Revoici une histoire que j'ai fait en cours. J'ai pas encore ma note j'espère y'a pas de faute-

Bonne lecture !

En ce lundi matin, Feryel dormait paisiblement dans sa chambre. Les feuilles changeaient de couleur au fil des jours qui passaient. Il faisait un peu froid, mais il ne suffisait que d'une petite veste afin de profiter du beau temps. Le doux chant des oiseaux arriva aux oreilles de la jeune fille, causant son réveil. Elle était encore très fatiguée, alors au lieu de se lever, elle se donna 10 minutes de plus. Puis 20. Puis 30 minutes. Alors qu'elle allait retarder le lever pour la quatrième fois, elle vit l'heure affichée sur son téléphone.

Son cellulaire montrait 8h31. Son autobus passait à 8h40. Encore une fois, elle allait être en retard à l'école, mais aujourd'hui, ce ne serait pas la professeure compréhensive. Ce serait le surveillant de l'examen d'histoire. L'examen d'histoire ! Elle avait complètement oublié d'étudier ! Son niveau de stress commençait vraiment à atteindre des sommets.

Alors qu'elle paniquait dans son lit, la partie encore fonctionnelle de Feryel lui fit comprendre que ce n'était pas en restant allongée qu'elle allait résoudre son problème. Elle commença à se préparer à la vitesse de l'éclair. S'habiller ? Fait. Déjeuner ? Fait. Se brosser les dents ? Fait. Elle reprit espoir. Si elle marchait assez vite, elle pourrait atteindre l'arrêt de bus très rapidement, et avec un peu de chance, si le véhicule était en retard d'une ou deux minutes, elle pourrait y embarquer. C'était compliqué, oui, mais elle pourrait y arriver. Elle en était sûre. L'adolescente mit sa veste et sortit de sa maison en vitesse. Elle alternait course et marche rapide. Au loin, elle vit un pigeon voler bien plus vite qu'elle ne marchait. Ça lui donna encore plus de motivation d'aller vite. Aucun signe de l'autobus pour le moment. Elle regarda l'heure. 8h42. Après une dernière minute de course, elle se rendit enfin à l'arrêt, essoufflée. À la fois fière et soulagée, elle s'assit sur un banc en attendant que l'autobus arrive. Elle prit un livre et commença sa lecture.

Après ce qui lui semblait une éternité, Feryel entendit un gros son s'éloigner. Elle leva la tête et aperçut l'autobus qu'elle avait attendu en train de la distancer. Elle avait beau crier avec l'énergie du désespoir, le chauffeur ne l'entendait pas. Essayant désespérément de rattraper le bus, Feryel trébucha sur le trottoir. Le peu d'espoir qu'il restait s'en alla dès sa chute. Sa plaie au genou droit était énorme, il faudrait retourner à la maison et soigner la blessure, ce qui la retarderait encore davantage de l'école.

Suite à un retour bien plus pénible que l'aller, Feryel était enfin chez elle. Elle raconta à ses parents comment elle s'est faite cette blessure, mais quelque chose la dérangeait.

– Mais toi maman, pourquoi n'es-tu pas au travail ? demanda-t-elle.
– Enfin chérie, c'est un jour férié aujourd'hui !

COMMENT ÇA JE ME SUIS PLAGIÉ MOI-MÊME ?!

Écoutez, on devait faire une nouvelle à chute. J'ai prit une des idées que j'ai eues l'année dernière en cours d'anglais et...

Voilà x)

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Electy, 26 novembre
503 mots