Texte: Ne saute pas. Reste pour moi.
« Ne saute pas. Reste pour moi. »
Le plus souvent les personnes qui sautent ont une raison ou plus derrière. Il faudrait essayer de les comprendre. Il déteste la vie comme tout être humain, ils sont juste plus faibles, plus sensibles.
Pousser quelqu’un à sauter est pitoyable, impardonnable, immature, pathétique. Les personnes qui détruisent les autres et qui y prennent du plaisir que je ne vois pas d’où il sort sont juste des monstres.
Sourire du malheur des autres. Rire de leurs désastres en série. Prendre du plaisir de leur souffrance. Jouir de leurs larmes. Je n’appelle pas ça être humain.
Les personnes qui sautent, qui se mutilent sont généralement les meilleurs. Ils ont jamais rien demandé, ni chercher mais pourtant ils subissent. Ils endurent tout ce que la vie à donner à d’autre.
La vie est injuste, c’est une fatalité. On ne sait rien y changé mais juste accepté. C’est toujours les meilleures personnes qui partent le plus vite.
Certaines cachent leur amour envers ses personnes et d’autre l’expose. Sauter, se mutiler, vouloir mourir est de plus présent. Rêver de mourir, j’en rêve tout les jours.
Je regrette toutes ses âmes perdues qui ont sautées ou qui vont sautées, toutes celle au bord du vide et pour qui on ne sait plus rien y faire, on ne sera pas les rattraper.
Je les regrette, elles auraient faits de magnifiques personnes. Le physique n’est qu’une image, un miroir, un mensonge de ce qui se cache derrière, un juron à ce qui est enfermé à l’intérieur.
Je déambule comme eux, moins paniquée, mois peureuse, mois triste, moins détruite, moins abimée, plus heureuse, plus soucieuse.
Rêver de la mort, rêver de la touchée, rêver de ne plus connaître cette vie, de ne plus vivre dans ce monde, dans se désastre, dans cette pourriture, dans cette déchèterie en compagnie de ses déchets que sont les hommes et autres femmes qui peuvent bien se transformer en monstre. En rêver et ne jamais rien faire jusqu’au moment où le monde est tellement étouffant que la mort est présente et t’étrangle.
« Tu sautes, je saute. Tu ne sautes pas, je ne saute pas. »
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