Je me suis attachée à toi, à tes gestes, à ta voix, à toi tout simplement.
Je ne sais pas comment dire comment cela est arrivé.
C'est vite très rapide, je n'ai pas eue le temps de voir arrivé que j'avais déjà des étoiles dans le yeux qui ne voyaient que toi.
Le goût de l'amour dans la bouche.
La douceur du parfum de la tendresse emplissant mes narines.
Pour ça il a juste fallu que tu entres dans cette pièce.
Je ne sais pas comment ça a pu arrivé si vite.
Je me suis attachée à toi trop vite.
Je viens de tout t'avoué, mettant ma dignité de côté.
Je brûle ainsi mon coeur comme tu le fais.
Tu me fais palpité, tu m'envois dans un autre monde en un regard.
Je viens de tout perdre en t'avouant ça.
Je n'ai plus rien à dire ni à perdre.
Je ne sais pas si cela est réciproque, je l'espère de tout mon coeur depuis la première fois où j'ai posée mes yeux sur toi.
Comment as-tu faits pour devenir en une seconde un inconnu en la personne me faisant tourné dans le vide, rêvé.
Tu es devenu mon souffle, mon inspiration en l'espace de quelques secondes.
Tu es passé si vite dans l'échelle de mon coeur que j'ai du mal à m'y faire.
Plusieurs fois je me suis demandée ce que tu pensais de moi et ce que tu ressentais envers mon être.
A chaque fois, je préférerais oubliée cette idée.
La rayée de ma mémoire ce que j'ai tant essayée.
J'ai peur de ta réaction, de ce que tu pourrais pensée.
J'en devenais pas.
Je ne faisais que pensée à ça jusqu'à m'en rendre folle.
Je ne pense qu'à toi.
J'ai l'impression de vivre que par toi.
Cette dépendance que j'ai envers toi me fait affreusement peur.
Si tu me rejettes comme font toutes les personnes sur terre, je ne sais pas ce que je ferrais après mais je pourrais faire de graves erreurs qui pourraient me coûtées la vie.
Je ne veux pas que tu te sentes coupable non plus.
Je t'aime et cela rien n'y personne ne le changera.
Cette impuissance que j'ai.
Ce sentiment que aucun humain ne voudrait ressentir est pitoyable en amour, destructeur.
Je ne veux pas être un trophée pour toi.
Prends-moi comme une fille ou ne me prends pas.
Ne fais pas l'erreur de me dire non et puis oui parce que je serais peut-être dans le fond d'un ravin, dans la mer, dans une marre, dans un étang, sur le bord d'un pont, sur une chaise avec une corde autour de coup, une lame sur mon bras, un couteau de cuisine sur mon coup, une arme à feu sur la tempe ou à sautée en dessous d'un train.
Ne fais pas cette erreur, tu pourrais me perdre.
Je me suis attachée trop vite, j'en ai peur.
Cette peur me rongeant de l'intérieur dégage des millions de papillons dans mon estomac.