide'. Je prends le journal dans les main et vois la scène qui se déroule sous mes yeux. Je lache le journal et m'assois faisant comme si de rien n'était ecoutant.

- Oui. C'est de ça qu'on vous parlait. Dis-je.

- Et, toute la famille a été tuée ? Demande Sam.

- Euh... Tuée par cet Isaiah. Il a égorgé ses fils et sa femme et lui-même. Il avait été barbier pendant longtemps. Il a utilisé un de ses anciens rasoirs. Reponds le vieille homme.

- Pourquoi il a fait ça ? Demande Sam.

- Alors, attendez.

Il commence à lire l'article.

- 'La plupart des témoins nous parlent d'Isaiah comme de quelqu'un de sévère au tempérament glacial. Il tenait sa famille d'une main de fer. Une femme, deux garçons et une fille adoptée.' Oui, oui, oui, oui. 'Certains témoins ont dit que la femme voulait s'en aller très loin avec les enfants.' Mais, vous savez. A cette époque, c'était mal considéré. Alors, en réponse, le vieil Isaiah leur a offert une coupe gratuite.

Le bibliothécaire fait le geste de trancher une gorge et rit. Dean rit et moi aussi, mais Sam reste sérieux.

- Ils disent où on a mis les corps ? Demandais-je. .

- Ils ont tous été incinérés. Dit le veille homme.

Nous nous regardons, incinéré bon sang comment on va faire cette fois ? Comment ce tableau est enté sil les corps son plus la.

- Il y a autre chose ? Dit Sam au Bibliothecaire.

- Oui. Attendez. J'ai trouvé une photo de la famille. Ah, oui, par ici. Vous allez voir. Dit-il.

Il ouvre un autre livre à une certaine page

- Oui, la voilà.

La photo du livre est la même que celle en peinture, à part que dans le livre, le père, Isaiah, regarde droit devant lui. Sur la peinture, il regarde sa fille, je regarde les gaçons , il y a que Sam qui le remarque aussi bien que moi.

- Euh... Vous pouvez nous en faire une photocopie, s'il vous plaît ? Demande Sam.

- Oui, bien sûr.

Il y va, une  fois cette photocopie faite, nous rentrons au motel.   Les garçons discute du fait  que le tableau est diferent de la photo et je cofirme. Je touche la photo et vois quelque chose d'étrange.  

-  Les garçons, le tableau il a était vendu. 

- Comment ça vendu ?   Dit Dean.

Je regarde les garçons et  vois SAm au ytéléphone c'est Sarah vu comment il parle. 

- Oui. A la suite d'une longue discussion avec mon frère, on s'est dit qu'on aimerait bien revenir chez vous et revoir ce tableau qui nous intrigue. Et, il est possible qu'on vous l'achète. Quoi ? Et, à qui l'avez-vous vendu ? Il nous faut son adresse d'urgence.

Une fois qu'on a l'adresse, on se dirige vite vers la maison ou se trouve, le tableau. Nous arrivons en trombe devant la maison et on se garent devant la maison de la femme nommé Evelyne et on sort de voiture. Sarah est déjà là avec sa propre voiture.

- Qu'est-ce qu'il se passe encore ? Dit-elle.

- Vous n'auriez pas du venir. Dit Sam

NOus montons les marches vers le porche. Dean frappe à la porte.

- Eh ! Ouvrez tout de suite ! Dit Dean.
- Vous avez dit qu'Evelyn était en danger. Mais, quel genre de danger ? Dit Sarah.
- La porte est solide. Tahlia je te laisse faire.

Je respire doucement et les r garçons reculent puis font reculer Sarah, je crie fortement envoyant un champ avec ma voie qui ouvre la porte.

- Qui vous êtes ? Des cambrioleurs ? Dit Sarah.

- On aimerait bien que ça soit si simple.. Vous devriez attendre dans ma voiture. Ça vaudrait mieux. Dit Sam.

Sam et Dean entrent dans la maison, je reste a l'extérieur ne pouvant pas entrer sans invitation.

- Non, je viens avec vous. Evelyn est une amie. Dit Sarah.

Sarah les suit à l'intérieur, je soupire doucement les laissant faire. Je peux sentir l'odeur du sang, et passe un pied, je peux entré, la prpriétaire est donc morte. Je respire doucement et vois cette femme morte. Sam fait Sortir Sarah, je reste un moment et regarde le tableau, il regarde droit devant lui maintenant.

- Qu'est ce que tu cache ? Je vais finir par découvrir ton secret.

Je sors ensuite de la maison, et repare la porte comme la police dois venir. Nous rentrons donc au Motel, ou je m'installe sur le lit afin de savoir comment je peux detruire ce tableau.  Dean est assis tandis que Sam fait les cent pas. Quelqu'un frappe à la porte et Sam ouvre.

- Sarah entre. Est-ce que ça va ? Dit Sam.

- Non, ça ne va pas du tout. J'ai raconté des histoires à la police en prétendant que j'étais allée seule chez Evelyn et que je l'avais trouvée comme ça. Dit Sarah.

- Merci.

- Non, ne me remercie surtout pas. Parce que je vais les rappeler si vous ne me dites pas immédiatement qui est le coupable de ces meurtres.

Je regarde les garçons, qui se regardent et me regardent.

- Pas qui. Dis-je.

- Pas qui ?

- Ça a l'air fou. En fait, le tueur n'est pas humain.

- Quoi ?

- Vous avez vu le tableau qui bougeait, vous aussi. Dit Sam.

- Non. Non. J'ai eu des hallucinations. Ça n'est pas possible.

- Bienvenue dans notre monde. Dit Dean.

- Sarah, ça va vous paraître insensé. Mais, nous croyons que le tableau est hanté. Dit Sam.

Des larmes se forment dans les yeux de Sarah, elle comrends vraiment pas la situation :

- Vous plaisantez ?

Sam ne répond rien.

- Non, vous êtes sérieux. Et, il faut que je vous aie rencontrés ! Donc Thalia est hanté aussi c'est pour ça qu'elle reussi a detruire la porte avec sa voix ?

- Non. Dit Dean.

- Réfléchissez une minute. Evelyn, les Telesca. Ils ont possédé le tableau à tour de rôle. Et d'autres encore avant eux. Là où le tableau passe, des gens meurent. Et, on veut détruire ce tableau. C'est vrai, je le jure. Dit Sam.

- Vous avez intérêt à me faire voir ça. Emmenez-moi avec vous. Dit Sarah.

- Quoi ? Non. Sarah. Non, non. Vous allez rentrer chez vous. Ça risque d'être dangereux, et je...

Dean le regarde, compréhensif.

- Je ne veux pas qu'il vous arrive quelque chose. Dit Sam.

- Vous êtes probablement fous tous les trois, mais si jamais vous avez raison, ayant vendu ce tableau, je suis impliqué là-dedans, et mon père aussi. Je ne dis pas que je n'ai pas peur, parce que je n'avais jamais eu aussi peur de ma vie. Mais, je préfère affronter la réalité.

Elle s'approche de la porte.

- Bon, alors, on y va ou quoi ?

Sarah s'en va.

- Sam ? Dit Dean.

Sam se retourne vers lui.

- Epouse cette fille.

Je ris a cette phrase, c'est exactement ce que lui a dis son frère pour moi.  Nous terminos ce que nous faisons puis nous allons a nouveau chez cette Evelyne afin de trouver des indice sur comment detruire ce tableau.  Une fois devant chez cette Dame, je laisse les garçon soccupper de la porte cette fois et Dean coupe le ruban de la police. Dans le salon de la maison d'Evelyn, Sam retire la peinture du mur et la pose sur un fauteuil. NOus observons donc le tableau.

- Vous n'êtes pas inquiets à l'idée qu'il essaie de vous tuer ? Dit Sarah.

- Non, il semble n'intervenir que la nuit. On devrait être tranquilles à la lumière du jour. Dit Sam.

Dean compare le vrai tableau à la photo du livre, je regarde attentivement les deux.

- Regardez ça, Le rasoir... Il est fermé alors que là, il est ouvert sur l'autre. Dis-je.

Je leur montre la photo.


- Qu'est-ce que vous cherchez ? Demande Sarah.

- Si un esprit change le tableau, on peut penser qu'il le fait pour une bonne raison. Dit Dean.

- Et, regardez là. Le tableau dans le tableau.Dit Sam.

Dans la photo du livre, Isaiah est devant un tableau représentant des montagnes. Dans le véritable tableau, il se trouve devant un tableau avec un bâtiment.

- On dirait un caveau, un mausolée ou bien une crypte. Dis-je.

Dean attrape un cendrier sur une table et le tend devant la peinture afin de lire le tableau.

- Merchant.

Les garçons me regarde et je hoche la tête. Nous allons donc vers le cimetière ou ce trouve ce tombeaux. Une fois ttrouvé, on se dirige vers ce qui resemble a un mausolée. Sam, Dean et Sarah entrent dedans, il couvert de toiles d'araignées. Les murs sont couverts de tableaux et d'urnes. Sarah s'approche d'une paroi en verre qui préserve une poupée. Je reste vers l'exterieur n'arrivant pas a entré.

- Ça y est. Vous avez gagné. Vous m'avez montré ce que j'ai vu de plus lugubre dans ma vie. Dit Sarah

- C'était une sorte de tradition à l'époque. Quand un enfant mourrait, il arrivait souvent qu'on lui place son jouet préféré derrière une paroi en verre qui se trouvait près de la pierre tombale. Dit Sam.

- Vous ne voyez rien d'étrange ? Dis-je.

- Il faut tout vous citer ? Dit Sarah.

- C'est pas ce qu'elle voulais dire. Regardez les urnes. Dit Dean.

- Il y en a quatre seulement. Dit Sam.

- La mère, les enfants. Mais, pas le père. Il a été gardé ailleurs. Dis-je.

- Alors, où est-il ? Dit Sam.

Les garçons me regardent a nouveau et je recule doucement, je ferme les yeux, j'essaye de savoir ou il est mais je suis projeter plus loin. 

- Thalia ! Hurla Sam. 

Les garçons courent vers moi et je me relève doucement. 

- TU a ressi ?  Demande Sam. 

- Nous, si ça a fait ça, il est qu'a un seul endroit, vers une eglise.   Dit Dean. 

Il me porte et nous allons donc a la voiture avant d'aller vers cette eglise. La nuit  est tombé quand nous somme arrivé au cimetière, Je creuse la tombe d'Isaiah tandis avec Dean que Sarah tient une lampe de poche avec Sam.

- Je peux vous parler franchement ? Dit Sarah.

- Oui, bien sûr. Dit Sam.

- Je ne voudrais pas avoir l'air pressé, mais ici, une fille risque d'attendre longtemps. Est-ce qu'il se passe quelque chose entre nous ? Ou bien, est-ce que je me fais des illusions ?

- Non, vous avez raison.

- Mais, il y a un 'mais', n'est-ce-pas ?

- Mais... Je crois que ce serait une mauvaise idée.

- Oui, et pourquoi ?

- Vous me plaisez.

- Oui. Alors là, je suis perdue.

- Oui, c'est difficile à expliquer. Les êtres chers qui m'approchent sont en danger. Et, je veux leur éviter ça.

- De quoi parlez-vous ?

- Je parle de ce que je connais. Avec ce que, mon frère et moi, nous faisons, ça s'explique...Sarah... J'étais avec une fille. Elle est morte. Et, ma mère est morte, elle aussi. On dirait qu'il y a... une sorte de malédiction sur moi et que je suis poursuivi par la mort. C'est pas pour moi que j'ai peur. Mais, si jamais j'aime quelqu'un, alors j'ai peur de...

- D'attirer le mal sur sa tête ? C'est très gentil. Mais, c'est très vieux jeu aussi.

- Pardon ?

- Je suis une grande fille, Sam. Et, vous n'avez pas à prendre de décisions pour moi. Il y a du danger tout autour de nous

- Sarah, vous ne comprenez pas. Je ne parle pas de quelque chose d'anodin. Je vous parle de mort, c'est autre chose.

- Vous pouvez être renversé tout à l'heure par un bus. C'est la vie qui veut ça. Je sais que c'est terrible de perdre quelqu'un qu'on aime. Vous vous sentez vidé et vous fuyez le monde. Je connais. Mais, si on écoute sa peine, elle devient plus bruyante que tout le reste.

- Pardonnez-moi. J'ai trop souffert. J'ai pas envie que ça recommence. Je crois que je ne pourrais pas le supporter. Je refuse.

Je sourit doucement en les entebdant discuter comme ça, ça me fais plaisir pour Sam. Je regarde Dean qui me regarde aussi.

- Je trouve ça vraiment bizarre de voir comment vous violez une sépulture. Dit Sarah après un moment de silence.
- Oui. C'est pas la première fois qu'on fait ce travail. Je garde ma côte ? Dit Sam

- Il y a quelque chose par là. Dit Dean.

Sarah tend la lampe au-dessus de lui afin qu'il puisse voir. J'utilise ma mains pour casser le cercueil d'Isaiah, où se trouvent ses os. Dean et Sam couvre de gros sel et d'essence les os.

- Tu as vraiment été une belle ordure, Isaiah. Il allume une allumette. Va en enfer. Dit Dean.

J'allume donc le feu et nous allons ensuite de nouveau chez Evelyne pour voir on ça en est le tableau. Nous nous garons devant chez elle.

- Laisse tourner le moteur. Dit Sam.

- Il y a plus de danger d'après ce que vous disiez.

- Mieux vaut être prudent. Et, le tableau est dangereux. Dis-je.

Sam sort de voiture, je le suis aussi mais Dean me retiens.

- Je veux venir avec vous. Dit Sarah.

- Vous êtes sûre ? Dit Sam.

- Oui.

Elle sort donc de la voiture.

- Eh, eh, eh ! J'attends ici. T'as les mains libres. Sam soupire. Sam, je suis sérieux. Dit Dean a son frère.


Je ris alors que Sam ferme la porte de la voiture et lui et Sarah se dirigent vers les marches du perron de la maison. Dean allume la radio, qui joue une chanson d'amour. Sam le regarde et lui demande d'arrêter la musique. Dean s'exécute et Sam et Sarah entrent dans la maison. Je ris toujours envoyant tout ça et regarde dEan.

- Tu es sur c'est pruden ?

- Mais oui fait lui confiance. Dit mon mari.

- Dean, c'est pas lma meilleure ami qui parle c'est...

J'entends des rire de petite fille et la porte se ferme d'un coup.

- Bordel ! Je le savais !

Je sort vite de la voiture avec Dean et nous appelons les deux a l'interrieur.

- Dean ! Eh ! C'est toi ? Dit Sam.

- Sam, tout va bien ? Dit Dean.

Au lieu de parler à travers la porte, Sam appelle Dean sur son portable. Dean répond donc..

- Dean.

- Dis-moi que t'as fermé la porte.

- Non, c'est pas moi. C'est sûrement la fille.

- La fille ? Quelle fille ?

- Elle n'est plus dans le tableau. Je pense que c'est elle qui a tuée.

- C'est pour ça que le père la regardait. Il voulait peut-être nous avertir.

- Oui, bah, on verra ça plus tard. Fais-nous sortir d'ici pour l'instant.

- J'essaie, mais la serrure est compliquée.

- Alors, demande a ta femme !

- Oui tu as raison !

- L'esprit est tout près.

- Va falloir le tenir à distance et trouver la parade. Cherche du fer et du sel;

Je regarde Dean et secoue la tpete. Je respire un bpn coup et recommence avec ma voix a defoncé cette porte. Mon mari ente vite et va aider son frère comme il peux.

- Je m'occupe de la poupée. Dis-je.

Les garçons hoche la tête et je me dirige vers le cimetière aussi vite que je peux , je force le passage pour entrer dans le Museo, et je reussi atteindre la poupée, je la brule malgré les brulure sur mon corps et sort vite avant de bruler complètement, je retrouve les garçons et Sarah. NOus rentrons tous ensuite. 

***

         Au matin nous allons a la salle des ventes, deux employés emballent le tableau dans une boîte. Dean nous rejoint , avec une feuille de papier en main.

- Tout se trouvait dans les archives du comté. Les Merchant avaient adopté la jeune Melanie. Vous savez pourquoi elle était orpheline ? Elle a tué sa famille pendant qu'elle dormait. Dit Dean.

- Cette petite fille ? Dit Sarah.

- Oui. Qui aurait soupçonné cette petite fille ? Et, quand elle a tué Isaiah et sa famille, c'est lui qu'on a accusé des crimes.Dit Dean.

- Depuis sa mort, son esprit veut donc nous avertir. Dis-je.

Employé : Où il va celui-là ? Dit l'employé.

- Celui-là, vous pouvez le brûler. Dit Sarah.

Ils la fixent, confus.

- Mais, je suis sérieuse. Merci.

Les employés, étonnés, emportent la boîte avec eux.

- Pourquoi elle a fait ça ?

- Tuer les autres et se tuer elle-même ? Elle avait l'esprit torturé à sa naissance. Et, quand elle est morte, son esprit est resté aussi cruel.

- Quoiqu'il en soit, pour nous, c'est fini. On va pouvoir partir.

- .Alors, vous me laissez toute seule ?

Sam soupire et regarde Dean puis moi. Ils restent silencieux pendant une minute.

- J'attends dans la voiture avec ma femme. Salut, Sarah.

Sarah acquiesce et lui sourit. Puis, Dean s'éloigne avec moi :

- C'est moi qui ai encore tout fait, et comme d'habitude, je n'ai aucun remerciement.

- Evidement mon amour, moi je te remercie.

- Toi oui toujours.

On s'embrasse et et allons dans la voiture pour attendre Sam, ce dernier sort et s'approche de nous. Sarah ferme la porte derrière elle et s'appuie contre celle-ci. Elle attend là, silencieuse et triste. Après un moment, quelqu'un frappe à la porte et elle ouvre. Sam entre et l'embrasse passionnément. Elle sourit et lui rend son baiser.

- Ça, c'est mon frère. Dit Dean.

Sam et Sarah continuent à s'embrasser même allier plus loin. Je prends ensuite le journal de John et vois quelque chose de bizzare. IL est la dans un Hopital avec le demon au Yeux jaunes ils parlent mais j'entends rien, je vois ça pendant n moment avant de sentir la main de DEan sur mon bras; Bordel JOhn qu'est ce que tu as fait encore. 


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