6 avril 2006

Dans une chambre d'hôtel, je regarde l'ordinateur afin d'effectuer des recherches sur John. Ce que j'ai vu en partant du Kansas me laisse sans voix. Je ne pouvais pas y croire. John était là dans la même ville que noud et il ne voulait pas nous voir, personnellement cela m'était égale qu'il ne veuille pas me voir moi mais qu'il refuse de voir ses fils pour savoir ce qui c'était vraiment passer ce soir-là et le pourquoi c'était arrivé à Mary et moi ainsi qu'à Jessica. Je voulais tellement lui dire ce que je penser et cela m'énerve tellement que j'en grogne sans m'en rendre compte avant de sentir quelque chose d'étrange qui vas se produire.
Je regarde les garçons avec un petit sourire en signe que tout va bien. Sam venait de raccrocher avec un homme qui avait peut-être des informations sur John. Evidemment, je ne leur avais toujours rien dis de ce que j'avais vu pour moi, ils ne devaient pas le savoir sinon ils auront été blessés profondément.

- Caleb n'a aucune nouvelle ? Dit Dean.

- Non. Ni Karl Jefferson, ni le Pasteur Jim. Tu ne peux rien tirer de son journal ? Dit Sam.

- Non, il n'y a pas l'ombre d'un indice qui pourrait nous éclairer. Il faut dire que papa a une façon d'écrire très bizarre. Dit Dean.

- On devrait peut-être avertir les fédéraux. Ou les personnes disparues. Dit Sam.

- À mon avis, il n'apprécierait pas qu'on lui mette les fédéraux aux fesses. Dis-je en me levant.

- Tant pis pour lui. Dit sam.

Le téléphone de Dean se met a sonner et il le cheche. Je lui envoie avec mes pouvoir. Il me remercie avec un baisé et regarde son frère.

- Après tout ce qui s'est passé au Kansas, c'est normal. Tu l'as bien dit toi-même. Il aurait du être là, mais on n'a même pas réussi à le joindre. Dit Sam en nous regardant

- Je sais. Dit Dean.

- Tu sais, il est possible qu'il soit mort. Dit Sam.

- Ne dis pas, ça, dis-je, Il n'est pas mort, je l'aurai senti. Il est...

Je suis coupé alors que Dean regarde son téléphone.

- Il quoi ? Il travaille ? Il se fait bronzer ? Demande Sam.

Je regarde Dean qui regarde son téléphone assez surpris.

- Tu viens de recevoir les coordonnée 42-89, ce sont les coordonnées d'une ville ou un policier c'est tuer après avoir tué sa femme. Plutôt ce policier est aller dans ancien asile Roosevelt. Dis-je alors que Dean prends le journal John.

Sam nous regarde avec incompréhensions en croisant les bras.

- Qu'est-ce que ça avoir avec nous ? Et d'où vienne ces coordonnés ? Dit Sam.

- Petit 1, regarde le journal de papa. Petit deux, c'est papa qui a envoyé les coordonnées il faisait souvent ça, il est vivant. Dit Dean.

Il donne le journal de John a Sam.

- Tiens. Sept apparitions non confirmées. Deux décès. Jusqu'à cette semaine, en tout cas. Je sais qu'il veut qu'on y aille. Dit Dean.

- C'est papa qui veut ça. C'est lui qui nous envoie là-bas. Dit Sam en me regardant.

-  Peut-être bien qu'on le verra là-bas. Peut-être bien qu'il y sera. Dit Dean.

-  Ça m'étonnerait. Il peut très bien nous envoyer là-bas et nous laisser nous débrouiller seuls. Dis-je.

- Et, alors ? C'est ce qu'il veut, ça suffit pour moi. Dit Dean.

- Et, tu ne trouves pas ça bizarre ? Ce message ? Ces coordonnées ? Dit Sam.

-  Sam. Papa nous dit d'aller là-bas, alors on y va. Dit Dean.

Sam regarde son frère qui se lève et me regarde ensuite.

- Et depuis quand tu ne demandes pas l'avis de Thalia ? Savoir si c'est une bonne affaire ou non. Dit Sam.

Je le regarde et soupire un peu avant de m'attacher les cheveux en prenant mes affaires. A vrai dire, j'étais en manque total de sang donc je ne suis pas au top de mes capaciter, de plus je ne fais pas vraiment attention a tout ce que le garçon pense ou dise depuis cette vision de John. Je ne sais même si les garçons l'ont remarqué à vrai dire. Je peux entendre Dean, s'arrêter pour moi, il aller partir sans savoir.

-  Laisse Sam, qu'il y aille. Il n'a pas besoin de moi. De toute façon j'ai des choses à faire alors aller à cet asile sans moi. J'ai déjà assez supporter ces vibrations surnaturelles. Dis-je en fermant mon sac. 

Je peux entendre Dean soupirer de tristesse.

- Thay...Le prends pas comme ça... Dit mon mari.

- Le prendre comment ?  Je le prends normalement Dean. J'étais bien moi dans ma petite ville, j'avais un boulot. Dis-je en me tournant vers lui.

- Tu étais loin de moi ! Tu comptais te faire une nouvelle famille ? Dit Dean. Un nouveau mari ? Et faire des enfants avec lui ?

Je pouvais sentir de la tristesse dans sa voix alors que Sam nous regarde avec une sorte de culpabilité mélanger à la tristesse.

- Non car je ne refais pas ma vie sans les Winchester, sans toi, c'est sûr mais tu as réussi à te passer de moi pendant 5 ans. Dis-je en me rapprochant de lui.

- Détrompe toi, je n'ai pas réussi. J'ai fait que t'observe lorsqu'une affaire était finie. Je ne pouvais pas être loin de toi. On devait fonder une famille et finalement, ça ne s'est jamais fait. Me dit-il les larmes aux yeux.

- Non car un putain de démon a empêché ça. Sam a raison on ne pourra jamais avoir une vie normale, car ce putain de job nous l'en empêche. Alors vas à cet asile et moi je vais ailleurs.

- Non, tu viens avec nous, je ne t'ai rien demander car je sais que si ce n'est pas une bonne affaire tu me le dirai tout de suite. J'arrive toujours à savoir quand tu as vu ce qui est arriver a des gens ou pas.

- Oui mais Dean, cette fois je n'ai rien vue. Dis-je.

Il sourit doucement et me caresse la joue avant de m'embrasser.

- C'est normal. Tu as eu une surdose de surnaturelle dans notre ancienne maison de plus, tu es en manque de sang alors je le comprends et puis tes pouvoir sont imprévisible.

Je hoche la tête, il a toujours réussi à me faire reprends confiance en moi et en nous. Et malgré c'est 5 ans de séparation il a toujours sus me comprendre.
A ce moment-là je sens quelque chose d'étrange se produire en moi, je suis comme en trans.

-  Alors?  Qu'est-ce qu'il y a ? Tu es encore fâché contre moi ?  Walt, je t'ai dit que je regrettais ce qui s'était passé. Combien de fois il faudra que je te le répète ?

Je prends l'arme qui est sur la commode, je sais que les garçons me regardent avec peur surtout ça qui ne comprends pas ce qui ce passe. Je met larme devant moi avant de la mettre sur ma tempe et de revenir enfin a la réalité après le crie de peur de Dean.

- Qu'est ce qui t'a pris ? Me dit Sam.

- Ce n'est rien. Ça arrive souvent, cette scène c'est là scène qui s'est produite avant la mort de cet homme. Dis-je en donnant son arme à Dean.

Les garçons me regarde en hochant la tête.

- Aller on y vas. Dit Dean.

On se dirige donc tous les trois vers la voiture afin de faire la route, une fois nous affaire prête et mise dans la voiture.
Durant le trajet je sentais que Sam me regardait alors que je joue a rentrer et faire sortir mes griffes.

- Sam arrête de me mater tu veux ? Dis-je en riant.

Il rit aussi et secoue la tête.

- Non je te matte pas je ne me permettrai pas. C'est juste ce qui s'est passer tout a l'heure dans la chambre je ne comprends toujours pas, je suis un peu sous le choc. Dit-il.

Je hoche la tête comprenant tout à fait ce qu'il ressent, je me rapproche un peu plus de lui afin de lui raconter un peu plus en détail.

- Ce qui s'est passer tout a l'heure c'est mon pouvoir de banshee qui est développer. Si tu veux, j'ai vécu la scène de mort de Walter. Dis-je.

- Et parfois, enfin souvent même elle reproduit ce qu'elle voit. Et c'est très effrayant comme ce qui c'est passer tout a l'heure, je te l'accorde. Dit Dean.

Le cadet hoche la tête comprenant tout désormais et nous continuons la route dans le calme afin de se reposer, surtout moi.
Une fois arriver, nous garçon la voiture et préparons un plan pour aborder l'ex-coéquipier de Walter, Danny Gunderson. Ce sont donc les garçons qui s'y collent cette fois afin de lui parler. Dean devait jouer un mec trop curieux qui fait chier le policier Gunderson et Sam un mec qui vient à son secours. Pendant que les garçons s'occupent de cela, je regarde mon téléphone et le prends afin d'appeler John et de lui laisser un message. Comme ça ne réponds toujours pas, je tombe sur la messagerie comme prévu mais je sais qu'il l'écoutera.

- John, c'est moi , c'est Thay. Je sais que tu étais au Kansas en même temps que nous. Je t'ai vu avec Missouri. Je sais que tu veux découvrir ce qui est arriver à Mary, à Jess et à moi mais les garçons ont besoin de toi. Ils te cherchent. En voulant les protéger tu leur fais beaucoup de mal. J'espère que tu en a conscience. Je peux retrouver la créature qui a tué Mary j'en suis capable. Un mot de ta part je le fais. Tes fils ont besoin de toi John et moi aussi. Revient vite d'accord ? On envoie moi un petit message comme ce que tu as fait pour les coordonnées. Je sens que ça leur fait du bien de te savoir en vie. Prends soin de toi John Winchester. On t'aime.

Je raccroche quand j'ai tout dit soupirant doucement et regardant les garçons qui reviennent. Je leur souris doucement alors que Dean  m'ouvre la porte afin que je sorte.

- Alors comment ça s'est passer ? Demandais-je.

- Très bien, tu n'as pas écouté cette fois ? Dit Sam.

- Nous je voulais pour une fois que vous me racontiez tous. Dis-je.

- en vérité ? Dit Dean.

- J'avais trop faim. Y a trop de cœur qui battent dans cet endroit. Dis-je en les regardant la main sur le ventre.

Les garçons me regardent et me raconte ce qu'il s'est passé, je regarde Sam grognant un peu quand il dit qu'il a un peu agressé Dean.

- Du calme, c'était pour le jeu de rôle. Dit Sam.

Je respire doucement en riant un peut et m'assois sur le capot de la voiture les regardant.

- Sinon tu as appris qui Sam ? Dit Dean.

- Ce Walter Kelly était un exemple. Premier de sa classe. Travailleur. Il avait un brillant avenir devant lui. Coté vie privée, sa femme et lui avaient des disputes comme tout le monde. Mais, ça se passait bien entre eux. Ils envisageaient justement d'avoir des enfants. Dit Sam.

Je fronce les sourcils et les regarde. Je ne trouvais vraiment pas ça normal pour moi quelque chose aller pas, un tric s'était produit entre temps pour qu'il ne finisse pas la tuer.

- Est-ce qu'il a dit quelque chose sur l'asile ? Demandais-je.

- Oui, il en a beaucoup parler. Dit sam.

Je le regarde toujours avant de fermer une seconde les yeux.

- Il faut qu'on aille a cet asile sinon, je vais devoir déclencher la vision et essayer de savoir ce que ressent Walter. Dis-je.

Les garçons hochent la tête comprenant et nous montons dans la voiture afin d'aller vers cet asile en question. Durant le chemin, je me remémore ce que j'ai dit à John et regarde mon téléphone pour voir si j'ai une réponse de sa part, mais rien. Sam nous raconte aussi un peut ce que lui a dit le policier sur l'asile.  Je suis sortis de mes pensé par l'onde de surnaturel, signe qu'on  est arrivé dans cet asile.
Lorsque nous somme enfin devant, les garçon passe par-dessus la grille et rentre. Je fais la même chose mais , je saute la grille. Nous montons les escaliers qui s'y trouve et ensuite nous rentrons dans le bâtiments. A ce moment je pouvez sentir mes yeux virer au bleu glacial.

Je tourne la tête vers Dean puis Sam.

- ça ce n'est pas normal. Dit Sam.

- Si c'est qu'il y a sois des humains en danger pas loin, sois cet endroit est bonder de surnaturel. Dis-je.

Dean hoche la tête pour confirmer ce que je dis et je ferme les yeux, aucun des garçons ne font du bruit.

- Il y a deux cœur qui battent en plus des nôtres, c'est qu'il y a des gens ici. Dis-je.

Je rouvre les yeux et les garçons me font de la place et signe de passer devant je rit doucement et passe donc devant. Je vais donc vers l'aile sud, je sens une vague immense de surnaturel.

- attendez. Dit Dean en sortant le journal de John.

Nous nous arrêtons et regardons Dean qui lit.

- En 1972,trois enfants pénètrent dans l'aile Sud. Un seul a survécu. L'un de ses copain sa pété les plombs et a mis le feu à l'asile , à ce qu'il a raconté plus tard.

Je le regarde et fronce les sourcils.

- Donc l'aile sud est au cœur de tout ? Dis-je.

- Visiblement oui, comme je l'ai dit dans la voiture, les flics ont cherché les enfants du coté ailes sud. Dit Sam.

Je réfléchis une seconde et passe mes mains sur mon visage.

- Ce n'est pas logique si autant de jeune pénètre ici, il devrait y avoir beaucoup plus de mort que ça. Dis-je.

Sam s'approche de la porte et montre quelque chose que je ne vois pas.

- C'est ferme avec des chaines. Dit me Cadet.

- Il n'y a rien. Si? Dis-je.

Je regarde Dean qui fait confirmer qu'il y a bien quelque chose.

- Alors c'est pour empecher d'y rentré...Dit Dean.

- ou d'en sortir. Dis-je.

Sam me regarde en fronçant les sourcils alorsqu'on avance.

- Tu les vois pas ? Me dit-il.

- Non, un sort lui a été jetter pour les jour de pleine lunes, elle vois aucune chaines. Dit Dean.

- On en parle plus tard. Dis-je avant que Sam ne parle.

Les garçons hochent la tête. Nous marchons dans les couloirs tans dis que Dean utilise son détecteur EMF, qui indique des fréquences électromagnétiques dans le coin.

- Si jamais tu sens des esprits, préviens-moi tout de suite. Dit Dean a son frère.

- Rigole pas et c'est le boulot de Thalia ça. Dit Sam.

Je rit un peut et secoue la tête les écoutant.

- Et ton détecteur te donne quelque chose ? Dit Sam.

Dean secoue la tête et les garçons me regarde.

- Et bien pour l'instant toujours rien, mais ca veux pas dire qu'il n'y a personne, en arrivant j'ai senti quelque chose. Dis-je.

Nous avançons donc vers une autre pièce, une fois que les garçons ont hocher la tête.  Lorsque nous rentrons, nous voyons sur plusieurs tables se trouvent des morceaux de corps. Plusieurs machines de torture sont dans la pièce. Je renifle la piece en fronçant les sourcils alors que les garçons discutent.

- Regarde. Électrochocs. Lobotomies. Ils ont du en voir de toutes les couleurs. Ça te rappelle pas Jack dans Vol au dessus d'un nid de Cuckoo ? Dit Dean.

Il sourit, mais Sam non. Alors, Dean se calme.

- Alors, qu'est-ce que t'en dis ? Les gens possédés par les esprits ?

- Peut-être bien. Moi, je pense plutôt à des cas du genre Amityville ou de L'auberge hantée. Dit sam.

- Ah ! Des esprits qui leur font perdre la raison. Ça ne te rappelle pas Jack dans Shining ? Dit Dean.

- Dean... Quand vas-tu décider à en parler ?

- Parler de quoi ?

- De parler du fait que papa n'est pas là.

- Oh, euh... Jamais.

- Non, mais sérieusement.

- Je suis sérieux, Sam. Il nous a envoyé ici. Il voulait qu'on vienne ici. Ensuite, on reprendra nos recherches.

- Mais, ça m'est égal ce qu'il veut.

- Tu vois. Cette réaction que tu as là. C'est pour ça que tu avais moins de cookies.

- Papa a peut-être des problèmes. C'est lui qu'on devrait chercher. Il me faut des réponses claires. Après tout, il s'agit de notre famille. C'est important.

- Oui, je sais. Je le comprends. Mais, il nous a donné un ordre.

- Alors, tu vas toujours suivre les ordres qu'il te donne ?

- Evidemment, toujours.

Je soupire doucement et regarde les garçons avant de m'attacher les cheveux et de relever quelque indice puis de les regarder a nouveaux.

- Les garçons ce n'est pas le moment, d('accord ? Votre père va bien alors on peut se concentrer sur enquête ? Dis-je un peut énerver.

Je grimace un peut ensuite et sens les yeux des garçons qui sont river sur moi. Je savais que leur esprit était rempli de question sur ce que je venais de dire.

- ça suffit les questions, on en parlera plus tard ! Dis-je.

Le garçon hoche la tête et nous continuons les recherches. Après quelque minute de recherche Dean trouve une plaque avec écrit dessus "Chef du personnel. Sanford Ellicott. MD".

- Sanford Ellicott. En tout cas, c'est clair. Il faut vite en apprendre plus sur l'aile Sud, et voir ce qui s'est passé ici. Dit Dean.

Je le regarde et respire doucement avant de hocher la tête. Sam prend la plaque que dean lui donne. je decide de lui laisse alors qu'il me la tend et nous sortons de la piece. Nous allons à la voiture et rentrons donc à hôtel. durant le chemin nous discutons et effectuons des recherches. Un de nous devais aller voir ce docteur et se renseigner sur tous cela. Je respire doucement avant de les regarder.

- Vous voulez que j'y aille ? Dis-je alors qu'ils allaient faire un chifoumi.

Ils se tournent vers moi et me regarde avec étonnement.

- Non , tu n'y vas pas. Dit Sam.

- Si vaux mieux que j'y aille, se sera moins suspect qu'un de vous, y ailler, j'ai vu ce que ça va donner et ce n'est pas fameux. Dis-je.

Les garçons restent silencieux, pendant quelques minutes, réfléchissants a ce qui est le mieux de faire. Pour moi il n'y avait pas trente-six solution , c'est moi qui devais aller voir ce psy. Et puis je ne risque vraiment rien dans un bureau d'un psy.

- Les garçons, c'est bon je ne risque rien ne vous inquiété pas. Dis-je en prenant une bière dans le mini bar.

- Elle a raison, C'est vrai c'est qu'un psy après tout et elle peut lire dans les pensé de ce psy pour savoir un peu plus sur tout ça. Dit Dean.

Sur ces belles paroles de Dean je me suis levé et je suis partis avec la voiture afin d'aller rendre visite à ce fameux Psy.

Je me retrouve donc au centre médical Creekview, j'attends dans la salle d'attente d'un bureau. Je suis vite rejoint par un monsieur, le psychiatre James Elicott .

- Thalia Mostro? Dit-il.

- Oui c'est moi. dis-je en souriant.

- Entrez.

Je me lève donc et entre dans sa salle avant de m'assoir sur un canapé et de le regarde faire, c'est à dire s'assoir et prendre de quoi noter.

- Merci d'avoir accepté de me recevoir. Dis-je en souriant.

Sur le bureau du docteur Ellicott, je remarque une photo de Ellicott quand il était enfant avec un homme plus âgé. Sur le mur, il y a une plaque avec écrit dessus « Récompensé au Docteur James Ellicott pour 15 Ans de Services Rendus à Chambre de Commerce de Rockford. »
Je decide de ne rien dire tout de suite sur cet écrit car cela sera trop rapide.

- Alors dite moi Thalia pourquoi êtes-vous ici ? Me demande-t-il en me regardant.

- Et bien , j'ai perdu mes parents assez jeunes et j'ai perdu mon bébé il y a cinq ans. Mon beau père a disparu. J'ai coupé les ponts avec mon mari il y a 5 ans jusqu'à aujourd'hui. Dis-je en le regardant.

- Vous pensez que cette reprise de contact est une mauvaise chose ?

- Oui , je pense. J'avais commencé à reconstruire ma vie.

- C'est a dire reconstruire votre vie ?

- Et bien, je me suis faite une nouvelle vie. J'avais un boulot, presque un nouvel homme et des amis.

- Un nouvel homme ? Vous être sur de ca ?

- Enfin ,  c'est ce que je croyais car dès qu'il est revenue tout ces sentiment a son égard son revenue.

- C'est bien ce que je pensais.

- Vous pensez que je ne peux pas refaire ma vie ?

- Non, ce n'est pas ce que je voulais dire. Je pense surtout que vous ne pouvez pas refaire votre vie amoureuse. Votre marie actuel est tout pour vous. Vous pouvez  repartir a zéro  a la condition que cet homme sois avec vous.

- Donc je pourrais pas trouvez quelqu'un d'autre ?

- C'est ce que je comprends en vous écoutant là actuellement. Est-ce que vous pensez que la perte de votre enfant vous bloque ?

- Honnêtement ? Je ne sais pas du tout parce que je me suis éloigné, je n'y avais pas trop pense jusqu'à ce que mon marie revienne . Je me suis plus concentré a faire  mon travail de prof. 

Je le regarde les émotions montent et je le sens, il semble le voir aussi car il me tends une boite de mouchoir. Je le remercie du regarde en prenant la boite. Je respire doucement essuyant les larmes qui coulent.

- Je n'ai pas pleuré depuis cet incident. Dis-je.

- C'est normal, vous avez refouler toute cette douleur. Dit-il prenant des notes.

- Oui mais je ne pensais pas que ça me toucherait autant.  Je voulais tellement me poser dans cette vie qu'on a que j'ai peur.

- Peur de quoi exactement ?

-  De revivre tout cela.  Et si je revue tous cela ?

Il prend toujours des notes de ce que je dis et me regarde de temps en temps, il réfléchit, je peut le lire dans ses pensées.

- Alors voilà la conclusion que je peux faire , cette peur vous ronge tellement que vous vous empêcher d'être heureuse dans votre vie actuelle. Vous craignez que si vous être trop heureuse un malheur s'abatte sur vous.  Pour moi, vous devez prendre du recul sur votre vie et vous recentré sur vous. Vivez votre vie en laissant défiler les évènements. Ne restez pas bloqué sur la mort de votre enfant.  N'essayer pas d'être une autre personne ou de refaire votre vie. Vous êtes heureuse avec la vie que vous avez.

Durant ce discours, je voyais des images de Dean et Sam dans la tête. Il avait raison sur toute la ligne.

- Merci a vous ca m'a fait di bien d'entendre ca. Je peux vous posez une question ?

- Oui dites moi.

- Vous avez un rapport avec le docteur James Elicott ?

- Oui c'était mon père, il était le chef du personnel à l'ancien asile Roosevelt à une époque. Comment vous le connaissez ?

- Et bien il est une  légende ici et pour tout  vous dire, j'ai fait ma thèse d'étude pour un concours sur certain docteur et votre père a été un de mes sujet.

Il me sourit un peut et vient s'assois à côté de moi. Je le regarde faire et nous discutons pendant un petit  moment de son père. Je dois avouer que lire dans les penser de cet homme n'était pas très simple car il pensait aussi a vouloir coucher avec moi, je pense que je lui ai un peut fait de l'effet. Je dois dire que mon décoté n'a pas vraiment arranger la situation.

Je sors donc du cabinet et regarde les garçons qui m'attendais en discutant et regardant dans l'ordinateur si  je n'avais pas trouver des trace de leur peur ou rêvé de lui  et que je l'avais écrit quelque part.  Je sais tout ca car c'est ce que pense Dean et ils ne m'ont pas encore vu arriver.  Je me met donc juste devant la vitre de Sam et les regarde faire la tête un peu penché sur le coté.

- Ca va on vous dérange pas a fouiller dans mes affaires ? dis-je.

Les deux sursaute de surprise et remette les objet a leur place avant de me regarder alors que je monte dans la voiture.

- Avant que je vous dise ce que j'ai  découvert sur l'asile on vas mettre les choses au point. Dis-je en les regardant  tout les  deux a tour de rôle. Vous avez interdiction de fouiller dans mes affaires sans mon autorisation. Je suis marié a toi Dean certes mais tu dois me faire confiance, tu auras demandé tu aurai eu des réponses. Pour que ce sois claire, j'ai juste laisser un message sur le répondeur de John  pour savoir comment il aller car lorsqu'on est aller a votre ancienne maison j'ai eu l'impression qu'il était là c'est tout. Je ne sais pas plus.

Les garçon me regarde  et hoche la tête, je peux lire dans leur esprit qu'il s'en veulent de pas m'avoir fait confiance. Je respire doucement.

- Ca vas pour cette fois. Sinon pour ce qui est de l'asile,  à l'aile Sud, c'est là qu'on gardait les cas difficiles, les psychotiques, les criminels, etc. Un soir en 64, ils se sont révoltés, ont attaqué les gardes, se sont attaqués entre eux. Il y a eu des morts au niveaux des médecins et du personnel. D4après ce que je sais c'est que ça ne devait pas être jolie à voir. Et, certains corps n'ont jamais été retrouvés, dont celui du docteur en chef, Ellicott. Par Jamais retrouver, je veux dire que la police a fouillé chaque centimètre carré, mais les malades ont sûrement du trouver de bonnes cachettes dans l'asile.  Ensuite, on a transféré ailleurs tous les malades et on a décidé de fermer l'asile.

- C'est gai. Alors, si je résume bien, il y a eu beaucoup de tués et des cadavres qui ont disparus. Dit Dean.

- Ce qui peut amener un paquet d'esprits. Dit Sam.

- Oh, ça fait peur. On va voir là-bas ce soir. Dit Dean.

Je hoche  donc la tête en souriant et Dean démarre nous remmenant à l'hôtel.

***

            Nous finissons par arriver à l'hôtel après quelques minutes de trajet.  Je me dirige vers la douche et me déshabille. J'allais fermer la porte de salle de bain a clé  mais la poigné se baisse et  je me cache.

- Bébé, c'est moi. Dit  Dean.

Je hoche la tête et sourit un peut le laissant entré.  Il ferme porte à clé derrière moi et  se déshabille. Il caresse ma joue avant d'allumé l'eau. Je lui souris doucement et le regarde ensuite faire. Son contacte m'aide tellement, il m'avait surtout manqué, je ne savais pas comment j'ai pu faire sans lui. Je le regarde s'approcher de moi avec un sourire aux lèvres.  Il me met dos a lui et commence me faire des baisé dans le coup avant de commencer a me masser les épaules.

- Tu es toute tendu, détends-toi  un peu. Me dit-il entre  deux baisé.

Je souris doucement le laissant faire et me détends il descend ensuite ses mains. Je sourit doucement laissant l'eau chaude couler sur nos corps et ferme mes yeux sentant une de ses mains descendre sur mon sexe. Automatiquement, j'écarte les jambes souriant un peut et tournant la tête vers lui.

- C'est une autre manière de se détendre ça. Dis-je en souriant en coin.

Il sourit aussi et me tourne vers lui avec un sourire en coin aussi sa main toujours sur mon sexe. Je l'embrasse et il prolonge mon baisé avec envie et commence a caressé mon sexe me faisant gémir dans sa bouche alors que prends son sexe en main. Je commence des vas et viens sur son sexe tandis qu'il continue de caresser mon sexe commençant par mon clitoris avant de me rentre un doigt dans le vagin, nous gémissons ensemble  toujours  en s'embrassant. Je retire ma main le sentant près de la jouissance et il fait de même avec moi avant de me pénétrer commençant des vas et viens endiabler, je gémis de plaisir. Je sens mes yeux virer au bleu, sentant ma partir surnaturelle ressortir, je lui griffe le dos avec mes ongles tandis qu'il continue ses coups de rein gémissant lui aussi. Cette fusion de nos deux corps est tellement parfaite que j'en oublie tout ce qui se trouve autour de nous. Je le regarde dans es yeux alors qu'il me porte pour mieux  s'enfoncé en moi. Je ne le quitte pas des yeux alors que nous jouissons au même instant, ses yeux son remplie d'amour et de plaisir tout comme les mieux. Je peux sentir sa semence couler à l'intérieur de moi nous échangeons un baisé.

- Je t'aime tellement. Me dit-il.

- Moi aussi je t'aime tellement. Lui-dis-je.

Je reprends ma respiration nos corps toujours emboité l'un dans l'autre. Nous ne pouvions pas arrêter cet instant à ce moment précis comme chaque fois que l'on fait l'amour. Nos cœurs battent en rythme et je trouve ça magnifique. Nous finissons par nous sépare et il m'embrasse avec amour tout comme je l'embrasse.  Je le lave ensuite et il me lave aussi ce moment fus remplis d'amour et de tendresse. Nous  nous disons que des mots d'amours et cela est tellement jouissif et il me fait tellement de bien.

7 avril 2006

Allongée dans le lit en pyjama, je ne trouve pas, du moins, plus le sommeil. Je regarde le plafond Dean dormant toujours a côté de moi. Je regarde ensuite Sam. Il semble paisible pour une fois. Je repense a ce que ma dit le docteur lorsque je suis partie le voir. Je ne suis pas du tout habituer a me confier a des psy. Cependant cette confession m'avais fait du bien, je savais enfin ce qui me tourmentais plutôt je me l'était enfin avouer a moi même est ce que je devais maintenant l'avouer a mon mari ? Je ne sais pas. Ce que je sais c'est que un part de moi pouvais refaire sa vie sans les Winchester, sans Dean comme mari, sans Sam comme meilleur ami. Mais je me dis également que sans eux je ne serais pas l'humaine que je suis. Je pense surtout que je serai une coyote sans sentiment, je serai toujours sous ma forme animal et je ne sais pas si je serai la femme que je suis aujourd'hui. J'aime cette famille j'aime être une chasseuse, une femme marier, me transformer a volonté aider les gens. C'est ce qui fait de moi une meilleur personne.
Je respire doucement à la suite de cette pensé, je me lève et regarde mon reflet dans le mirror, mon regard se dirige vers mon ventre rond d'un peu de graisse. Je le caresse doucement et regarde la cicatrice. Je ferme ensuite les yeux une vision me venant. Je reste concentré dessus quelque minutes avant de rouvrir les yeux et de prendre une douche vite fait avant de m'habiller. Je regarde m les garçons et les reveille doucement après avoir fait apparaitre un petit dejeuner.

- Mangez vite, deux ados sont dans l'asile.

Je termine de mettre mes chaussures tandis que les garçons mangent et s'habillent en même temps. Je prends les clés dela voiture et les garçons terminent de se préparer. Les deux étaient vraiment bien réveiller, je monte donc dans la voiture. Les garçons me rejoignent avec un truc à manger pour une fois c'est moi qui conduis. On va jusqu'à l'asile.

****

Le materiel de sortie, je regarde les garçons qui cherche les esprits. Dean est muni de son EMF et moi je regarde avec mes autres yeux. Je fais le tour seule tans dis que les garçons restent ensemble. Je regarde autour de moi et voix beaucoup d'esprit. Je rejoins les garçons qui ont trouvé une jeune femme, Kat. On se met d'accord sur comment procéder car cette jeune femme a perdu son copain. Sam et Dean reste ensemble avec la jeune femme et je vais à sa recherche a ce jeune homme. Je le retrouve allonger par terre. Je l'aide à se relever avant de rejoindre les autres. Sam et Dean etait derrière une porte, je pouvais entendre la jeune femme paniquer.

-: Kat, il ne vous fera rien. Ecoutez-moi. Vous allez devoir le regarder. Calmez-vous. Dis-je.

- Elle doit quoi ? Dit Dean.

- Je dois faire quoi ? Dit kat

- Les esprits n'essaient pas de vous faire du mal. Ils veulent de communiquer. Vous devez le regarder et l'écouter. Dis-je.

- Non, pas question. Dit Kat.

- C'est le seul moyen de sortir de là.

- Non !

- Regardez-le, c'est tout. Vous pouvez si vous essayez.

Nous attendons un petit moment, le silence ce fit j'entend des des chuchotement, je pense que l'esprit parle a Kat. La porte fini par se deverouiller et la jeune femme se jette dans les bras de son copain. Les garçons regarde a l'interrieur mais il n'y arien.

- 137. Dit Kat. C'est ce que l'espeit m'a dit.

- C'est le numéro d'une piece. Dis-je avant que les garçons ne parlent.

Nous réfléchissons en discutant et préparant des armes. Je regarde le couple.

- Vous aller partir ? Demande Dean.

- Oui. Disent les deux en même temps.

- Bien, je vais a la salle 137 et vous les accompagner. dis-je.

- Thay pas besoin d'être 2 pour les accompagner.

Je soupire et hoche la tête tans dit que Sam reste avec le couple et qye moi je me dirige vers la piece. Je regarde ce qui se trouve dans la piece et cherche quelque truc avec Dean.

- Tu es pas très furtive quand il s'agis de cacher tes emotion. Dit Dean.

- Si plus furtile que toi. Dis-je en riant.

Il rit aussi, je n'avais pas tord mais cette fois c'était plus compliquer que ça tout simplement parce que cez que j'avais dis a ce psy etait un truc donc je n'avais jamais parler avant aujourd'hui. Je regarde Dean pendant quelque seconde en le regardant je vie une belle image, Mary, leur mère qui souriait avec une petit garçon blond dans les bras. Je laisse échapper quelque larmes.

- Thay, cheri quest ce qu'il y a ? Demande Dean regardant un carné qu'il a trouver.

Jallais répondre mais je ressent quelque chose de bizarre, en regardant ce carnet remplis de façon de touturer les gens . Je sort vite de l'endroit et Dean me suit. On se retrouve avec Kat et Gavin, le couple qui etait seul. qui pointe une arme sur nous.

- C'est que nous. Dis-je.

Ils baissent l'armes.

- Ou est Sam ? Demandais-je.

- Il a recçu un appel de Dean et il est partit. Dit Gavin.

- Mais je l'ai pas appeler. Dit le concerné.

Nous nous regardons et courons vite au sous sol. Je me dirige a ma vitesse vampirique dans le sous sol tans dis que nous disons le nom de SAm. Il apparait derrière Dean qui surceaute.

- Est ce que ca va ? Demande dEan.

- Oui ca va.

- C'est pas moi qui t'ai appelé sur ton portable.

- Oui, je sais. Je crois qu'un esprit veut me voir ici.

- Et, je sais qui c'est. Le Dr Ellicott. C'est ce que les autres esprits essayaient de nous dire. Tu ne l'as pas vu ?

- Non. Comment tu sais que c'est lui ?

- Il notait ce qu'il faisait à l'époque. D'après son journal, il expérimentait sur ses malades certaines méthodes qui rendent la pire des lobotomies aussi bénigne qu'une aspirine.

- Mais, ce sont les malades qui se sont révoltés.

- Oui, ils se sont révoltés contre le Dr Ellicott. Le Docteur Frankenstein soignait les fous les plus dangereux avec un surprenant raisonnement. Il croyait que si les malades évacuaient leur colère, alors il pourrait guérir. Malheureusement, sa méthode est arrivée à l'effet inverse. Et, je me disais que son esprit avait fait la même chose avec le policier et les jeunes des années 70. Les poussant à bout et les transformant en criminels. Allez viens, amène-toi. Il faut trouver ses ossements et les brûler.

- Et, comment ? La police n'a jamais trouvé son corps ?

- Le journal parle d'une pièce secrète, bien dissimulée, là, quelque part, où il travaillait sur ses malades. Alors, je pense que ses malades révoltés l'ont conduit là-dedans avant de travailler sur lui.

- J'en sais rien. Je trouve ça assez...

- Dingue ?

- Oui.

- Oui, je te l'accorde.

Je les ecoute parle sentant que quelque chose cloche puis nous nous mettons a cherche la piece dite secrete. ne trouvant pas cette piece les garons me regardent afin que je le face. Je trouve une porte entre le mur et le Sol et vais pour l'ouvrir mais je sens l'arme de Sam pointer sur moi.

- Thalia. T'approche pas de la porte. Dit Sam le nez saignant.

- Sam qu'est ce que tu fait ? Dit Dean. Baisse ce fusil.

- C'est une orre ? Dit Sam regardant son frère.

- Non un souhait.

- Parce que je commence à en avoir plein le dos de recevoir des ordres.

- J'en étais sûr. Ellicott t'as fait quelque chose, hein ?

- Pour une fois dans ta vie, essaie de la boucler.

- Qu'est-ce que tu vas faire ? Le fusil est chargé avec du sel. Ça ne tue...

Sam tire mais je me vite devant dean et hurle en tendant les mains, un champ de force se formant avec et arrête la balle de sel. Dean est projeté tout de même contre le mur. Je plante vite mes griffes dans le coup de Sam. Je rentre dans sa tête afin de le mettre KO. Je sors de sa tête. Avant de relever Dean et de cherche avec lui le corps de cet homme. Dean le trouve dans une armoire blanche. L'odeur est horrible. Il le couvre de Sel puis il recouvre ensuite le corps d'un liquide fluide. Sa lampe de poche commence alors à s'éteindre. Je regarde alors la table aller vers Dean. JE la pousse d'un revers de la main. Je regarde le docteur Ellicott et me met devant Dean.

- Cheri tu vas devoir te dépêcher je ne vais pas le retenir longtemps. Dis-je.

Le Dr Ellicott apparaît à côté de moi et m'attrape le visage, m'électrocutant. Je hurle de douleur, alors que Dean en profite pour mettre le feu au corps. Le Docteur s'arrête donc de m'électrocuter. Je regarde avec horreur l'esprit se désintégrer, jusqu'à ce qu'il ne reste plus qu'un tas de vêtements. Un peu plus loin, Sam se réveille de ma trans.

- T'a toujours envie de me tuer ? Demande Dean a son frère.

- Non.

- C'est gentil. Et, je n'aurais pas apprécié.

Les garçons rient doucement et nous sortons de l'asiles. Il fait jours et nous laissons le couple partir. Je monte dans la voiture tous comme les garçons. Les garçons disvutent mais je ne fais pas vraiment attention a ce qu'il se disent trop fatigué pour ecouter. Je commence a m'endrormir sur les siege arrière.

8 avril 2006

Le matin dans une chambre d'un motel, Dean et Sam dorment, moi je ne trouve plus le sommeil. Le portable de Dean se met à sonner. Dean ne se réveille pas. Sam répond au téléphone.

- Oui ? Dit Sam.

IL se redresse choqué, je le regarde. J'entends la voix de John a l'autre bout.

- Papa ?