Poème: Si...
« A la joie et au bonheur, au malheur et au chagrin, à la paix et au sacrilège. »
Si tu m’aimes,
Tu sauras me supportés,
Avec des qualités,
Que je sois moi-même.
Si tu me détestes,
Je n’en aurais nullement à faire,
J’en serais même ravie,
Puisque je tournerais dans ta tête,
Encore et encore.
Si tu ne sais pas quoi dire,
Ne dit rien,
C’est mieux ainsi,
Parce que je ne suis pas un chien,
Que j’ai mes « si »,
Et qu’en ta compagnie,
Il n’y aura pas de sourire.
Si tu veux parler,
Je t’en prie,
Mais range les casseroles,
Ne te fais pas prié,
Tente le tout pour le tout,
Parce qu’il n’y a rien en retour,
Laisse tomber ta carapace,
Parce qu’elle ne te protégera pas des rapaces.
Si tu ne veux pas parler,
Fais le comme même,
Une parole de plus change la donne,
Rien ne t’y oblige,
Mais ne joue pas au dé,
Parce que le hasard est différent de la chance.
Si tu m’accuse d’être malhonnête,
Sache que tu as déjà mentis,
Ne viens pas avec tes « si »,
Ils ne vont rien faire,
Ils vont te porter la poisse,
Garde le peu que tu as encore,
Pour toi et personne d’autre,
Mais n’oublie pas que les lettres sont plus fortes.
Si tu m’admires,
Tant mieux pour toi,
Parce que je ne veux rien qu’être moi,
Le silence n’est pas une réponse,
Range tes sourires,
Ne rit pas comme un mongole,
Vagabonde comme une souris,
Et traverse le monde.
Si tu as mal,
Pense aux autres,
C’est un ange qui est blessé,
Une peine de plus,
Un jour de plus,
Un bombe à retardement enclenchée,
Une peine perdue,
Un jour perdu.
Si tu vas bien,
Croque la vie,
Même si tu as mal aux dents,
Parce que les souvenirs d’antan,
Vont revenir à nouveau,
Que tu n’auras peut-être pas de canaux,
Qu’il n’y aura plus rien, Alors souris,
Même si tu sais que la fin est proche,
Le bonheur n’a pas de limite,
Fait pétillés tes yeux,
Rend les gens heureux,
Ne tire pas la tronche,
Parce qu’il y aura toujours des ronces.
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