Texte : Ailes brûlées
Les mots font plus mal que les morsures de chien. Tu es chien, un toutou suiveur, vantard de ses faux mérites. Tu me mords mais il suffit que je t'aboies dessus pour que tu déguerpisses, tu ne me feras pas mal parce que je n'entends plus tes mots. Je suis sourde juste pour toi mais aussi pour les autres. Le mérite que tu crois avoir en m'insultant est imaginaire. Il n'y a aucune utilité à ce que tu fais. Tu te crois au dessus de moi alors que tu es tellement bas que je ne te vois même plus. Ce n'est plus la peine de venir un jour vers moi comme si de rien n'était. Je ne suis pas stupide. J'encaisse mais je n'oublies pas. J'ai une très bonne mémoire pour ça. Je ne te dits rien mais le jour où tu oseras venir vers moi faire ton faux-culs, je te remettrais tout dans la figure. Tout ce que tu me dits maintenant, que tu me disais et que tu me diras, jamais ce sera effacés de ma mémoire. Tu n'as pas put profité de ma naïveté parce que j'ai vu clair dans ton jeu. Tu peux être autant dégouté que tu veux, cela ne m'apportera que le plaisir de te voir en colère. N'essaye plus. A trop essayé on finit par se brûlé les ailes.
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