Texte: Fatiguée
« Fatiguée. »
Je suis fatiguée de t’entendre dire que le monde te fait du mal. Souris et tu verras. Je suis pennée de te répétée d’arrêté de te faire du mal parce que tu m’en fais en même temps.
J’en ai assez de ne plus savoir quoi faire pour te sauver, cela me détruit. Je n’ai plus de mots, de sourire, de paroles, de dessins, d’images, de signes à te donner. J’ai déjà tout fait, tout essayer.
Ne crois pas que j’abandonne, que je t’abandonne mais je ne sais plus quoi faire, je ne sais même plus réfléchir pour cela sans pleurée. Des larmes plus fortes qu’un torrent s’échappe de mes yeux justes en y repensant.
J’ai besoin de prendre du recul, de faire le point, de trouvée de nouvelles idées pour te retenir. J’espère que le temps ne jouera pas contre moi comme il le fait déjà, j’espère qu’il ne sera pas encore plus manipulateur.
Je savais que je n’aurais jamais due dire tout ça. Je le savais mais je l’ai fait. Je me suis trompée et me voilà sur ta tombe, quelle tristesse.
Tout cela se lit dans mon regard, la déception, la trahison, l’acheminement, la manipulation, la réflexion, le regret, l’amertume, l’envoûtement, la tristesse, la rage, la colère, la démolition.
Je ne voulais pas te faire du mal, je ne l’ai jamais voulue, je ne suis plus qu’un déchet. Un monstre parmi les monstres. Je me suis révélée dans ce monde. Je ne suis plus qu’une ombre, qu’un désespoir atteint, qu’une nature cahoteuse, qu’un soupçon de volonté. Je ne suis plus rien, j’aurais due faire le pas avec toi.
Je suis sur ta tombe à te lire cette lettre qui ne sert à rien. Je suis peut-être entrain de perdre mon temps mais je voulais libérée de tout ceci, libérée mon âme et ma conscience. Je ne l’ais peut-être pas tranquille mais au moins je me sens mieux.
Je pleure ton absence, c’est fataliste.
« L’écoulement de l’eau sur mes joues, un sourire de bonheur de te sentir près de moi. Je suis mal et bien. Je suis toi et moi. »
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