Texte : Détester
Il détestait la façon qu'elle avait de finir en première, ou dans les premières les interrogations.
Il détestait son intelligeance supérieur à celle de presque tout le monde.
Il détestait la façon qu'elle avait d'être sexy sans être vulgaire.
Il détestait la façon qu'elle avait de tout observer, comparer, imaginer, regarder autour d'elle.
Il détestait sa manie de toujours vouloir érire.
Il détestait le fait qu'elle ne savait pas passer une journée sans écrire une seule bribe.
Il détestait sa façon de jouer dans ses cheveux.
Il détestait la façon dont ses yeux passaient d'un gris bleué, à une vert grisé pour finir en un mélange entre du bleu et du vert.
Il détestait la façon qu'elle avait de presque s'allonger sur son banc quand elle écrivait.
Il détestait la manière frénétique qu'elle avait de taper sur les claviers.
Il détestait la façon qu'elle avait de tout le temps écouter en cours.
Il détestait la façon qu'elle avait de toujours imaginer des histoires.
Il détestait la façon qu'elle avait de toujours penser à ces écrits.
Il détestait quand elle clignait des yeux parce qu'ainsi, il ne pouvait plus voir la couleur de ses yeux.
Il détestait la façon qu'elle avait de cacher sa douleur.
Il détestait le fait qu'elle se croit être une baleine parce qu'elle est complexée.
Il détestait le façon qu'elle avait de se haïr.
Il détestait la façon qu'elle avait de détester le monde.
Il détestait le temps qu'elle passait sur son ordinateur.
Il détestait le fait qu'elle se cache dans son imagination, dans son monde alors que le monde extérieur est plus beau qu'elle ne le pense.
Il détestait la façon qu'elle avait de tout fuir.
Il détestait la façon dont elle gardait tout pour elle.
Il détestait la façon qu'elle avait de craquer seulement le soir quand elle est seule dans son lit.
Il détestait la façon dont son sourire perdait de l'éclat au fur et à mesure que les secondes passaient.
Il détestait ne pas avoir accès à ses pensées.
Il détestait les pensées suicidaires et dépressives qu'elle pouvait bien avoir dans le crâne.
Il détestait la façon qu'elle avait de s'enfermer dans son monde sans que personne ne puisse y avoir accès, puisse y entrer.
Il détestait la façon dont ses mucles bougeaient, se contractaient, s'étiraient quand elle se redressait.
Il détestait la façon dont sa colone vertébrale était visible, ainsi que ses clavicules.
Il détestait la musique de la gardé près d'elle et donc de l'éloigner loin de lui.
Il détestait la façon qu'elle avait quand elle s'étirait, de cambrer le dos, rentrer le ventre et bomber la poitrine.
Il détestait la façon qu'elle avait d'avoir un regard pétillant, qui perdait de son éclat avec le temps.
Il détestait ses démons de la bouffer sans aucune retenue.
Il détestait la façon qu'elle avait de tout cacher, de ne rien montrer à personne.
Il détestait le monde et la plupart des humains de lui faire du mal.
Il détestait ses ongles qu'elle vernissait tous les trente-six du mois.
Il détestait sa passion pour l'écriture, le temps qu'elle y mettait et l'amour qu'elle y portait.
Il détestait le fait qu'elle ne devait pas étudier des masses, énormément pour connaître le sujet d'une leçon.
Il détestait les reflets blonds et roux dans ses cheveux chataîns au soleil.
Il détestait son sourire contagieux mais si souvent hypocrite.
Il détestait voir son sourire viré à l'hypocrisie.
Il détestait sa grande taille.
Il détestait ses cheveux mi-longs qui frisaient à l'humidité.
Il détestait son rire qui, dans les fous-rires, partait en un similation d'un phoque.
Il détestait la façon qu'elle avait de se priver de toutes les bonnes choses de la vie.
Il détestait sa passion pour la poésie et la littérature.
Il détestait John Green, Jandy Nelson, Jane Austen, ainsi que d'autres auteurs de la lui volé.
Il détestait sa façon de regarder le monde, assez malsaine.
Il détestait son talent pour l'écriture.
Il détestait savoir qu'elle était détruite.
Il détestait son euphorie des livres.
Il détestait son amour pour les feux d'artifice et les arc-en-ciel.
Il détestait l'importance qu'elle donnait aux étoiles et aux nuages.
Il détestait sa façon de regarder le soleil et de l'envier.
Il détestait sa façon de s'en battre les couilles de tout.
Il détestait l'amour qu'elle portait à la lune.
Il détestait sa vanité inexistante.
Il détestait le fait de ne pas être au centre de son attention.
Il détestait de l'avoir presque tous les jours devant lui, sur le banc juste avant le sien.
Il détestait le fait qu'elle ne se retourne jamais.
Il détestait l'amour qu'elle portait aux autres mais pas à lui.
Il détestait son amour pour les étoiles filantes.
Il détestait ses chevilles fragiles.
Il détestait le fait qu'elle s'intéresse à lui tout en l'ignorant et en lui étant complètement indifférent.
Il la détestait de le faire l'aimer ainsi.
Il se détestait de l'aimer.
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